Старые французские часовые имена на букву H: различия между версиями
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{{DISPLAYTITLE:Буква H. Словарь старинных европейских часовых мастеров и марок.}} | {{DISPLAYTITLE:Буква H. Словарь старинных европейских часовых мастеров и марок.}} | ||
<metakey>Старинные, часы, часовщик</metakey> | <metakey>Старинные, часы, часовщик</metakey> | ||
{{Старые французские часовые имена}} | {{Старые французские часовые имена}} | ||
Строка 60: | Строка 59: | ||
HARMS ADOLF | HARMS ADOLF | ||
Horloger. Fin du XIXe, début du XXe siècle. Montres compliquées. | Horloger. Fin du XIXe, début du XXe siècle. Montres compliquées. | ||
HARRISON JOHN | HARRISON JOHN | ||
(1639-1776) Constructeur des premiers chronomètres de marine avec balancier et spiral. Il est également l'inventeur du pendule compensateur à gril et d'un système de compensation pour les montres. | (1639-1776) Constructeur des premiers chronomètres de marine avec balancier et spiral. Il est également l'inventeur du pendule compensateur à gril et d'un système de compensation pour les montres. | ||
HART JEAN-PHILIPPE | HART JEAN-PHILIPPE | ||
Fils de Michel. Dardagny (Environs de Genève). Reçu habitant de Genève en 1768. | Fils de Michel. Dardagny (Environs de Genève). Reçu habitant de Genève en 1768. | ||
HAUSER ABRAHAM-NICOLAS | HAUSER ABRAHAM-NICOLAS | ||
Fils de Jean-Jacques. Strasbourg (France). Bijoutier. Reçu habitant de Genève en 1775. | Fils de Jean-Jacques. Strasbourg (France). Bijoutier. Reçu habitant de Genève en 1775. | ||
HAUSER JEAN-JACQUES | HAUSER JEAN-JACQUES | ||
Fils de Jean-Jacques. Strasbourg (France). Orfèvre. Reçu habitant de Genève en 1756. | Fils de Jean-Jacques. Strasbourg (France). Orfèvre. Reçu habitant de Genève en 1756. | ||
HAVAR JEAN | HAVAR JEAN | ||
Apprenti horloger chez David Dubois en 1640. | Apprenti horloger chez David Dubois en 1640. | ||
HAVILA | HAVILA | ||
Marque genevoise enregistrée. | Marque genevoise enregistrée. | ||
HAVILA WATCH & CO | HAVILA WATCH & CO | ||
Comptoir d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1920 et en 1924. | Comptoir d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1920 et en 1924. | ||
HEBERT AUGUSTE ET JULIETTE | HEBERT AUGUSTE ET JULIETTE | ||
Peintres sur émail. Mentionné à Genève en 1907, en 1909 en 1915. Et en 1924. Spécialisés en panneaux décoratifs pour boîtes de montres. Armoiries de style gothique allemand et monogrammes émaillés en portraits et figures de style pour montres, entourés par des décorations à trois ou quatre émaux. Signe "H.J. " en monogramme. Gagne un prix à l'Exposition universelle de Bruxelles en 1897. | Peintres sur émail. Mentionné à Genève en 1907, en 1909 en 1915. Et en 1924. Spécialisés en panneaux décoratifs pour boîtes de montres. Armoiries de style gothique allemand et monogrammes émaillés en portraits et figures de style pour montres, entourés par des décorations à trois ou quatre émaux. Signe "H.J. " en monogramme. Gagne un prix à l'Exposition universelle de Bruxelles en 1897. | ||
HECHT FELIPE | HECHT FELIPE | ||
Fabricant et marchand d'horlogerie. Marque genevoise enregistrée en 1890. Obtient un brevet pour un mouvement de montre perfectionné, en 1897. Devient la raison sociale de la Maison Bautte de 1897 à 1905. Construit un régulateur à secondes, balancier à mercure, échappement à ancre allemande, avec cadran régulateur, mouvement empierré. | Fabricant et marchand d'horlogerie. Marque genevoise enregistrée en 1890. Obtient un brevet pour un mouvement de montre perfectionné, en 1897. Devient la raison sociale de la Maison Bautte de 1897 à 1905. Construit un régulateur à secondes, balancier à mercure, échappement à ancre allemande, avec cadran régulateur, mouvement empierré. | ||
HECHT JUAN | HECHT JUAN | ||
Successeur de Felipe. Transmission et extension d'emploi en 1906. Marques transmises en 1906 à la fabrique Girard-Perregaux & Cie , La-Chaux-de-Fonds (Suisse), qui l'a achetée, et devient la 12e raison sociale de la Maison Bautte en 1906. | Successeur de Felipe. Transmission et extension d'emploi en 1906. Marques transmises en 1906 à la fabrique Girard-Perregaux & Cie , La-Chaux-de-Fonds (Suisse), qui l'a achetée, et devient la 12e raison sociale de la Maison Bautte en 1906. | ||
HECK J.-F. | HECK J.-F. | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1874. | Horloger. Mentionné à Genève en 1874. | ||
HEDMANN | HEDMANN | ||
Horloger-repasseur. Mentionné à Genève en 1835. | Horloger-repasseur. Mentionné à Genève en 1835. | ||
HEIL & GIRARD | HEIL & GIRARD | ||
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1860. | Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1860. | ||
HEIL & HESS | HEIL & HESS | ||
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1862. | Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1862. | ||
HEIL NICOLAS | HEIL NICOLAS | ||
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1857 et en 1861. | Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1857 et en 1861. | ||
HEIL-CHARRIÉ NIC. | HEIL-CHARRIÉ NIC. | ||
Horlogers. Mentionné à Genève en 1874. | Horlogers. Mentionné à Genève en 1874. | ||
HEIMANN & WYSS | HEIMANN & WYSS | ||
Fabricant d'horlogerie. "OCANA" Marque genevoise enregistrée en 1920. | Fabricant d'horlogerie. "OCANA" Marque genevoise enregistrée en 1920. | ||
HEITZMANN FILS | HEITZMANN FILS | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1874. | Horloger. Mentionné à Genève en 1874. | ||
HELBEIN FRERES | HELBEIN FRERES | ||
Manufacture d'horlogerie « HELBROS », et "BEAUX-ARTS". Mentionné à Genève en En 1920 et 1924. Plainpalais. "HELBROS", Marque genevoise enregistrée en 1918. | Manufacture d'horlogerie « HELBROS », et "BEAUX-ARTS". Mentionné à Genève en En 1920 et 1924. Plainpalais. "HELBROS", Marque genevoise enregistrée en 1918. | ||
HELBROS | HELBROS | ||
Marque genevoise enregistrée en 1918. | Marque genevoise enregistrée en 1918. | ||
HELD | HELD | ||
Monteur de boîtes. Mentionné à Genève en 1828. | Monteur de boîtes. Mentionné à Genève en 1828. | ||
HELMA WATCH | HELMA WATCH | ||
Fabricant. Mentionné à Genève en 1924. Petites montres à ancre. | Fabricant. Mentionné à Genève en 1924. Petites montres à ancre. | ||
HEM ABRAHAM | HEM ABRAHAM | ||
Apprenti "faiseur" de boîtes chez Jules Pattey en 1689 à Genève. | Apprenti "faiseur" de boîtes chez Jules Pattey en 1689 à Genève. | ||
HEMYON PIERRE | HEMYON PIERRE | ||
Maître horloger. Vers 1580 à Genève. Forme Benjamin Mugnier de 1599 à 1602. | Maître horloger. Vers 1580 à Genève. Forme Benjamin Mugnier de 1599 à 1602. | ||
HENGGELER (ENGLER, INGLER) ANTOINE | HENGGELER (ENGLER, INGLER) ANTOINE | ||
époux de Marie-Élisabeth Martin et père de François. Cité de 1784 à 1803 à La Chaux-de-Fonds comme horloger pendulier ou marchand avec 2 à 5 ouvriers. A comme apprentis : J.-Fr. Michel et Laurent Vimercati. Relations avec Henri-Louis Roy à Milan, sa veuve continue son atelier et son commerce, elle est citée encore en 1825. | époux de Marie-Élisabeth Martin et père de François. Cité de 1784 à 1803 à La Chaux-de-Fonds comme horloger pendulier ou marchand avec 2 à 5 ouvriers. A comme apprentis : J.-Fr. Michel et Laurent Vimercati. Relations avec Henri-Louis Roy à Milan, sa veuve continue son atelier et son commerce, elle est citée encore en 1825. | ||
HENGGELER CHRISTIAN | HENGGELER CHRISTIAN | ||
De Hummenstadt (indiqué parfois comme étant de Munich), fils de Charles, époux de Julie Robert. Pendulier et négociant en horlogerie à La Chaux-de-Fonds en 1813 ; sa femme paraît diriger la maison avec lui, car elle est très souvent citée. Ch.Fr. Dabois leur fournit de 1819 à 1829 129 cabinets de pendules. En 1820 et 1821, Henggeler vend des mouvements de pendules et des musiques à Bremen et à Berlin. Vers 1840, il livre des cages à oiseaux à Julien-Auguste Mailllardet. | De Hummenstadt (indiqué parfois comme étant de Munich), fils de Charles, époux de Julie Robert. Pendulier et négociant en horlogerie à La Chaux-de-Fonds en 1813 ; sa femme paraît diriger la maison avec lui, car elle est très souvent citée. Ch.Fr. Dabois leur fournit de 1819 à 1829 129 cabinets de pendules. En 1820 et 1821, Henggeler vend des mouvements de pendules et des musiques à Bremen et à Berlin. Vers 1840, il livre des cages à oiseaux à Julien-Auguste Mailllardet. | ||
HENGGELER FRANÇOIS | HENGGELER FRANÇOIS | ||
Fils d'Antoine et d'Elisabeth Martin. Pendulier à La Chaux-de-Fonds. Réside à Bâle en 1816. Reçoit des passeports pour la France et l'Allemagne de 1818 à 1821. | Fils d'Antoine et d'Elisabeth Martin. Pendulier à La Chaux-de-Fonds. Réside à Bâle en 1816. Reçoit des passeports pour la France et l'Allemagne de 1818 à 1821. | ||
HENNEBERG AD. | HENNEBERG AD. | ||
Fabricant d'horlogerie et de bijouterie. La marque « HR » est enregistrée en 1893. | Fabricant d'horlogerie et de bijouterie. La marque « HR » est enregistrée en 1893. | ||
HENRI ELIE | HENRI ELIE | ||
Fils de Claude. Nyon (Suisse). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1756. | Fils de Claude. Nyon (Suisse). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1756. | ||
HENRI MARC-L. | HENRI MARC-L. | ||
Balancier. En 1860. Mentionné à Genève en 1874. | Balancier. En 1860. Mentionné à Genève en 1874. | ||
HENRIOT | HENRIOT | ||
Fabricant d'horlogerie à Genève. Fin du XVIIIe, début du XIXe siècle. | Fabricant d'horlogerie à Genève. Fin du XVIIIe, début du XIXe siècle. | ||
HENRY | HENRY | ||
Marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1844. | Marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1844. | ||
HENRY ELIE | HENRY ELIE | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1861. | Horloger. Mentionné à Genève en 1861. | ||
HENRY FRÈRES | HENRY FRÈRES | ||
Fabricants et marchands d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1874. | Fabricants et marchands d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1874. | ||
HENRY GEORGES LOUIS | HENRY GEORGES LOUIS | ||
Fabrique et commerce d'horlogerie et d'articles d'horlogerie. Eaux Vives (Suisse). "Fasciste" "Farcio" marques enregistrées en 1922. Exporte une grande partie de sa production en Italie. | Fabrique et commerce d'horlogerie et d'articles d'horlogerie. Eaux Vives (Suisse). "Fasciste" "Farcio" marques enregistrées en 1922. Exporte une grande partie de sa production en Italie. | ||
HENRY JEAN-LOUIS | HENRY JEAN-LOUIS | ||
Peintre sur émail. Apprenti chez J.-F. Soiron en 1784. Forme G.-C. Ducros et P. Cabanel en 1795. Spécialisé dans le décor de boîtes de montres et tabatières. | Peintre sur émail. Apprenti chez J.-F. Soiron en 1784. Forme G.-C. Ducros et P. Cabanel en 1795. Spécialisé dans le décor de boîtes de montres et tabatières. | ||
HENRY MARC-JEAN | HENRY MARC-JEAN | ||
Né en 1782. Peintre sur émail. Fut élève de Lissignol. Spécialisé dans le décor de boîtes de montres et tabatières. Maître de Mlle Aimée Chantre et Mme Frédérika Dufaux. | Né en 1782. Peintre sur émail. Fut élève de Lissignol. Spécialisé dans le décor de boîtes de montres et tabatières. Maître de Mlle Aimée Chantre et Mme Frédérika Dufaux. | ||
HENRY S. | HENRY S. | ||
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1831. | Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1831. | ||
HENSEL | HENSEL | ||
Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1835. | Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1835. | ||
HENSPERGER | HENSPERGER | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1874. | Horloger. Mentionné à Genève en 1874. | ||
HENZI SAMUEL | HENZI SAMUEL | ||
II était fils du pasteur Samuel Henri de Fenis et il est mentionné comme horloger à La Neuveville en 1696. | II était fils du pasteur Samuel Henri de Fenis et il est mentionné comme horloger à La Neuveville en 1696. | ||
HERERT NICOLAS-DIDIER | HERERT NICOLAS-DIDIER | ||
Fils de Nicolas-Antoine. Vassy, Champagne (France). Polisseur sur émail. Reçu habitant de Genève en 1779. | Fils de Nicolas-Antoine. Vassy, Champagne (France). Polisseur sur émail. Reçu habitant de Genève en 1779. | ||
HERIDIER NOËL | HERIDIER NOËL | ||
Horloger étranger. Travaille à Genève pendant la seconde moitié du XVIIIe et au début du XIXe siècle. | Horloger étranger. Travaille à Genève pendant la seconde moitié du XVIIIe et au début du XIXe siècle. | ||
HERISMAN | HERISMAN | ||
Monteur de boîtes. Mentionné à Genève en 1844. | Monteur de boîtes. Mentionné à Genève en 1844. | ||
HERITIER JEAN | HERITIER JEAN | ||
Maison. Horloger. Vers 1828. Charron-en-l'lle, Genève. | Maison. Horloger. Vers 1828. Charron-en-l'lle, Genève. | ||
HERMADO | HERMADO | ||
Marque genevoise enregistrée. | Marque genevoise enregistrée. | ||
HERMES | HERMES | ||
Marque genevoise enregistrée. | Marque genevoise enregistrée. | ||
HESS | HESS | ||
Peintre sur émail. Mentionné à Genève en 1828. | Peintre sur émail. Mentionné à Genève en 1828. | ||
HESS & HEIL | HESS & HEIL | ||
Horlogers genevois. Première moitié, du XIXe siècle. Montres-pendentifs et montres plates, montres fantaisies décorées d'émail, de perles et de pierres. | Horlogers genevois. Première moitié, du XIXe siècle. Montres-pendentifs et montres plates, montres fantaisies décorées d'émail, de perles et de pierres. | ||
HESS & METFORD | HESS & METFORD | ||
Successeurs de la Maison Hess et Heil 1840-1860. Fabricants et marchands horlogers. Montres compliquées très soignées destinées au marché américain. Signent une montre à échappement à force constante et une deuxième à heures tactiles. Mentionné à Genève en 1866. | Successeurs de la Maison Hess et Heil 1840-1860. Fabricants et marchands horlogers. Montres compliquées très soignées destinées au marché américain. Signent une montre à échappement à force constante et une deuxième à heures tactiles. Mentionné à Genève en 1866. | ||
HESS ED | HESS ED | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1874. | Horloger. Mentionné à Genève en 1874. | ||
HESS HENRI | HESS HENRI | ||
(Genève 1867-1932). Apprenti dans la classe de mécanique de 1882 à 1885. Travaille dans l'industrie privée jusqu'en 1892, date à laquelle il est appelé par le Conseil administratif de la Ville de Genève pour diriger la classe préparatoire de l'Ecole d'Horlogerie de Genève, nouvellement créée. C'est sous son habile direction que les élèves horlogers construisent les plus beaux régulateurs astronomiques des grandes fabriques d'horlogerie. L'un d'entre eux est utilisé pendant cinq années à l'Observatoire de Genève pour donner l'heure par voie téléphonique. Est créé, en 1898, dans cette même Ecole d'Horlogerie, la section des horlogers penduliers électriciens. En 1910, sous sa direction, une glacière-étuve pour régulateur astronomique est conçue, unique en son genre, à cette époque. Est professeur jusqu'en 1927. | (Genève 1867-1932). Apprenti dans la classe de mécanique de 1882 à 1885. Travaille dans l'industrie privée jusqu'en 1892, date à laquelle il est appelé par le Conseil administratif de la Ville de Genève pour diriger la classe préparatoire de l'Ecole d'Horlogerie de Genève, nouvellement créée. C'est sous son habile direction que les élèves horlogers construisent les plus beaux régulateurs astronomiques des grandes fabriques d'horlogerie. L'un d'entre eux est utilisé pendant cinq années à l'Observatoire de Genève pour donner l'heure par voie téléphonique. Est créé, en 1898, dans cette même Ecole d'Horlogerie, la section des horlogers penduliers électriciens. En 1910, sous sa direction, une glacière-étuve pour régulateur astronomique est conçue, unique en son genre, à cette époque. Est professeur jusqu'en 1927. | ||
HESSMANN FRÉDÉRIC | HESSMANN FRÉDÉRIC | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1860. | Horloger. Mentionné à Genève en 1860. | ||
HEUBI MME. | HEUBI MME. | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1874. | Horloger. Mentionné à Genève en 1874. | ||
HEUNICH HENRI | HEUNICH HENRI | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1815. | Horloger. Mentionné à Genève en 1815. | ||
HEUNISCH ETABLISSEUR | HEUNISCH ETABLISSEUR | ||
d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828-1831. | d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828-1831. | ||
HILDEBRAND GEORGES | HILDEBRAND GEORGES | ||
Fils de Jean. Nyon (Suisse). Emailleur. Reçu habitant de Genève en 1765. | Fils de Jean. Nyon (Suisse). Emailleur. Reçu habitant de Genève en 1765. | ||
HILDEBRAND JEAN-ANTOINE | HILDEBRAND JEAN-ANTOINE | ||
Fils de Jean-François. Nyon (Suisse). Emailleur. Reçu habitant de Genève en 1773. | Fils de Jean-François. Nyon (Suisse). Emailleur. Reçu habitant de Genève en 1773. | ||
HILLBRAND CHRIST | HILLBRAND CHRIST | ||
Pendulier et agriculteur aux Bayards (Suisse) vers 1860 Ouvrier de Frédéric JeanJaquet | Pendulier et agriculteur aux Bayards (Suisse) vers 1860 Ouvrier de Frédéric JeanJaquet | ||
HILLGREN A. | HILLGREN A. | ||
Fameux horloger-régleur genevois. Gagne plusieurs concours de chronométrie à Genève. En 1882: les prix pour EH. Ekegren, 2e prix pour Gustave Sandoz. En 1884: 1er et 2e prix. En 1885: 2e prix pour A. Golay Lereche & Fils, 3e prix pour J.J. Badollet & Cie, mention honorable en 1896 pour H. Redard & Fils. Invente un balancier compensateur et un spiral qui prend son nom en 1887, ainsi qu'un échappement | Fameux horloger-régleur genevois. Gagne plusieurs concours de chronométrie à Genève. En 1882: les prix pour EH. Ekegren, 2e prix pour Gustave Sandoz. En 1884: 1er et 2e prix. En 1885: 2e prix pour A. Golay Lereche & Fils, 3e prix pour J.J. Badollet & Cie, mention honorable en 1896 pour H. Redard & Fils. Invente un balancier compensateur et un spiral qui prend son nom en 1887, ainsi qu'un échappement | ||
HILLMAN B. | HILLMAN B. | ||
Maître à l'Ecole d'Horlogerie de Genève; publie un livre "Réparation des Montres compliquées". | Maître à l'Ecole d'Horlogerie de Genève; publie un livre "Réparation des Montres compliquées". | ||
HIMELY JEAN-FRANÇOIS | HIMELY JEAN-FRANÇOIS | ||
membre du Commun (Compagnie des Pêcheurs) de 1721 à 1733, était horloger et il prit part aux troubles de La Neuveville de 1734. Il fut condamné au bannissement à perpétuité. | membre du Commun (Compagnie des Pêcheurs) de 1721 à 1733, était horloger et il prit part aux troubles de La Neuveville de 1734. Il fut condamné au bannissement à perpétuité. | ||
HINDET | HINDET | ||
Horloger. Mentionné à Genève au milieu et seconde moitié du XIXe siècle. | Horloger. Mentionné à Genève au milieu et seconde moitié du XIXe siècle. | ||
HIPP MATTHÄUS | HIPP MATTHÄUS | ||
né à Blaubeuren (Wurtemberg) en 1813, décédé à Zurich en 1893. Un des créateurs de l'horlogerie électrique. Exerça son activité à Ulm, Saint-Gall, Saint-Aubin, Reutlingen, Berne et surtout à Neuchâtel. | né à Blaubeuren (Wurtemberg) en 1813, décédé à Zurich en 1893. Un des créateurs de l'horlogerie électrique. Exerça son activité à Ulm, Saint-Gall, Saint-Aubin, Reutlingen, Berne et surtout à Neuchâtel. | ||
HIRSIGIER & OBERLI | HIRSIGIER & OBERLI | ||
Probablement marchands genevois. Fin du XVIIIe, début du XIXe siècle. Montres et pendules. | Probablement marchands genevois. Fin du XVIIIe, début du XIXe siècle. Montres et pendules. | ||
HISPANIA. | HISPANIA. | ||
Marque genevoise enregistrée. | Marque genevoise enregistrée. | ||
HOCH JEAN-RODOLPH | HOCH JEAN-RODOLPH | ||
En 1795, ouvrier de Fr.-Antoine Borel, pendulier à Couvet. | En 1795, ouvrier de Fr.-Antoine Borel, pendulier à Couvet. | ||
HOFER HENRI | HOFER HENRI | ||
Fabricant et marchand. Mentionné à Genève en 1920, 1924 et en 1940. Montres chronographes, compteurs, rattrapantes. | Fabricant et marchand. Mentionné à Genève en 1920, 1924 et en 1940. Montres chronographes, compteurs, rattrapantes. | ||
HOFFER A. | HOFFER A. | ||
Fabricant horloger et fameux régleur. Délégué suisse officiel à l'Exposition universelle de Chicago (U.S.A.) en 1893. Reçoit une mention honorable en 1896 au concours de réglage. | Fabricant horloger et fameux régleur. Délégué suisse officiel à l'Exposition universelle de Chicago (U.S.A.) en 1893. Reçoit une mention honorable en 1896 au concours de réglage. | ||
HOFFER HENRI | HOFFER HENRI | ||
Horloger-régleur, fabricant. Obtient le 3e prix au concours de chronométrie de Genève en 1885. | Horloger-régleur, fabricant. Obtient le 3e prix au concours de chronométrie de Genève en 1885. | ||
HOFFER JULES | HOFFER JULES | ||
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1866. | Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1866. | ||
HOFFER LOUIS-L. | HOFFER LOUIS-L. | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1852 et en 1866. | Horloger. Mentionné à Genève en 1852 et en 1866. | ||
HOFFRITZ | HOFFRITZ | ||
Horloger marchand genevois. Début du XXe siècle. On trouve sa signature sur une montre-réveil. | Horloger marchand genevois. Début du XXe siècle. On trouve sa signature sur une montre-réveil. | ||
HOLY FRERES S.A. | HOLY FRERES S.A. | ||
Etablissements. Fabrique et commerce d'articles d'horlogerie. Marque genevoise enregistrée en 1919 "H". Etablissement d'horlogerie, articles fantaisie, appareillage. Mentionné à Genève en 1920. | Etablissements. Fabrique et commerce d'articles d'horlogerie. Marque genevoise enregistrée en 1919 "H". Etablissement d'horlogerie, articles fantaisie, appareillage. Mentionné à Genève en 1920. | ||
HOMEL DAVID | HOMEL DAVID | ||
Maître horloger genevois. Fin du XVIIe, début du XVIIIe siècle. Forme Louis Rival (Rivaz) en 1700. | Maître horloger genevois. Fin du XVIIe, début du XVIIIe siècle. Forme Louis Rival (Rivaz) en 1700. | ||
HOOKE ROBERT | HOOKE ROBERT | ||
(1635 - 1703) Géomètre et physicien anglais. Les horlogers lui doivent l'invention d'une horloge à pendule conique, de l'échappement à ancre à recul qui lui permit de réduire considérablement l'amplitude du pendule des horloges de précision et d'une montre à deux balanciers. Hooke a préconisé le réglage du mouvement du balancier par un ressort et a même revendiqué - à tort - l'invention du spiral. Membre et secrétaire de la Société royale de Londres. | (1635 - 1703) Géomètre et physicien anglais. Les horlogers lui doivent l'invention d'une horloge à pendule conique, de l'échappement à ancre à recul qui lui permit de réduire considérablement l'amplitude du pendule des horloges de précision et d'une montre à deux balanciers. Hooke a préconisé le réglage du mouvement du balancier par un ressort et a même revendiqué - à tort - l'invention du spiral. Membre et secrétaire de la Société royale de Londres. | ||
HORLOGERS DU LOCLE | HORLOGERS DU LOCLE | ||
Dix mille horlogers du Locle, du XVIIe au XXe siècles à travers le répertoire du musée du Locle | Dix mille horlogers du Locle, du XVIIe au XXe siècles à travers le répertoire du musée du Locle | ||
HORNGACHER JEAN-SIMBERT (OU IMBERT) | HORNGACHER JEAN-SIMBERT (OU IMBERT) | ||
Maître orfèvre. Forme André Rousseau en 1664. | Maître orfèvre. Forme André Rousseau en 1664. | ||
HORUS | HORUS | ||
Marque genevoise enregistrée. | Marque genevoise enregistrée. | ||
HOURIET | HOURIET | ||
Famille. De nombreux horlogers de cette famille sont signalés à la Chaux d'Abel, à Tramelan, à Sonvilier. | Famille. De nombreux horlogers de cette famille sont signalés à la Chaux d'Abel, à Tramelan, à Sonvilier. | ||
HOURIET & CIE. | HOURIET & CIE. | ||
Fabrication et commerce d'horlogerie. "Havila" Marque genevoise enregistrée en 1917. | Fabrication et commerce d'horlogerie. "Havila" Marque genevoise enregistrée en 1917. | ||
HOURIET ALEXANDRE | HOURIET ALEXANDRE | ||
Célèbre graveur sur or, originaire de La Chaux d'Abel, se rendit d'abord à Genève, puis à Paris où il séjourna quelques années. Il revint au pays où il apprit son métier à Simon-Pierre Gagnebin. II a laissé inachevée une pendule astronomique qui aurait été un chef-d'oeuvre. Né en 1827 au Locle, décédé en 1859 à Louvet, fils d'Henri, époux de Rose Dubied, père de Charles Houriet. Étudia toutes les branches del'horlogerie au Locle et à Copenhague sous la direction de son parent Urban Jurgensen. Fonda un établissement au Locle, puis il se fixa à Couvet où il organisa une fabrique d'horlogerie fine. Une pendule de haute précision achetée en 1858 par l'Observatoire cantonal. | Célèbre graveur sur or, originaire de La Chaux d'Abel, se rendit d'abord à Genève, puis à Paris où il séjourna quelques années. Il revint au pays où il apprit son métier à Simon-Pierre Gagnebin. II a laissé inachevée une pendule astronomique qui aurait été un chef-d'oeuvre. Né en 1827 au Locle, décédé en 1859 à Louvet, fils d'Henri, époux de Rose Dubied, père de Charles Houriet. Étudia toutes les branches del'horlogerie au Locle et à Copenhague sous la direction de son parent Urban Jurgensen. Fonda un établissement au Locle, puis il se fixa à Couvet où il organisa une fabrique d'horlogerie fine. Une pendule de haute précision achetée en 1858 par l'Observatoire cantonal. | ||
HOURIET JACQUES-FRÉDÉRIC | HOURIET JACQUES-FRÉDÉRIC | ||
(La-Chaux-d'Abel 1743-1830). Fils de Jacob et de Marie-Madeleine Gagnebin. Apprenti chez Gagnebin, chez Renou et chez Abraham Louis Perrelet au Locle (Suisse). Vit neuf ans à Paris. Puis s'établitau Locle (Suisse). Est le véritable promoteur de l'horlogerie neuchâteloise de précision. En 1828, il présente à la Société des Arts, à Genève, un chronomètre qui résiste à l'influence magnétique (première fois en Suisse). L'inconvénient en est que l'alliage utilisé pour le spiral s'avère d'un poids spécifique trop élevé. Vers 1810, un thermomètre de poche en argent. Publie un article sur le mécanisme du spiral en 1814. Il peut être considéré comme le meilleur des horlogers jurassiens. Né à La Chaux d'Abel le 25 février 1743, il était fils de Jacob, capitaine de milices, de Sonvilier et de Marie-Madeleine Gagnebin, soeur d'Abraham III, le naturaliste A Paris, Houriet fit la connaissance de deux Neuchâtelois, Frédéric et Louis Berthoud ainsi que de Janvier et Breguet. Il s'établit à son compte et les conseils de ces grands horlogers lui furent précieux. Il entreprit alors la construction d'une pendule à régler, avec équation et compensation d'une grande précision.nVers 1768, J.-F. Houriet était de retour en Suisse et il s'installa au Locle où se trouvaient déjà trois de ses soeurs et son frère aîné. II y créa une fabrique avec son beau-frère David Courvoisier dont il épousa une fille née d'un premier mariage : il devint tout à la fois beau-frère et gendre de son associé. Il vécut au Locle pendant quarante ans et il s'y consacra avec une intelligence et un zèle remarquables à la fabrication de montres très soignées qui eurent tout de suite une grande réputation.nMais Houriet ne se borna pas à un travail routinier. C'était un esprit inventif et il peut être considéré comme le créateur du chronomètre de marine,nGrâce à son " spiral sphérique isochrone " qui fut breveté par l'Institut national de Paris. 11 fit aussi des thermomètres métalliques. I1 fut membre de plusieurs sociétés savantes de Suisse et de l'étranger.nJacques-Frédéric Houriet est mort au Locle le 12 janvier 1830. Sa fille Sophie épousa le Danois Urbain Jurgensen qui se fit aussi une brillante réputation dans la belle industrie où J.-F. Houriet tint une si grande place. | (La-Chaux-d'Abel 1743-1830). Fils de Jacob et de Marie-Madeleine Gagnebin. Apprenti chez Gagnebin, chez Renou et chez Abraham Louis Perrelet au Locle (Suisse). Vit neuf ans à Paris. Puis s'établitau Locle (Suisse). Est le véritable promoteur de l'horlogerie neuchâteloise de précision. En 1828, il présente à la Société des Arts, à Genève, un chronomètre qui résiste à l'influence magnétique (première fois en Suisse). L'inconvénient en est que l'alliage utilisé pour le spiral s'avère d'un poids spécifique trop élevé. Vers 1810, un thermomètre de poche en argent. Publie un article sur le mécanisme du spiral en 1814. Il peut être considéré comme le meilleur des horlogers jurassiens. Né à La Chaux d'Abel le 25 février 1743, il était fils de Jacob, capitaine de milices, de Sonvilier et de Marie-Madeleine Gagnebin, soeur d'Abraham III, le naturaliste A Paris, Houriet fit la connaissance de deux Neuchâtelois, Frédéric et Louis Berthoud ainsi que de Janvier et Breguet. Il s'établit à son compte et les conseils de ces grands horlogers lui furent précieux. Il entreprit alors la construction d'une pendule à régler, avec équation et compensation d'une grande précision.nVers 1768, J.-F. Houriet était de retour en Suisse et il s'installa au Locle où se trouvaient déjà trois de ses soeurs et son frère aîné. II y créa une fabrique avec son beau-frère David Courvoisier dont il épousa une fille née d'un premier mariage : il devint tout à la fois beau-frère et gendre de son associé. Il vécut au Locle pendant quarante ans et il s'y consacra avec une intelligence et un zèle remarquables à la fabrication de montres très soignées qui eurent tout de suite une grande réputation.nMais Houriet ne se borna pas à un travail routinier. C'était un esprit inventif et il peut être considéré comme le créateur du chronomètre de marine,nGrâce à son " spiral sphérique isochrone " qui fut breveté par l'Institut national de Paris. 11 fit aussi des thermomètres métalliques. I1 fut membre de plusieurs sociétés savantes de Suisse et de l'étranger.nJacques-Frédéric Houriet est mort au Locle le 12 janvier 1830. Sa fille Sophie épousa le Danois Urbain Jurgensen qui se fit aussi une brillante réputation dans la belle industrie où J.-F. Houriet tint une si grande place. | ||
HOURIET LOUIS | HOURIET LOUIS | ||
Né en 1854 au Locle. C'était un artiste horloger. Il fut professeur à l'Ecole d'horlogerie de Saint-Imier de 1891 à 1899, Il créa les jouets animés et publia quelques manuels destinés à l'enseignement de l'horlogerie. Il est décédé en 1925. | Né en 1854 au Locle. C'était un artiste horloger. Il fut professeur à l'Ecole d'horlogerie de Saint-Imier de 1891 à 1899, Il créa les jouets animés et publia quelques manuels destinés à l'enseignement de l'horlogerie. Il est décédé en 1925. | ||
HOURIET M. ET O. | HOURIET M. ET O. | ||
Peintres sur émail. Mentionnés à Genève en 1900 et en 1924. | Peintres sur émail. Mentionnés à Genève en 1900 et en 1924. | ||
HOURIETT | HOURIETT | ||
Marque genevoise enregistrée. | Marque genevoise enregistrée. | ||
HR | HR | ||
Marque genevoise enregistrée. | Marque genevoise enregistrée. | ||
HUAUD AMI (AMY) | HUAUD AMI (AMY) | ||
(1657-1724). Fils de Pierre I. Peintre sur émail. Elève de son père. Associé avec son frère Jean-Pierre de 1682 à 1688. Epouse en seconde noce, Antoinette Dutoit en 1684. Est appelé avec Jean-Pierre à la Cour de l'Electeur de Brandebourg en 1686. Rentre définitivement à Genève en 1700. Ses ceuvres sont exécutées en grande partie avec son frère. On ne connaît pas d'oeuvres signées par lui. | (1657-1724). Fils de Pierre I. Peintre sur émail. Elève de son père. Associé avec son frère Jean-Pierre de 1682 à 1688. Epouse en seconde noce, Antoinette Dutoit en 1684. Est appelé avec Jean-Pierre à la Cour de l'Electeur de Brandebourg en 1686. Rentre définitivement à Genève en 1700. Ses ceuvres sont exécutées en grande partie avec son frère. On ne connaît pas d'oeuvres signées par lui. | ||
HUAUD FRANÇOIS | HUAUD FRANÇOIS | ||
(1701-1729). Fils de Jean-Pierre. Peintre sur émail. | (1701-1729). Fils de Jean-Pierre. Peintre sur émail. | ||
HUAUD FRERES JEAN-PIERRE ET AMI | HUAUD FRERES JEAN-PIERRE ET AMI | ||
Fils de Pierre Huaud. Associés de 1682 à 1688. Parmi les oeuvres peintes les plus connues: Diane et Actéon, Lejugement de Pâris, La Sainte Famille, Jean Baptiste, L'Adoration des Bergers, La Nativité, des groupes idylliques, une tasse assortie d'une soucoupe entièrement émaillées et ornées de médaillons à scènes mythologiques, ainsi que des miniatures sur ivoire et parchemin. Les boîtes peintes sur cuivre par la famille Huaud sont beaucoup plus rares que sur or, malgré le coût relatif du matériau. Les couleurs, sur cuivre, ont tendance à être plus douces dans leur ton et la qualité est meilleure que beaucoup d'oeuvres peintes sur or. En 1686, un émissaire de Grand-Electeur Frédéric-Guillaume 1er avait cherché à enrôler des gens de métier pour le Brandebourg, où ils auraient dû aider, dans leur activité, les huguenots français qui s'y étaient réfugiés après la révocation de l'Edit de Nantes.nBien rares furent les artisans genevois qui se laissèrent tenter par les sollicitations de l'envoyé du Grand-Electeur. La même année, Frédéric-Guillaume 1er écrivit au Conseil pour demander qu'il permît aux frères JeanPierre et Ami Huaud, peintres sur émail de grand talent, de venir se fixer dans ses états. Malgré sa répugnance, le Conseil dut accorder cette autorisation aux deux artistes, qui restèrent à Berlin jusqu'en 1700, date à laquelle ils revinrent à Genève. | Fils de Pierre Huaud. Associés de 1682 à 1688. Parmi les oeuvres peintes les plus connues: Diane et Actéon, Lejugement de Pâris, La Sainte Famille, Jean Baptiste, L'Adoration des Bergers, La Nativité, des groupes idylliques, une tasse assortie d'une soucoupe entièrement émaillées et ornées de médaillons à scènes mythologiques, ainsi que des miniatures sur ivoire et parchemin. Les boîtes peintes sur cuivre par la famille Huaud sont beaucoup plus rares que sur or, malgré le coût relatif du matériau. Les couleurs, sur cuivre, ont tendance à être plus douces dans leur ton et la qualité est meilleure que beaucoup d'oeuvres peintes sur or. En 1686, un émissaire de Grand-Electeur Frédéric-Guillaume 1er avait cherché à enrôler des gens de métier pour le Brandebourg, où ils auraient dû aider, dans leur activité, les huguenots français qui s'y étaient réfugiés après la révocation de l'Edit de Nantes.nBien rares furent les artisans genevois qui se laissèrent tenter par les sollicitations de l'envoyé du Grand-Electeur. La même année, Frédéric-Guillaume 1er écrivit au Conseil pour demander qu'il permît aux frères JeanPierre et Ami Huaud, peintres sur émail de grand talent, de venir se fixer dans ses états. Malgré sa répugnance, le Conseil dut accorder cette autorisation aux deux artistes, qui restèrent à Berlin jusqu'en 1700, date à laquelle ils revinrent à Genève. | ||
HUAUD JEAN-PIERRE | HUAUD JEAN-PIERRE | ||
(1655-1725). Second fils de Pierre I. Peintre sur émail. Elève de son père. Associé avec son frère Ami de 1682 à 1688. Se marie avec Adrienne de Tudert en Novembre 1684. Appelé avec sa femme à la Cour de l'Electeur de Brandebourg en 1686, il fallut que le roi de Prusse écrive au Conseil de Genève de le laisser partir. Rentrent à Genève en 1700. Les signatures les plus reconnues: "Huaud le puisné fecit"; "Huaud le puiné fecit"; "Huaud le puisné peintre de son A.E. à Berlin". | (1655-1725). Second fils de Pierre I. Peintre sur émail. Elève de son père. Associé avec son frère Ami de 1682 à 1688. Se marie avec Adrienne de Tudert en Novembre 1684. Appelé avec sa femme à la Cour de l'Electeur de Brandebourg en 1686, il fallut que le roi de Prusse écrive au Conseil de Genève de le laisser partir. Rentrent à Genève en 1700. Les signatures les plus reconnues: "Huaud le puisné fecit"; "Huaud le puiné fecit"; "Huaud le puisné peintre de son A.E. à Berlin". | ||
HUAUD LOUIS | HUAUD LOUIS | ||
Fils d'Ami. Né à Genève en 1719, mort à l'étranger entre 1732 et 1751. Peintre sur émail. | Fils d'Ami. Né à Genève en 1719, mort à l'étranger entre 1732 et 1751. Peintre sur émail. | ||
HUAUD PIERRE I | HUAUD PIERRE I | ||
(1612-1680). Fils d'orfèvre, originaire de Châtellerault (France). Réfugié à Genève en 1630 à l'âge de 18 ans. Entre en apprentissage chez Laurent Legare maître orfèvre, la même année. Compagnon en 1634, puis maître orfèvre. Epouse, le 18 juin 1643, Françoise Mussard qui lui donne trois fils: Pierre II, Jean-Pierre et Ami. Forme Jean I André en 1661, Isaac Gastineau de 1659 à 1661. Reçu bourgeois avec ses trois fils en 1671. Aujourd'hui, on ne connaît pas de boîte signée par Huaud père, mais étant donné la période durant laquelle il travaille, on ne peut que les lui attribuer. Il faut noter que Pierre Huaud, réfugié Huguenot et venant de Blois où il était apprenti, conserva à Genève une partie de la technique enseignée par les grands maîtres français. Cependant, il développa plus tard à Genève une nouvelle technique de peinture en pointillé qu'il transmit à ses élèves. | (1612-1680). Fils d'orfèvre, originaire de Châtellerault (France). Réfugié à Genève en 1630 à l'âge de 18 ans. Entre en apprentissage chez Laurent Legare maître orfèvre, la même année. Compagnon en 1634, puis maître orfèvre. Epouse, le 18 juin 1643, Françoise Mussard qui lui donne trois fils: Pierre II, Jean-Pierre et Ami. Forme Jean I André en 1661, Isaac Gastineau de 1659 à 1661. Reçu bourgeois avec ses trois fils en 1671. Aujourd'hui, on ne connaît pas de boîte signée par Huaud père, mais étant donné la période durant laquelle il travaille, on ne peut que les lui attribuer. Il faut noter que Pierre Huaud, réfugié Huguenot et venant de Blois où il était apprenti, conserva à Genève une partie de la technique enseignée par les grands maîtres français. Cependant, il développa plus tard à Genève une nouvelle technique de peinture en pointillé qu'il transmit à ses élèves. | ||
HUAUD PIERRE II. | HUAUD PIERRE II. | ||
(1647-1698). Fils aîné de Pierre I. Apprenti chez son père. Epouse Eva Delarue en 1678 dont il a quatre enfants. Travaille avec ses deux frères Jean-Pierre et Ami. Se rend à Berlin (Allemagne) en 1685. Rentre à Genève en 1686. Repart pour l'Allemagne en 1689 et on le trouve peintre-miniaturiste attaché au Grand Electeur Frédéric III dès le 19 septembre 1691. Meurt avant 1698, car sa veuve est mentionnée sur les listes des réfugiés à Berlin, à cette date. Est le plus habile des trois frères. Parmi les signatures relevées sur ses émaux: "P. Huaud l'aisné pinxit à Genève"; "Petrus Huaud Mayor Natus pinxit Geneva 1688"; "Huaud l'aisné pinxit à Genève"; "P. Huaud l'aisné pinxit à Genève 1684"; "P. Huaud p. à G."; "P. Huaud p. à Genève";"P. Huaud"; "P. Huaud l'aisné pinxit"; "Huaud l'aisné pinxit à Genève"; "P. Huaud pr. Gens pin. G."; "P. Huaud l'aîné pinxit à Genève"; "Aisné pinxit à Genève 1681"; "Huaut p."; "P. Huaut P. à G. 1672"; "P. Huault". Sur les montres, la signature se trouve le plus souvent dans une cartouche, sur la carrure, quelquefois sur le décor. Est au revers des portraits. | (1647-1698). Fils aîné de Pierre I. Apprenti chez son père. Epouse Eva Delarue en 1678 dont il a quatre enfants. Travaille avec ses deux frères Jean-Pierre et Ami. Se rend à Berlin (Allemagne) en 1685. Rentre à Genève en 1686. Repart pour l'Allemagne en 1689 et on le trouve peintre-miniaturiste attaché au Grand Electeur Frédéric III dès le 19 septembre 1691. Meurt avant 1698, car sa veuve est mentionnée sur les listes des réfugiés à Berlin, à cette date. Est le plus habile des trois frères. Parmi les signatures relevées sur ses émaux: "P. Huaud l'aisné pinxit à Genève"; "Petrus Huaud Mayor Natus pinxit Geneva 1688"; "Huaud l'aisné pinxit à Genève"; "P. Huaud l'aisné pinxit à Genève 1684"; "P. Huaud p. à G."; "P. Huaud p. à Genève";"P. Huaud"; "P. Huaud l'aisné pinxit"; "Huaud l'aisné pinxit à Genève"; "P. Huaud pr. Gens pin. G."; "P. Huaud l'aîné pinxit à Genève"; "Aisné pinxit à Genève 1681"; "Huaut p."; "P. Huaut P. à G. 1672"; "P. Huault". Sur les montres, la signature se trouve le plus souvent dans une cartouche, sur la carrure, quelquefois sur le décor. Est au revers des portraits. | ||
HUAUT PAUL-GÉDÉON | HUAUT PAUL-GÉDÉON | ||
Maître horloger genevois. Mentionné en 1790. | Maître horloger genevois. Mentionné en 1790. | ||
HUBERT ETIENNE | HUBERT ETIENNE | ||
(1652-1708). De Rouen (France). Maître horloger. Réfugié en 1692, Reçu habitant de Genève en 1696. Montres oignon de style français avec et sans fusée. | (1652-1708). De Rouen (France). Maître horloger. Réfugié en 1692, Reçu habitant de Genève en 1696. Montres oignon de style français avec et sans fusée. | ||
HUBERT FRÈRES | HUBERT FRÈRES | ||
Peintres sur émail genevois. Vers 1780. | Peintres sur émail genevois. Vers 1780. | ||
HUBERT JACOB LOUIS | HUBERT JACOB LOUIS | ||
Fils de Paul. Peintre sur émail. S'associe avec son père et Pierre Fe, en 1762. | Fils de Paul. Peintre sur émail. S'associe avec son père et Pierre Fe, en 1762. | ||
HUBERT PAUL | HUBERT PAUL | ||
Maître et marchand horloger. Travaille à Rouen. Réfugié à Genève durant la persécution qui suivit la révocation de l'Edit de Nantes. Forme Isaac II Caillate (Caillatte) en 1683. Demande une diminution de la somme à payer pour devenir maître en 1682. Signe une montre en laiton doré et émail peint que l'on peut attribuer à Jean Mussard (1681-1754). | Maître et marchand horloger. Travaille à Rouen. Réfugié à Genève durant la persécution qui suivit la révocation de l'Edit de Nantes. Forme Isaac II Caillate (Caillatte) en 1683. Demande une diminution de la somme à payer pour devenir maître en 1682. Signe une montre en laiton doré et émail peint que l'on peut attribuer à Jean Mussard (1681-1754). | ||
HUBERT-CHENEVIERE JEAN PAUL | HUBERT-CHENEVIERE JEAN PAUL | ||
(Genève 1732-1803). Peintre sur émail. S'associe avec son fils Jacob Louis et Pierre Fe, en 1762. En février 1795, il adresse une requête au Département des Arts, s'élevant contre le prétexte du manque d'argent, qu'on a fait valoir pour restreindre les subsides. | (Genève 1732-1803). Peintre sur émail. S'associe avec son fils Jacob Louis et Pierre Fe, en 1762. En février 1795, il adresse une requête au Département des Arts, s'élevant contre le prétexte du manque d'argent, qu'on a fait valoir pour restreindre les subsides. | ||
HUC | HUC | ||
Fabricant d'horlogerie genevois. 1791. | Fabricant d'horlogerie genevois. 1791. | ||
HUGARD | HUGARD | ||
Horloger-repasseur. Mentionné à Genève en 1835. | Horloger-repasseur. Mentionné à Genève en 1835. | ||
HUGUEININ HENRI-CHARLES | HUGUEININ HENRI-CHARLES | ||
Ouvrier de Pierre Jarquet-Droz jusqu'en septembre 1772, puis de son fils Henri-Louis. | Ouvrier de Pierre Jarquet-Droz jusqu'en septembre 1772, puis de son fils Henri-Louis. | ||
HUGUELET ABRAM | HUGUELET ABRAM | ||
fils d'Abram, maire de Vauffelin (Berne), Reçu habitant de La Chaux-de-Fonds en 1794. Pendulier, établisseur et négociant en horlogerie, fréquente régulièrement les foires d'Allemagne. Achète en 1816 des cabinets de pendules à Ch. Dubois. De 1818 à 1822 envoie une centaine de pendules et de mouvements à Breslau et à Berlin. | fils d'Abram, maire de Vauffelin (Berne), Reçu habitant de La Chaux-de-Fonds en 1794. Pendulier, établisseur et négociant en horlogerie, fréquente régulièrement les foires d'Allemagne. Achète en 1816 des cabinets de pendules à Ch. Dubois. De 1818 à 1822 envoie une centaine de pendules et de mouvements à Breslau et à Berlin. | ||
HUGUELET JEAN-FRANÇOIS | HUGUELET JEAN-FRANÇOIS | ||
Fils de Jean-François, maire de Vaulfelin (Berne), grand-père d'Abram. Fait apprentissage de pendulier chez Adam Droz-dit-Basset de 1737 à 1739. | Fils de Jean-François, maire de Vaulfelin (Berne), grand-père d'Abram. Fait apprentissage de pendulier chez Adam Droz-dit-Basset de 1737 à 1739. | ||
HUGUELET JEAN-FRANÇOIS-127 | HUGUELET JEAN-FRANÇOIS-127 | ||
Fils de Jean-François, aussi de Vauffelin, a fait son apprentissage de pendulier chez Adam Droz-dit-Busset, de 1737 à 1739. | Fils de Jean-François, aussi de Vauffelin, a fait son apprentissage de pendulier chez Adam Droz-dit-Busset, de 1737 à 1739. | ||
HUGUENIN | HUGUENIN | ||
Horloger-repasseur. Mentionné à Genève en 1835. | Horloger-repasseur. Mentionné à Genève en 1835. | ||
HUGUENIN & TISSOT | HUGUENIN & TISSOT | ||
Horlogers genevois. 1870-1900 environ. Montres compliquées de très bonne qualité. | Horlogers genevois. 1870-1900 environ. Montres compliquées de très bonne qualité. | ||
HUGUENIN A. & CIE. | HUGUENIN A. & CIE. | ||
Horlogers, fabricants et marchands. Vers le milieu du XIXe siècle à Genève. Montres en tous genres, parmi lesquelles des montres-pendentifs. | Horlogers, fabricants et marchands. Vers le milieu du XIXe siècle à Genève. Montres en tous genres, parmi lesquelles des montres-pendentifs. | ||
HUGUENIN A.-L. | HUGUENIN A.-L. | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1874. | Horloger. Mentionné à Genève en 1874. | ||
HUGUENIN ABRAM | HUGUENIN ABRAM | ||
Fils de Moïse, frère et associé de Moise. Horloger du roi depuis 1736. Maitre pendulier très expert à La Chaux-de-Fonds. En 1741, gouverneur de commune et justicier en 1754, maire de la Sagne en 1769. à eu comme apprentis: Daniel Brandt, J.-M.-A. Falcon, et J.-J. Veuve et comme ouvrier Daniel Boulet. Succursale à Londres, relations importantes en Suisse et à l'étranger, Bâle et Strasbourg en particulier. Un très grand nombre de pendules signées sur le mouvement. | Fils de Moïse, frère et associé de Moise. Horloger du roi depuis 1736. Maitre pendulier très expert à La Chaux-de-Fonds. En 1741, gouverneur de commune et justicier en 1754, maire de la Sagne en 1769. à eu comme apprentis: Daniel Brandt, J.-M.-A. Falcon, et J.-J. Veuve et comme ouvrier Daniel Boulet. Succursale à Londres, relations importantes en Suisse et à l'étranger, Bâle et Strasbourg en particulier. Un très grand nombre de pendules signées sur le mouvement. | ||
HUGUENIN ABRAM-124 | HUGUENIN ABRAM-124 | ||
Cité au Locle en 1643 à propos d'une vente d'horloge. | Cité au Locle en 1643 à propos d'une vente d'horloge. | ||
HUGUENIN ABRAM-126 | HUGUENIN ABRAM-126 | ||
La vie aventureuse et les exploits de ce Neuchâtelois l'ont amené à deux reprises dans le Jura et l'on ne peut ignorer l'activité qu'il y déploya. Cet horloger de talent est né à La Chaux-de-Fonds le 29 juin 1733. II était fils de Moïse de la famille des Huguenin dit du Bichon. On ne sait trop où il fit son apprentissage, probablement au sein de sa famille. Avec son frère du nom de Moïse également, il fonda ànValanvron, à proximité de La Ferrière, une fabrique de pendules et ils obtinrent l'autorisation de porter le titre d'« horlogers du roi de Prusse et de la cour » . Le domaine où ils travaillaient comprenait une exploitation agricole et ils partageaient leur activité entre la fabrication de leurs pendules et la culture du sol. Ils formèrent un bon nombre d'apprentis. Plus tard, ils établirent une succursale à Londres. Abram-Louis fit un certain nombre de voyages et de séjours à l'étranger où il. se perfectionna dans l'étude de la musique, art qu'il lui était nécessaire de connaître, car il s'était spécialisé dans la fabrication des pendules jouant des airs de flûte ou des carillons.nAbram-Louis Huguenin était un homme très intelligent et très actif. Très bien de sa personne, beau parleur, il. eut successivement quatre femmes. En 1765, il fut appelé à Berlin pour diriger la fabrique royale de Frédéric II. Lancée à grands renforts de prospectus, l'entreprise eut des débuts fort difficiles et, après mille déboires, elle finit par tomber. Le roi de Prusse subit de ce fait une perte considérable. A cette époque, la femme d'A.-L. Huguenin était tombée malade : il demanda et obtint l'autorisation de rentrer en Suisse vers la fin de 1769.nAvec le fils de feu le lieutenant Voumard et le maire Béguelin, il fonde un atelier sous la raison : Voumard, Huguenin et Cie.nLa nouvelle industrie parut prospérer, au début du moins, " Monsieur Huguenin de Berlin " comme il s'intitulait lui-même, était un gros personnage, fréquentant la bonne société de la région. Le 31 juillet 1774, un fils naquit qui fut baptisé par le pasteur Frêne et dont celui-ci fut lui-même le parrain. Mais l'affaire ne tarda pas à se gâter et, à la fin de 1775, il était en procès avec ses associés l).nVoici l'aventurier à Porrentruy. I1 a réussi à s'insinuer dans la famille de l'orfèvre Dominique Münch, et dont il avait attiré dans ses... filets une des filles. Münch était mort en 1747 et avait laissé une belle fortune. Bonne aubaine pour HugueninnLe 10 avril 1782, à Rastatt, Abram Huguenin épousa Maria-Antonia Münch de Porrentruy. L'année suivante, il était à la cour de la princesse de Wurtemberg qui résidait à Montbéliard. Il dut vivre là jusqu'en 1789.nOn le retrouve à Bienne en 1792 où il prit part au mouvement révolutionnaire, sans doute pour tâcher de se venger de toutes les déconvenues que lui avaient values et sa mauvaise foi et sa conduite extravagante. On ignore le lieu et la date de sa mort. | La vie aventureuse et les exploits de ce Neuchâtelois l'ont amené à deux reprises dans le Jura et l'on ne peut ignorer l'activité qu'il y déploya. Cet horloger de talent est né à La Chaux-de-Fonds le 29 juin 1733. II était fils de Moïse de la famille des Huguenin dit du Bichon. On ne sait trop où il fit son apprentissage, probablement au sein de sa famille. Avec son frère du nom de Moïse également, il fonda ànValanvron, à proximité de La Ferrière, une fabrique de pendules et ils obtinrent l'autorisation de porter le titre d'« horlogers du roi de Prusse et de la cour » . Le domaine où ils travaillaient comprenait une exploitation agricole et ils partageaient leur activité entre la fabrication de leurs pendules et la culture du sol. Ils formèrent un bon nombre d'apprentis. Plus tard, ils établirent une succursale à Londres. Abram-Louis fit un certain nombre de voyages et de séjours à l'étranger où il. se perfectionna dans l'étude de la musique, art qu'il lui était nécessaire de connaître, car il s'était spécialisé dans la fabrication des pendules jouant des airs de flûte ou des carillons.nAbram-Louis Huguenin était un homme très intelligent et très actif. Très bien de sa personne, beau parleur, il. eut successivement quatre femmes. En 1765, il fut appelé à Berlin pour diriger la fabrique royale de Frédéric II. Lancée à grands renforts de prospectus, l'entreprise eut des débuts fort difficiles et, après mille déboires, elle finit par tomber. Le roi de Prusse subit de ce fait une perte considérable. A cette époque, la femme d'A.-L. Huguenin était tombée malade : il demanda et obtint l'autorisation de rentrer en Suisse vers la fin de 1769.nAvec le fils de feu le lieutenant Voumard et le maire Béguelin, il fonde un atelier sous la raison : Voumard, Huguenin et Cie.nLa nouvelle industrie parut prospérer, au début du moins, " Monsieur Huguenin de Berlin " comme il s'intitulait lui-même, était un gros personnage, fréquentant la bonne société de la région. Le 31 juillet 1774, un fils naquit qui fut baptisé par le pasteur Frêne et dont celui-ci fut lui-même le parrain. Mais l'affaire ne tarda pas à se gâter et, à la fin de 1775, il était en procès avec ses associés l).nVoici l'aventurier à Porrentruy. I1 a réussi à s'insinuer dans la famille de l'orfèvre Dominique Münch, et dont il avait attiré dans ses... filets une des filles. Münch était mort en 1747 et avait laissé une belle fortune. Bonne aubaine pour HugueninnLe 10 avril 1782, à Rastatt, Abram Huguenin épousa Maria-Antonia Münch de Porrentruy. L'année suivante, il était à la cour de la princesse de Wurtemberg qui résidait à Montbéliard. Il dut vivre là jusqu'en 1789.nOn le retrouve à Bienne en 1792 où il prit part au mouvement révolutionnaire, sans doute pour tâcher de se venger de toutes les déconvenues que lui avaient values et sa mauvaise foi et sa conduite extravagante. On ignore le lieu et la date de sa mort. | ||
HUGUENIN ASANA-LOUIS | HUGUENIN ASANA-LOUIS | ||
fils d'Abram-Louis, neveu des frères Huguenin. Horloger-pendulier. Directeur en 1765 de la fabrique royale d'horlogerie de Berlin | fils d'Abram-Louis, neveu des frères Huguenin. Horloger-pendulier. Directeur en 1765 de la fabrique royale d'horlogerie de Berlin | ||
HUGUENIN AUGUSTE | HUGUENIN AUGUSTE | ||
Mentionné à Genève en 1860. Horloger. | Mentionné à Genève en 1860. Horloger. | ||
HUGUENIN BENJAMIN | HUGUENIN BENJAMIN | ||
Fils de Jean. Apprenti d'Abram Montandon, pendulier à La Chaux-de-Fonds en 1782. | Fils de Jean. Apprenti d'Abram Montandon, pendulier à La Chaux-de-Fonds en 1782. | ||
HUGUENIN CHARLES | HUGUENIN CHARLES | ||
Pendulier au Basset, près la Brévine, en 1806. | Pendulier au Basset, près la Brévine, en 1806. | ||
HUGUENIN CHARLES-FRÉDÉRIC | HUGUENIN CHARLES-FRÉDÉRIC | ||
Fils de Charles-Frédéric, horloger, Maître pendulier à La Chaux-de-Fonds en 1790. Une pendule à sonnerie des demies, signée sur le mouvement. | Fils de Charles-Frédéric, horloger, Maître pendulier à La Chaux-de-Fonds en 1790. Une pendule à sonnerie des demies, signée sur le mouvement. | ||
HUGUENIN DANIEL-JEAN | HUGUENIN DANIEL-JEAN | ||
Achète des roues d'horloges au Locle en 1661. | Achète des roues d'horloges au Locle en 1661. | ||
HUGUENIN DAVID-GUILLAUME | HUGUENIN DAVID-GUILLAUME | ||
Né en 1765, décéde en 1841, fils de David, époux de Julie Matthey-Doret. Maire de la Brévine et Conseiller d'Etat. Fit des montres, des pendules et une horloge de précision. | Né en 1765, décéde en 1841, fils de David, époux de Julie Matthey-Doret. Maire de la Brévine et Conseiller d'Etat. Fit des montres, des pendules et une horloge de précision. | ||
HUGUENIN EMILE | HUGUENIN EMILE | ||
Fabricant d'horlogerie aux Ponts-de-Martel; a fait un régulateur vers 186o. | Fabricant d'horlogerie aux Ponts-de-Martel; a fait un régulateur vers 186o. | ||
HUGUENIN FRÉDÉRIC-LOUIS | HUGUENIN FRÉDÉRIC-LOUIS | ||
Fils de L.-Frédéric et de Suzanne Droz-dit-Basset. Reprend vers 1764 l'atelier de pendulerie de ses parents à La Chaux-de-Fonds. Cité jusqu'en 1800. A comme apprentis: Daniel Droz-dit-Basset et Jean-Pierre Challasse. Plusieurs jolies pendules signées sur le mouvement. | Fils de L.-Frédéric et de Suzanne Droz-dit-Basset. Reprend vers 1764 l'atelier de pendulerie de ses parents à La Chaux-de-Fonds. Cité jusqu'en 1800. A comme apprentis: Daniel Droz-dit-Basset et Jean-Pierre Challasse. Plusieurs jolies pendules signées sur le mouvement. | ||
HUGUENIN G.A. | HUGUENIN G.A. | ||
Mentionné à Genève, troisième tiers du XIXe siècle. Montres fabriquées pour l'Espagne et l'Amérique du Sud, boîtes gravées, cadrans en argent et en or enrichis d'appliques. Mouvement à remontoir au pendant, échappement à ancre. | Mentionné à Genève, troisième tiers du XIXe siècle. Montres fabriquées pour l'Espagne et l'Amérique du Sud, boîtes gravées, cadrans en argent et en or enrichis d'appliques. Mouvement à remontoir au pendant, échappement à ancre. | ||
HUGUENIN H. | HUGUENIN H. | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1874. | Horloger. Mentionné à Genève en 1874. | ||
HUGUENIN ISAAC | HUGUENIN ISAAC | ||
Fils d'Isaac. Reçoit en 1785 Lettre d'apprentissage de Jean-Jacques Perret-Jeanneret, pendulier à La Brévine. | Fils d'Isaac. Reçoit en 1785 Lettre d'apprentissage de Jean-Jacques Perret-Jeanneret, pendulier à La Brévine. | ||
HUGUENIN J. | HUGUENIN J. | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1851. | Horloger. Mentionné à Genève en 1851. | ||
HUGUENIN JACQUES | HUGUENIN JACQUES | ||
Régent d'école au Locle en 1675. S'engage à peindre les cadrans de la tour et à les orner de diverses figures. | Régent d'école au Locle en 1675. S'engage à peindre les cadrans de la tour et à les orner de diverses figures. | ||
HUGUENIN JEAN-PIERRE | HUGUENIN JEAN-PIERRE | ||
Né en 1718, fils de David, époux d'Anne-Marie Morel. "Maître et marchand-horloger en pendules ". Cité de 1739 à 1786. A eu comme apprenti en 1776 François-Louis Borel. Plusieurs jolies pendules signées. | Né en 1718, fils de David, époux d'Anne-Marie Morel. "Maître et marchand-horloger en pendules ". Cité de 1739 à 1786. A eu comme apprenti en 1776 François-Louis Borel. Plusieurs jolies pendules signées. | ||
HUGUENIN JOHN | HUGUENIN JOHN | ||
Maître de "repassage" à l'Ecole d'Horlogerie de Genève. Publie en 1883, 1897 et 1907 des articles qui traitent les parties détachées de ces complications et "l'établissage et repassage de chronographes". | Maître de "repassage" à l'Ecole d'Horlogerie de Genève. Publie en 1883, 1897 et 1907 des articles qui traitent les parties détachées de ces complications et "l'établissage et repassage de chronographes". | ||
HUGUENIN JULES-FRÉD | HUGUENIN JULES-FRÉD | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1862. | Horloger. Mentionné à Genève en 1862. | ||
HUGUENIN JUSTIN | HUGUENIN JUSTIN | ||
Pendulier à Couvet Reçoit de 1843 et en 1845 des cabinets de Ch.-Fr. Dubois. | Pendulier à Couvet Reçoit de 1843 et en 1845 des cabinets de Ch.-Fr. Dubois. | ||
HUGUENIN JUSTIN-125 | HUGUENIN JUSTIN-125 | ||
Atelier d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1866. | Atelier d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1866. | ||
HUGUENIN MOÏSE | HUGUENIN MOÏSE | ||
Fils de Moïse, frère d'Abram dont il est l'associé comme maître-pendulier. Achète en 1727 une boîte pleine de moules à mouler pour les fondeurs de métaux, et un beau cabinet en sculpture doré à mettre une pendule. Horloger du roi de Prusse depuis 1736. En 1745, il achète une terre au Valanvron au nom des frères Huguenin; habite en 1750 à la Sombaille (La Chaux-de-Fonds). | Fils de Moïse, frère d'Abram dont il est l'associé comme maître-pendulier. Achète en 1727 une boîte pleine de moules à mouler pour les fondeurs de métaux, et un beau cabinet en sculpture doré à mettre une pendule. Horloger du roi de Prusse depuis 1736. En 1745, il achète une terre au Valanvron au nom des frères Huguenin; habite en 1750 à la Sombaille (La Chaux-de-Fonds). | ||
HUGUENIN PIERRE-FRÉDÉRIC | HUGUENIN PIERRE-FRÉDÉRIC | ||
Fondeur à La Chaux-de-Fonds. Fait de 1781 à 1784 des timbres accords pour carillons et des ornements de pendules pour J. Robert et fils. | Fondeur à La Chaux-de-Fonds. Fait de 1781 à 1784 des timbres accords pour carillons et des ornements de pendules pour J. Robert et fils. | ||
HUGUENIN RENÉ | HUGUENIN RENÉ | ||
Commerce d'horlogerie et d'articles d'horlogerie. "Debova" Marque genevoise enregistrée en 1922. | Commerce d'horlogerie et d'articles d'horlogerie. "Debova" Marque genevoise enregistrée en 1922. | ||
HUGUENIN W. E. | HUGUENIN W. E. | ||
Fabrication et commerce d'articles d'horlogerie. "Cresarrow" Marque genevoise enregistrée en 1916. Mentionné à Genève en 1924. | Fabrication et commerce d'articles d'horlogerie. "Cresarrow" Marque genevoise enregistrée en 1916. Mentionné à Genève en 1924. | ||
HUGUENIN-DIT-RICHARD BALTHAZARD | HUGUENIN-DIT-RICHARD BALTHAZARD | ||
Horloger au Locle avant 1660. Son frère Daniel paraît avoir pratiqué l'horlogerie. | Horloger au Locle avant 1660. Son frère Daniel paraît avoir pratiqué l'horlogerie. | ||
HUGUENIN-DOTHAUX DAVID | HUGUENIN-DOTHAUX DAVID | ||
Émailleur en gros volume au Locle, en 1764. | Émailleur en gros volume au Locle, en 1764. | ||
HUGUENIN-PANCHAUD AUG. | HUGUENIN-PANCHAUD AUG. | ||
Peintres sur émail. Mentionné à Genève en 1860. | Peintres sur émail. Mentionné à Genève en 1860. | ||
HUGUENIN-RICHARD | HUGUENIN-RICHARD | ||
Originaire du Locle. Cité comme pendulier en 1818. | Originaire du Locle. Cité comme pendulier en 1818. | ||
HUGUENIN-VIRCHAUX MOÏSE | HUGUENIN-VIRCHAUX MOÏSE | ||
Fils de Daniel. "Faiseur" de cadrans, émailleur. A deux fils. Reçu habitant de Genève en 1791. | Fils de Daniel. "Faiseur" de cadrans, émailleur. A deux fils. Reçu habitant de Genève en 1791. | ||
HUMBERSET | HUMBERSET | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1835. | Horloger. Mentionné à Genève en 1835. | ||
HUMBERSET FRÉDERIC | HUMBERSET FRÉDERIC | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1860. | Horloger. Mentionné à Genève en 1860. | ||
HUMBERSET-FILETS H. | HUMBERSET-FILETS H. | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1862. | Horloger. Mentionné à Genève en 1862. | ||
HUMBERT | HUMBERT | ||
Marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828. | Marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828. | ||
HUMBERT & CHATELAIN | HUMBERT & CHATELAIN | ||
Horlogers et marchands. Mentionné à Genève vers 1860. Montres à sonnerie au passage et à répétition. | Horlogers et marchands. Mentionné à Genève vers 1860. Montres à sonnerie au passage et à répétition. | ||
HUMBERT & DARIER OU DARNIER | HUMBERT & DARIER OU DARNIER | ||
Père et fils. Mécaniciens et horlogers genevois fabricants. En 1820, créent une manufacture d'ébauches de montres, de pièces détachées et de machines pour l'horlogerie. Présentent des échantillons de mouvements et de roues exécutés par des moyens mécaniques, en 1820. En faillite, peu après, cette usine ferme ses portes. | Père et fils. Mécaniciens et horlogers genevois fabricants. En 1820, créent une manufacture d'ébauches de montres, de pièces détachées et de machines pour l'horlogerie. Présentent des échantillons de mouvements et de roues exécutés par des moyens mécaniques, en 1820. En faillite, peu après, cette usine ferme ses portes. | ||
HUMBERT & GOLAY | HUMBERT & GOLAY | ||
Première moitié du XIXe siècle. Mécaniciens-horlogers genevois. Construisent des oiseaux chanteurs en forme de tabatière et des montres à oiseau chanteur. Leurs ceuvres sont principalement exportées en Turquie, Inde, Chine et Angleterre. | Première moitié du XIXe siècle. Mécaniciens-horlogers genevois. Construisent des oiseaux chanteurs en forme de tabatière et des montres à oiseau chanteur. Leurs ceuvres sont principalement exportées en Turquie, Inde, Chine et Angleterre. | ||
HUMBERT & MAIRET | HUMBERT & MAIRET | ||
Fin du XVIIIe, début du XIXe siècle à Genève. Montres décimales et avec symboles révolutionnaires. Travaillent particulièrement pour la France et l'Italie. Signent une montre importante à trois automates, représentant "La Forge", vers 1800. | Fin du XVIIIe, début du XIXe siècle à Genève. Montres décimales et avec symboles révolutionnaires. Travaillent particulièrement pour la France et l'Italie. Signent une montre importante à trois automates, représentant "La Forge", vers 1800. | ||
HUMBERT ALEX | HUMBERT ALEX | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1861. | Horloger. Mentionné à Genève en 1861. | ||
HUMBERT BOREL & POTERAT | HUMBERT BOREL & POTERAT | ||
Horlogers. Vers 1800 à Genève. | Horlogers. Vers 1800 à Genève. | ||
HUMBERT CHARLES | HUMBERT CHARLES | ||
Ciseleur à La Chaux-de-Fonds. Travaille avec son fils de 1783 à 1789 pour J. Robert et fils et Cie des ornements de fonte pour pendules, des portes pour pièces d'officier, des vases tournés, etc. | Ciseleur à La Chaux-de-Fonds. Travaille avec son fils de 1783 à 1789 pour J. Robert et fils et Cie des ornements de fonte pour pendules, des portes pour pièces d'officier, des vases tournés, etc. | ||
HUMBERT FRERES | HUMBERT FRERES | ||
Horlogers genevois. Milieu du XVIIIe, début du XIXe siècle. Spécialisés en montres décorées d'émail. | Horlogers genevois. Milieu du XVIIIe, début du XIXe siècle. Spécialisés en montres décorées d'émail. | ||
HUMBERT FRITZ | HUMBERT FRITZ | ||
Établi aux Éplatures vers le milieu du XIXe siècle. Plusieurs pendules de cette époque signées. | Établi aux Éplatures vers le milieu du XIXe siècle. Plusieurs pendules de cette époque signées. | ||
HUMBERT HERCULE | HUMBERT HERCULE | ||
Maître monteur de boîtes genevois. Sa raison sociale figure sur un acte notarié de 1557. | Maître monteur de boîtes genevois. Sa raison sociale figure sur un acte notarié de 1557. | ||
HUMBERT JEAN-GEORGES | HUMBERT JEAN-GEORGES | ||
Fils de Pierre, natif de Colombier le Château (Seigneurie de Montbéliard). Reçoit en 1771 Lettre d'apprentissage de Pierre-Frédéric Leschot à La Chaux-de-Fonds " pour la profession de fondeur en cuivre et pièces de support pour les ébénistes ". Cité aussi comme " ébéniste ". Relations avec Vialette, Daniel Jacot et GrandGirard en 1770. | Fils de Pierre, natif de Colombier le Château (Seigneurie de Montbéliard). Reçoit en 1771 Lettre d'apprentissage de Pierre-Frédéric Leschot à La Chaux-de-Fonds " pour la profession de fondeur en cuivre et pièces de support pour les ébénistes ". Cité aussi comme " ébéniste ". Relations avec Vialette, Daniel Jacot et GrandGirard en 1770. | ||
HUMBERT JEAN-PIERRE-HERCULE | HUMBERT JEAN-PIERRE-HERCULE | ||
Fils d'Urbain. Vich, bailliage de Nyon (Suisse). Monteur de boîtes. Reçu habitant de Genève en 1746. | Fils d'Urbain. Vich, bailliage de Nyon (Suisse). Monteur de boîtes. Reçu habitant de Genève en 1746. | ||
HUMBERT JOSEPH | HUMBERT JOSEPH | ||
Horloger. Travaille à Paris et au Locle (Suisse), en 1789. S'associe avec Potterat et Philippe Borel, en 1794. Crée une manufacture d'ébauches dans la périphérie de Genève, puis s'associe avec Darier (ou Damier) en 1804. | Horloger. Travaille à Paris et au Locle (Suisse), en 1789. S'associe avec Potterat et Philippe Borel, en 1794. Crée une manufacture d'ébauches dans la périphérie de Genève, puis s'associe avec Darier (ou Damier) en 1804. | ||
HUMBERT LOUIS | HUMBERT LOUIS | ||
Horloger. Fin du XVIIIe, première moitié du XIXe siècle. Mentionné à Genève en 1829. | Horloger. Fin du XVIIIe, première moitié du XIXe siècle. Mentionné à Genève en 1829. | ||
HUMBERT N. C. | HUMBERT N. C. | ||
Emailleur. Mentionné à Genève en 1860. | Emailleur. Mentionné à Genève en 1860. | ||
HUMBERT NICOLAS | HUMBERT NICOLAS | ||
Emailleur. Mentionné à Genève en 1870. | Emailleur. Mentionné à Genève en 1870. | ||
HUMBERT VIRGIL | HUMBERT VIRGIL | ||
Né en 1805, décédé en juillet 1879, fils de Pierre-Frédéric, époux d'Euphrasie Robert. Mécanicien réputé des Planchettes. | Né en 1805, décédé en juillet 1879, fils de Pierre-Frédéric, époux d'Euphrasie Robert. Mécanicien réputé des Planchettes. | ||
HUMBERT-121 | HUMBERT-121 | ||
Fabricant et marchand d'horlogerie à Genève baillage de Morges (Suisse). Mentionné à Genève en 1828-1835. | Fabricant et marchand d'horlogerie à Genève baillage de Morges (Suisse). Mentionné à Genève en 1828-1835. | ||
HUMBERT-122 | HUMBERT-122 | ||
Etablisseur et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828-1831. | Etablisseur et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828-1831. | ||
HUMBERT-123 | HUMBERT-123 | ||
Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1831. Maison Veyrassat. | Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1831. Maison Veyrassat. | ||
HUMBERT-BROLLIET | HUMBERT-BROLLIET | ||
Marchand horloger. Mentionné à Genève en 1835 et en 1860. | Marchand horloger. Mentionné à Genève en 1835 et en 1860. | ||
HUMBERT-CHEVROL JEAN-BENJAMIN | HUMBERT-CHEVROL JEAN-BENJAMIN | ||
Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1797-1848. | Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1797-1848. | ||
HUMBERT-DROZ | HUMBERT-DROZ | ||
D'origine neuchâteloise, cette famille d'horlogers est signalée à La Ferrière, Sous le Crêt, dès 1649. Nombreux sont ses membres qui jouèrent un rôle important dans la fabrication de boîtes. | D'origine neuchâteloise, cette famille d'horlogers est signalée à La Ferrière, Sous le Crêt, dès 1649. Nombreux sont ses membres qui jouèrent un rôle important dans la fabrication de boîtes. | ||
HUMBERT-DROZ CHARLES-FRANÇOIS | HUMBERT-DROZ CHARLES-FRANÇOIS | ||
Ouvrier de Pierre Jaquet-Droz jusqu'en 1772, puis de son fils Henri-Louis. Mentionné comme maître pendulier à La Chaux-de-Fonds en 1776, il prend comme ouvrier Pierre-Joseph Maillot. Cité en 1779. | Ouvrier de Pierre Jaquet-Droz jusqu'en 1772, puis de son fils Henri-Louis. Mentionné comme maître pendulier à La Chaux-de-Fonds en 1776, il prend comme ouvrier Pierre-Joseph Maillot. Cité en 1779. | ||
HUMBERT-DROZ FRÉDÉRIC | HUMBERT-DROZ FRÉDÉRIC | ||
Fils d'Abram. Reçoit en 1753 Certificat d'apprentissage de Jean-Jacques Perret-Gentil, pendulier au Locle. | Fils d'Abram. Reçoit en 1753 Certificat d'apprentissage de Jean-Jacques Perret-Gentil, pendulier au Locle. | ||
HUMBERT-DROZ JOSEPH | HUMBERT-DROZ JOSEPH | ||
Habile horloger pendulier à La Chaux-de-Fonds. Cité de 1730 à 1764. Achète des cabinets à Ab.-L. Sandoz. | Habile horloger pendulier à La Chaux-de-Fonds. Cité de 1730 à 1764. Achète des cabinets à Ab.-L. Sandoz. | ||
HUMBERT-DROZ JOSEPH-120 | HUMBERT-DROZ JOSEPH-120 | ||
Fils de Béat-Jacob, du Locle. Fait en 1675 une horloge pour le Temple du Locle. | Fils de Béat-Jacob, du Locle. Fait en 1675 une horloge pour le Temple du Locle. | ||
HUMBERT-DROZ LOUIS | HUMBERT-DROZ LOUIS | ||
Petite pendule datée de 1711. En 1720, un Humbert-Droz, horloger, est cité à La Chaux-de-Fonds. | Petite pendule datée de 1711. En 1720, un Humbert-Droz, horloger, est cité à La Chaux-de-Fonds. | ||
HUMBERT-HESS | HUMBERT-HESS | ||
Fabricants et marchands d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828-1831. | Fabricants et marchands d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828-1831. | ||
HUNGRICHHAUS CHRISTIAN-GUILLAUME | HUNGRICHHAUS CHRISTIAN-GUILLAUME | ||
Fils de Guillaume. Originaire d'Aarau, canton d'Argovie (Suisse). Bijoutier. Reçu habitant de Genève en 1780. | Fils de Guillaume. Originaire d'Aarau, canton d'Argovie (Suisse). Bijoutier. Reçu habitant de Genève en 1780. | ||
HUNING ALEX | HUNING ALEX | ||
Fabrique d'horlogerie de précision fondée en 1893. Dépose un brevet pour un dispositif de réglage de spiral de montre en 1907. Succède à Emile Fiebiger (Tiebiger) fabricant à Genève. "Fides", "Fides Genève" et "Logos" marques enregistrées en 1914. Mentionné à Genève en 1920 et 1924. | Fabrique d'horlogerie de précision fondée en 1893. Dépose un brevet pour un dispositif de réglage de spiral de montre en 1907. Succède à Emile Fiebiger (Tiebiger) fabricant à Genève. "Fides", "Fides Genève" et "Logos" marques enregistrées en 1914. Mentionné à Genève en 1920 et 1924. | ||
HÜNING GUILLAUME FILS | HÜNING GUILLAUME FILS | ||
Horloger genevois. 1930-1975. | Horloger genevois. 1930-1975. | ||
HÜNING GUILLAUME PÈRE SUCC. | HÜNING GUILLAUME PÈRE SUCC. | ||
Horloger genevois. Vers 1896. | Horloger genevois. Vers 1896. | ||
HUSSON & RETOR | HUSSON & RETOR | ||
Horlogers et marchands. Fin du XIXe, début du XXe siècle. Montres pendentif. Fabrique de mouvements en blanc par procédés mécaniques. Usine et comptoir mentionné à Genève en 1874. | Horlogers et marchands. Fin du XIXe, début du XXe siècle. Montres pendentif. Fabrique de mouvements en blanc par procédés mécaniques. Usine et comptoir mentionné à Genève en 1874. | ||
HUSSON CHARLES | HUSSON CHARLES | ||
Fabricant de mouvements de montres. Mentionné à Genève vers 1909. Marque genevoise enregistrée en 1896 | Fabricant de mouvements de montres. Mentionné à Genève vers 1909. Marque genevoise enregistrée en 1896 | ||
HUTEL FERRY | HUTEL FERRY | ||
Réfugié provenant de Tours (France). Marchand et maître orfèvre. Première moitié du XVIIe siècle. | Réfugié provenant de Tours (France). Marchand et maître orfèvre. Première moitié du XVIIe siècle. | ||
HUTIN JACQUES FRANÇOIS | HUTIN JACQUES FRANÇOIS | ||
Horloger. Originaire de Dardagny, Environs de Genève. 1770-1791. | Horloger. Originaire de Dardagny, Environs de Genève. 1770-1791. | ||
HUYGENS CHRISTIAN | HUYGENS CHRISTIAN | ||
La Haye (1629 -1695). Il a formulé les lois de l'isochronisme du pendule et les propriétés de la cycloïde. Il fait, le premier, l'application du spiral aux appereils horaires. Il construit la première horloge marine. | La Haye (1629 -1695). Il a formulé les lois de l'isochronisme du pendule et les propriétés de la cycloïde. Il fait, le premier, l'application du spiral aux appereils horaires. Il construit la première horloge marine. |
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<metakey>Старинные, часы, часовщик</metakey> Данная статья о старинных часовых мастерах Европы, на французском языке. Статья из словаря старинных часовых имен, семейных часовых фирм, и ранних часовых марок.
Словарный формат подразумевает сжатые сведения об имени, происхождении, годах жизни или работы мастера-часовщика, а также о направлении деятельности его предприятия, и упоминании/нахождении старинных часов его авторства в музейных коллекциях.
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H. Marque genevoise enregistrée.
HA. ST GENÈVE Premiers tiers du XXe siècle. Signature trouvée sur une rare et curieuse pendulette de table en argent, émail et ivoire, à 8 jours de réserve de marche.
HAAS ALBERT Horloger. Début du XXe siècle. Montres de bonne qualité.
HAAS B. LE JEUNE & CIE. (1828-1925). Paris, Genève, Besançon (France). Horlogerie de très bonne qualité, montres simples et compliquées, montres à remontage par le fond. En 1868, fabricant breveté de S. M. l'Empereur. Depuis de longues années, elle se préoccupe de rendre l'aspect de ses montres plus élégant en diminuant leur épaisseur et, à l'Exposition de Genève, en 1896, expose la première montre extraplate dont le mouvement a deux millimètres d'épaisseur. Depuis sa fondation, la maison participe à toutes les expositions internationales où elle obtient les plus hautes récompenses. Lors de ce dernier siècle, la signature utilisée a subi quelques variationsn1848: Benjamin Haas - B. Haas. Avril 1883: B. Haas jeune - B. Haas Jn. Mars 1884: Nivert & Cie. Novembre 1884: B. Haas jeune & Cie B. Haas. En août 1895: Haas Neveux & Cie. Mai 1991: Haas & Cie.nJanvier 1998: Haas & Cie.
HAAS C. THELLAECHE & CIE. Fabricants d'horlogerie. 1870-1890. Marque genevoise enregistrée en 1882. Montres pour l'Espagne de très bonne qualité, avec boîtes en or trois couleurs, richement gravées.
HAAS CH. Horloger. Mentionné à Genève en 1874.
HAAS JEAN-ULRICH Horloger originaire de Mâdiswil, établi à Bienne. Ilneut, de 1714 à 1717, comme apprenti Jean-Jacques Petit. Maître de La Neuveville, fils de Jean-Rodolphe, orfèvre. Haas vécut à Bienne de 1710 à 1750. En 1732, il eut une contestation avec Paul Séchehaye, marchand, de Genève et J.-J. Himely, horloger à La Neuveville. L'horloge de la Tour Rouge placée en 1596, était probablement hors d'usage, car J.-U. Haas fut chargé d'en fournir une nouvelle : " Il a été arrêté qu'on fera une horloge neuve qui sonnera les heures et les quarts pour la mettre où la vieille est et qu'on fera raccommoder la vieille pour la mettre sur la Tour des cloches et la faire répéter les heures sur la grande cloche.nLe 15 décembre suivant, on lit encore dans les Manuels: " Au Sr Haas, horloger à Bienne, pour avoir fourni plus de fer qu'il ne croyait pour les horloges et pour les avoir conduites avec bon espace de temps (ce qui signifie sans doute : construites et installées dans le temps convenu) comme aussi pour la nourriture qu'on lui avait promis pendant qu'il les dresserait, la somme de 20 écus blancs, outre ce qu'on avait promis par marché fait. "
HAAS-PRIVAT & CIE. Horlogers. Mentionné à Genève en 1878.
HABEL JOH. George. Horloger. Seconde moitié du XVIIIe siècle. Montres de forme et fantaisie.
HAEFELI H. Horlogers. Mentionnés à Genève vers 1907.
HAHN PHILIPP-MATTHAUS (1739 - 1790) Pasteur et célèbre horloger et mécanicien allemand, constructeur d'horloges et de montres compliquées, de machines à calculer, de balances. Il publia plusieurs travaux sur l'amélioration des horloges dans les Actes de l'Académie d'Erfurt.
HAIM CONRAD Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1874.
HAINARD JOSEPH-HENRI Fils d'Abram. Reçoit en 1793 Lettre d'apprentissage de pendulier d'Abram-Henri Berthoud à Couvet. Relations d'affaires avec Fr.-A. Borel, de 1794 à 1798.
HAINARD LOUIS Pendulier à Couvet. Cité de 1807 à 1812.
HÂMCK Emailleur. Mentionné à Genève en 1835.
HANDICAP Marque genevoise enregistrée.
HÂNICH DIT BENOIT FS. Emailleur. Mentionné à Genève en 1857.
HANTZ GEORGES Début du XXe siècle. Graveur, ciseleur. Directeur du Musée des Arts Décoratifs de Genève. Décore des fonds de boîtes et crée des matrices pour fonds frappés.
HARMS ADOLF Horloger. Fin du XIXe, début du XXe siècle. Montres compliquées.
HARRISON JOHN (1639-1776) Constructeur des premiers chronomètres de marine avec balancier et spiral. Il est également l'inventeur du pendule compensateur à gril et d'un système de compensation pour les montres.
HART JEAN-PHILIPPE Fils de Michel. Dardagny (Environs de Genève). Reçu habitant de Genève en 1768.
HAUSER ABRAHAM-NICOLAS Fils de Jean-Jacques. Strasbourg (France). Bijoutier. Reçu habitant de Genève en 1775.
HAUSER JEAN-JACQUES Fils de Jean-Jacques. Strasbourg (France). Orfèvre. Reçu habitant de Genève en 1756.
HAVAR JEAN Apprenti horloger chez David Dubois en 1640.
HAVILA Marque genevoise enregistrée.
HAVILA WATCH & CO Comptoir d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1920 et en 1924.
HEBERT AUGUSTE ET JULIETTE Peintres sur émail. Mentionné à Genève en 1907, en 1909 en 1915. Et en 1924. Spécialisés en panneaux décoratifs pour boîtes de montres. Armoiries de style gothique allemand et monogrammes émaillés en portraits et figures de style pour montres, entourés par des décorations à trois ou quatre émaux. Signe "H.J. " en monogramme. Gagne un prix à l'Exposition universelle de Bruxelles en 1897.
HECHT FELIPE Fabricant et marchand d'horlogerie. Marque genevoise enregistrée en 1890. Obtient un brevet pour un mouvement de montre perfectionné, en 1897. Devient la raison sociale de la Maison Bautte de 1897 à 1905. Construit un régulateur à secondes, balancier à mercure, échappement à ancre allemande, avec cadran régulateur, mouvement empierré.
HECHT JUAN Successeur de Felipe. Transmission et extension d'emploi en 1906. Marques transmises en 1906 à la fabrique Girard-Perregaux & Cie , La-Chaux-de-Fonds (Suisse), qui l'a achetée, et devient la 12e raison sociale de la Maison Bautte en 1906.
HECK J.-F. Horloger. Mentionné à Genève en 1874.
HEDMANN Horloger-repasseur. Mentionné à Genève en 1835.
HEIL & GIRARD Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1860.
HEIL & HESS Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1862.
HEIL NICOLAS Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1857 et en 1861.
HEIL-CHARRIÉ NIC. Horlogers. Mentionné à Genève en 1874.
HEIMANN & WYSS Fabricant d'horlogerie. "OCANA" Marque genevoise enregistrée en 1920.
HEITZMANN FILS Horloger. Mentionné à Genève en 1874.
HELBEIN FRERES Manufacture d'horlogerie « HELBROS », et "BEAUX-ARTS". Mentionné à Genève en En 1920 et 1924. Plainpalais. "HELBROS", Marque genevoise enregistrée en 1918.
HELBROS Marque genevoise enregistrée en 1918.
HELD Monteur de boîtes. Mentionné à Genève en 1828.
HELMA WATCH Fabricant. Mentionné à Genève en 1924. Petites montres à ancre.
HEM ABRAHAM Apprenti "faiseur" de boîtes chez Jules Pattey en 1689 à Genève.
HEMYON PIERRE Maître horloger. Vers 1580 à Genève. Forme Benjamin Mugnier de 1599 à 1602.
HENGGELER (ENGLER, INGLER) ANTOINE époux de Marie-Élisabeth Martin et père de François. Cité de 1784 à 1803 à La Chaux-de-Fonds comme horloger pendulier ou marchand avec 2 à 5 ouvriers. A comme apprentis : J.-Fr. Michel et Laurent Vimercati. Relations avec Henri-Louis Roy à Milan, sa veuve continue son atelier et son commerce, elle est citée encore en 1825.
HENGGELER CHRISTIAN De Hummenstadt (indiqué parfois comme étant de Munich), fils de Charles, époux de Julie Robert. Pendulier et négociant en horlogerie à La Chaux-de-Fonds en 1813 ; sa femme paraît diriger la maison avec lui, car elle est très souvent citée. Ch.Fr. Dabois leur fournit de 1819 à 1829 129 cabinets de pendules. En 1820 et 1821, Henggeler vend des mouvements de pendules et des musiques à Bremen et à Berlin. Vers 1840, il livre des cages à oiseaux à Julien-Auguste Mailllardet.
HENGGELER FRANÇOIS Fils d'Antoine et d'Elisabeth Martin. Pendulier à La Chaux-de-Fonds. Réside à Bâle en 1816. Reçoit des passeports pour la France et l'Allemagne de 1818 à 1821.
HENNEBERG AD. Fabricant d'horlogerie et de bijouterie. La marque « HR » est enregistrée en 1893.
HENRI ELIE Fils de Claude. Nyon (Suisse). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1756.
HENRI MARC-L. Balancier. En 1860. Mentionné à Genève en 1874.
HENRIOT Fabricant d'horlogerie à Genève. Fin du XVIIIe, début du XIXe siècle.
HENRY Marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1844.
HENRY ELIE Horloger. Mentionné à Genève en 1861.
HENRY FRÈRES Fabricants et marchands d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1874.
HENRY GEORGES LOUIS Fabrique et commerce d'horlogerie et d'articles d'horlogerie. Eaux Vives (Suisse). "Fasciste" "Farcio" marques enregistrées en 1922. Exporte une grande partie de sa production en Italie.
HENRY JEAN-LOUIS Peintre sur émail. Apprenti chez J.-F. Soiron en 1784. Forme G.-C. Ducros et P. Cabanel en 1795. Spécialisé dans le décor de boîtes de montres et tabatières.
HENRY MARC-JEAN Né en 1782. Peintre sur émail. Fut élève de Lissignol. Spécialisé dans le décor de boîtes de montres et tabatières. Maître de Mlle Aimée Chantre et Mme Frédérika Dufaux.
HENRY S. Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1831.
HENSEL Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1835.
HENSPERGER Horloger. Mentionné à Genève en 1874.
HENZI SAMUEL II était fils du pasteur Samuel Henri de Fenis et il est mentionné comme horloger à La Neuveville en 1696.
HERERT NICOLAS-DIDIER Fils de Nicolas-Antoine. Vassy, Champagne (France). Polisseur sur émail. Reçu habitant de Genève en 1779.
HERIDIER NOËL Horloger étranger. Travaille à Genève pendant la seconde moitié du XVIIIe et au début du XIXe siècle.
HERISMAN Monteur de boîtes. Mentionné à Genève en 1844.
HERITIER JEAN Maison. Horloger. Vers 1828. Charron-en-l'lle, Genève.
HERMADO Marque genevoise enregistrée.
HERMES Marque genevoise enregistrée.
HESS Peintre sur émail. Mentionné à Genève en 1828.
HESS & HEIL Horlogers genevois. Première moitié, du XIXe siècle. Montres-pendentifs et montres plates, montres fantaisies décorées d'émail, de perles et de pierres.
HESS & METFORD Successeurs de la Maison Hess et Heil 1840-1860. Fabricants et marchands horlogers. Montres compliquées très soignées destinées au marché américain. Signent une montre à échappement à force constante et une deuxième à heures tactiles. Mentionné à Genève en 1866.
HESS ED Horloger. Mentionné à Genève en 1874.
HESS HENRI (Genève 1867-1932). Apprenti dans la classe de mécanique de 1882 à 1885. Travaille dans l'industrie privée jusqu'en 1892, date à laquelle il est appelé par le Conseil administratif de la Ville de Genève pour diriger la classe préparatoire de l'Ecole d'Horlogerie de Genève, nouvellement créée. C'est sous son habile direction que les élèves horlogers construisent les plus beaux régulateurs astronomiques des grandes fabriques d'horlogerie. L'un d'entre eux est utilisé pendant cinq années à l'Observatoire de Genève pour donner l'heure par voie téléphonique. Est créé, en 1898, dans cette même Ecole d'Horlogerie, la section des horlogers penduliers électriciens. En 1910, sous sa direction, une glacière-étuve pour régulateur astronomique est conçue, unique en son genre, à cette époque. Est professeur jusqu'en 1927.
HESSMANN FRÉDÉRIC Horloger. Mentionné à Genève en 1860.
HEUBI MME. Horloger. Mentionné à Genève en 1874.
HEUNICH HENRI Horloger. Mentionné à Genève en 1815.
HEUNISCH ETABLISSEUR d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828-1831.
HILDEBRAND GEORGES Fils de Jean. Nyon (Suisse). Emailleur. Reçu habitant de Genève en 1765.
HILDEBRAND JEAN-ANTOINE Fils de Jean-François. Nyon (Suisse). Emailleur. Reçu habitant de Genève en 1773.
HILLBRAND CHRIST Pendulier et agriculteur aux Bayards (Suisse) vers 1860 Ouvrier de Frédéric JeanJaquet
HILLGREN A. Fameux horloger-régleur genevois. Gagne plusieurs concours de chronométrie à Genève. En 1882: les prix pour EH. Ekegren, 2e prix pour Gustave Sandoz. En 1884: 1er et 2e prix. En 1885: 2e prix pour A. Golay Lereche & Fils, 3e prix pour J.J. Badollet & Cie, mention honorable en 1896 pour H. Redard & Fils. Invente un balancier compensateur et un spiral qui prend son nom en 1887, ainsi qu'un échappement
HILLMAN B. Maître à l'Ecole d'Horlogerie de Genève; publie un livre "Réparation des Montres compliquées".
HIMELY JEAN-FRANÇOIS membre du Commun (Compagnie des Pêcheurs) de 1721 à 1733, était horloger et il prit part aux troubles de La Neuveville de 1734. Il fut condamné au bannissement à perpétuité.
HINDET Horloger. Mentionné à Genève au milieu et seconde moitié du XIXe siècle.
HIPP MATTHÄUS né à Blaubeuren (Wurtemberg) en 1813, décédé à Zurich en 1893. Un des créateurs de l'horlogerie électrique. Exerça son activité à Ulm, Saint-Gall, Saint-Aubin, Reutlingen, Berne et surtout à Neuchâtel.
HIRSIGIER & OBERLI Probablement marchands genevois. Fin du XVIIIe, début du XIXe siècle. Montres et pendules.
HISPANIA. Marque genevoise enregistrée.
HOCH JEAN-RODOLPH En 1795, ouvrier de Fr.-Antoine Borel, pendulier à Couvet.
HOFER HENRI Fabricant et marchand. Mentionné à Genève en 1920, 1924 et en 1940. Montres chronographes, compteurs, rattrapantes.
HOFFER A. Fabricant horloger et fameux régleur. Délégué suisse officiel à l'Exposition universelle de Chicago (U.S.A.) en 1893. Reçoit une mention honorable en 1896 au concours de réglage.
HOFFER HENRI Horloger-régleur, fabricant. Obtient le 3e prix au concours de chronométrie de Genève en 1885.
HOFFER JULES Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1866.
HOFFER LOUIS-L. Horloger. Mentionné à Genève en 1852 et en 1866.
HOFFRITZ Horloger marchand genevois. Début du XXe siècle. On trouve sa signature sur une montre-réveil.
HOLY FRERES S.A. Etablissements. Fabrique et commerce d'articles d'horlogerie. Marque genevoise enregistrée en 1919 "H". Etablissement d'horlogerie, articles fantaisie, appareillage. Mentionné à Genève en 1920.
HOMEL DAVID Maître horloger genevois. Fin du XVIIe, début du XVIIIe siècle. Forme Louis Rival (Rivaz) en 1700.
HOOKE ROBERT (1635 - 1703) Géomètre et physicien anglais. Les horlogers lui doivent l'invention d'une horloge à pendule conique, de l'échappement à ancre à recul qui lui permit de réduire considérablement l'amplitude du pendule des horloges de précision et d'une montre à deux balanciers. Hooke a préconisé le réglage du mouvement du balancier par un ressort et a même revendiqué - à tort - l'invention du spiral. Membre et secrétaire de la Société royale de Londres.
HORLOGERS DU LOCLE Dix mille horlogers du Locle, du XVIIe au XXe siècles à travers le répertoire du musée du Locle
HORNGACHER JEAN-SIMBERT (OU IMBERT) Maître orfèvre. Forme André Rousseau en 1664.
HORUS Marque genevoise enregistrée.
HOURIET Famille. De nombreux horlogers de cette famille sont signalés à la Chaux d'Abel, à Tramelan, à Sonvilier.
HOURIET & CIE. Fabrication et commerce d'horlogerie. "Havila" Marque genevoise enregistrée en 1917.
HOURIET ALEXANDRE Célèbre graveur sur or, originaire de La Chaux d'Abel, se rendit d'abord à Genève, puis à Paris où il séjourna quelques années. Il revint au pays où il apprit son métier à Simon-Pierre Gagnebin. II a laissé inachevée une pendule astronomique qui aurait été un chef-d'oeuvre. Né en 1827 au Locle, décédé en 1859 à Louvet, fils d'Henri, époux de Rose Dubied, père de Charles Houriet. Étudia toutes les branches del'horlogerie au Locle et à Copenhague sous la direction de son parent Urban Jurgensen. Fonda un établissement au Locle, puis il se fixa à Couvet où il organisa une fabrique d'horlogerie fine. Une pendule de haute précision achetée en 1858 par l'Observatoire cantonal.
HOURIET JACQUES-FRÉDÉRIC (La-Chaux-d'Abel 1743-1830). Fils de Jacob et de Marie-Madeleine Gagnebin. Apprenti chez Gagnebin, chez Renou et chez Abraham Louis Perrelet au Locle (Suisse). Vit neuf ans à Paris. Puis s'établitau Locle (Suisse). Est le véritable promoteur de l'horlogerie neuchâteloise de précision. En 1828, il présente à la Société des Arts, à Genève, un chronomètre qui résiste à l'influence magnétique (première fois en Suisse). L'inconvénient en est que l'alliage utilisé pour le spiral s'avère d'un poids spécifique trop élevé. Vers 1810, un thermomètre de poche en argent. Publie un article sur le mécanisme du spiral en 1814. Il peut être considéré comme le meilleur des horlogers jurassiens. Né à La Chaux d'Abel le 25 février 1743, il était fils de Jacob, capitaine de milices, de Sonvilier et de Marie-Madeleine Gagnebin, soeur d'Abraham III, le naturaliste A Paris, Houriet fit la connaissance de deux Neuchâtelois, Frédéric et Louis Berthoud ainsi que de Janvier et Breguet. Il s'établit à son compte et les conseils de ces grands horlogers lui furent précieux. Il entreprit alors la construction d'une pendule à régler, avec équation et compensation d'une grande précision.nVers 1768, J.-F. Houriet était de retour en Suisse et il s'installa au Locle où se trouvaient déjà trois de ses soeurs et son frère aîné. II y créa une fabrique avec son beau-frère David Courvoisier dont il épousa une fille née d'un premier mariage : il devint tout à la fois beau-frère et gendre de son associé. Il vécut au Locle pendant quarante ans et il s'y consacra avec une intelligence et un zèle remarquables à la fabrication de montres très soignées qui eurent tout de suite une grande réputation.nMais Houriet ne se borna pas à un travail routinier. C'était un esprit inventif et il peut être considéré comme le créateur du chronomètre de marine,nGrâce à son " spiral sphérique isochrone " qui fut breveté par l'Institut national de Paris. 11 fit aussi des thermomètres métalliques. I1 fut membre de plusieurs sociétés savantes de Suisse et de l'étranger.nJacques-Frédéric Houriet est mort au Locle le 12 janvier 1830. Sa fille Sophie épousa le Danois Urbain Jurgensen qui se fit aussi une brillante réputation dans la belle industrie où J.-F. Houriet tint une si grande place.
HOURIET LOUIS Né en 1854 au Locle. C'était un artiste horloger. Il fut professeur à l'Ecole d'horlogerie de Saint-Imier de 1891 à 1899, Il créa les jouets animés et publia quelques manuels destinés à l'enseignement de l'horlogerie. Il est décédé en 1925.
HOURIET M. ET O. Peintres sur émail. Mentionnés à Genève en 1900 et en 1924.
HOURIETT Marque genevoise enregistrée.
HR Marque genevoise enregistrée.
HUAUD AMI (AMY) (1657-1724). Fils de Pierre I. Peintre sur émail. Elève de son père. Associé avec son frère Jean-Pierre de 1682 à 1688. Epouse en seconde noce, Antoinette Dutoit en 1684. Est appelé avec Jean-Pierre à la Cour de l'Electeur de Brandebourg en 1686. Rentre définitivement à Genève en 1700. Ses ceuvres sont exécutées en grande partie avec son frère. On ne connaît pas d'oeuvres signées par lui.
HUAUD FRANÇOIS (1701-1729). Fils de Jean-Pierre. Peintre sur émail.
HUAUD FRERES JEAN-PIERRE ET AMI Fils de Pierre Huaud. Associés de 1682 à 1688. Parmi les oeuvres peintes les plus connues: Diane et Actéon, Lejugement de Pâris, La Sainte Famille, Jean Baptiste, L'Adoration des Bergers, La Nativité, des groupes idylliques, une tasse assortie d'une soucoupe entièrement émaillées et ornées de médaillons à scènes mythologiques, ainsi que des miniatures sur ivoire et parchemin. Les boîtes peintes sur cuivre par la famille Huaud sont beaucoup plus rares que sur or, malgré le coût relatif du matériau. Les couleurs, sur cuivre, ont tendance à être plus douces dans leur ton et la qualité est meilleure que beaucoup d'oeuvres peintes sur or. En 1686, un émissaire de Grand-Electeur Frédéric-Guillaume 1er avait cherché à enrôler des gens de métier pour le Brandebourg, où ils auraient dû aider, dans leur activité, les huguenots français qui s'y étaient réfugiés après la révocation de l'Edit de Nantes.nBien rares furent les artisans genevois qui se laissèrent tenter par les sollicitations de l'envoyé du Grand-Electeur. La même année, Frédéric-Guillaume 1er écrivit au Conseil pour demander qu'il permît aux frères JeanPierre et Ami Huaud, peintres sur émail de grand talent, de venir se fixer dans ses états. Malgré sa répugnance, le Conseil dut accorder cette autorisation aux deux artistes, qui restèrent à Berlin jusqu'en 1700, date à laquelle ils revinrent à Genève.
HUAUD JEAN-PIERRE (1655-1725). Second fils de Pierre I. Peintre sur émail. Elève de son père. Associé avec son frère Ami de 1682 à 1688. Se marie avec Adrienne de Tudert en Novembre 1684. Appelé avec sa femme à la Cour de l'Electeur de Brandebourg en 1686, il fallut que le roi de Prusse écrive au Conseil de Genève de le laisser partir. Rentrent à Genève en 1700. Les signatures les plus reconnues: "Huaud le puisné fecit"; "Huaud le puiné fecit"; "Huaud le puisné peintre de son A.E. à Berlin".
HUAUD LOUIS Fils d'Ami. Né à Genève en 1719, mort à l'étranger entre 1732 et 1751. Peintre sur émail.
HUAUD PIERRE I (1612-1680). Fils d'orfèvre, originaire de Châtellerault (France). Réfugié à Genève en 1630 à l'âge de 18 ans. Entre en apprentissage chez Laurent Legare maître orfèvre, la même année. Compagnon en 1634, puis maître orfèvre. Epouse, le 18 juin 1643, Françoise Mussard qui lui donne trois fils: Pierre II, Jean-Pierre et Ami. Forme Jean I André en 1661, Isaac Gastineau de 1659 à 1661. Reçu bourgeois avec ses trois fils en 1671. Aujourd'hui, on ne connaît pas de boîte signée par Huaud père, mais étant donné la période durant laquelle il travaille, on ne peut que les lui attribuer. Il faut noter que Pierre Huaud, réfugié Huguenot et venant de Blois où il était apprenti, conserva à Genève une partie de la technique enseignée par les grands maîtres français. Cependant, il développa plus tard à Genève une nouvelle technique de peinture en pointillé qu'il transmit à ses élèves.
HUAUD PIERRE II. (1647-1698). Fils aîné de Pierre I. Apprenti chez son père. Epouse Eva Delarue en 1678 dont il a quatre enfants. Travaille avec ses deux frères Jean-Pierre et Ami. Se rend à Berlin (Allemagne) en 1685. Rentre à Genève en 1686. Repart pour l'Allemagne en 1689 et on le trouve peintre-miniaturiste attaché au Grand Electeur Frédéric III dès le 19 septembre 1691. Meurt avant 1698, car sa veuve est mentionnée sur les listes des réfugiés à Berlin, à cette date. Est le plus habile des trois frères. Parmi les signatures relevées sur ses émaux: "P. Huaud l'aisné pinxit à Genève"; "Petrus Huaud Mayor Natus pinxit Geneva 1688"; "Huaud l'aisné pinxit à Genève"; "P. Huaud l'aisné pinxit à Genève 1684"; "P. Huaud p. à G."; "P. Huaud p. à Genève";"P. Huaud"; "P. Huaud l'aisné pinxit"; "Huaud l'aisné pinxit à Genève"; "P. Huaud pr. Gens pin. G."; "P. Huaud l'aîné pinxit à Genève"; "Aisné pinxit à Genève 1681"; "Huaut p."; "P. Huaut P. à G. 1672"; "P. Huault". Sur les montres, la signature se trouve le plus souvent dans une cartouche, sur la carrure, quelquefois sur le décor. Est au revers des portraits.
HUAUT PAUL-GÉDÉON Maître horloger genevois. Mentionné en 1790.
HUBERT ETIENNE (1652-1708). De Rouen (France). Maître horloger. Réfugié en 1692, Reçu habitant de Genève en 1696. Montres oignon de style français avec et sans fusée.
HUBERT FRÈRES Peintres sur émail genevois. Vers 1780.
HUBERT JACOB LOUIS Fils de Paul. Peintre sur émail. S'associe avec son père et Pierre Fe, en 1762.
HUBERT PAUL Maître et marchand horloger. Travaille à Rouen. Réfugié à Genève durant la persécution qui suivit la révocation de l'Edit de Nantes. Forme Isaac II Caillate (Caillatte) en 1683. Demande une diminution de la somme à payer pour devenir maître en 1682. Signe une montre en laiton doré et émail peint que l'on peut attribuer à Jean Mussard (1681-1754).
HUBERT-CHENEVIERE JEAN PAUL (Genève 1732-1803). Peintre sur émail. S'associe avec son fils Jacob Louis et Pierre Fe, en 1762. En février 1795, il adresse une requête au Département des Arts, s'élevant contre le prétexte du manque d'argent, qu'on a fait valoir pour restreindre les subsides.
HUC Fabricant d'horlogerie genevois. 1791.
HUGARD Horloger-repasseur. Mentionné à Genève en 1835.
HUGUEININ HENRI-CHARLES Ouvrier de Pierre Jarquet-Droz jusqu'en septembre 1772, puis de son fils Henri-Louis.
HUGUELET ABRAM fils d'Abram, maire de Vauffelin (Berne), Reçu habitant de La Chaux-de-Fonds en 1794. Pendulier, établisseur et négociant en horlogerie, fréquente régulièrement les foires d'Allemagne. Achète en 1816 des cabinets de pendules à Ch. Dubois. De 1818 à 1822 envoie une centaine de pendules et de mouvements à Breslau et à Berlin.
HUGUELET JEAN-FRANÇOIS Fils de Jean-François, maire de Vaulfelin (Berne), grand-père d'Abram. Fait apprentissage de pendulier chez Adam Droz-dit-Basset de 1737 à 1739.
HUGUELET JEAN-FRANÇOIS-127 Fils de Jean-François, aussi de Vauffelin, a fait son apprentissage de pendulier chez Adam Droz-dit-Busset, de 1737 à 1739.
HUGUENIN Horloger-repasseur. Mentionné à Genève en 1835.
HUGUENIN & TISSOT Horlogers genevois. 1870-1900 environ. Montres compliquées de très bonne qualité.
HUGUENIN A. & CIE. Horlogers, fabricants et marchands. Vers le milieu du XIXe siècle à Genève. Montres en tous genres, parmi lesquelles des montres-pendentifs.
HUGUENIN A.-L. Horloger. Mentionné à Genève en 1874.
HUGUENIN ABRAM Fils de Moïse, frère et associé de Moise. Horloger du roi depuis 1736. Maitre pendulier très expert à La Chaux-de-Fonds. En 1741, gouverneur de commune et justicier en 1754, maire de la Sagne en 1769. à eu comme apprentis: Daniel Brandt, J.-M.-A. Falcon, et J.-J. Veuve et comme ouvrier Daniel Boulet. Succursale à Londres, relations importantes en Suisse et à l'étranger, Bâle et Strasbourg en particulier. Un très grand nombre de pendules signées sur le mouvement.
HUGUENIN ABRAM-124 Cité au Locle en 1643 à propos d'une vente d'horloge.
HUGUENIN ABRAM-126 La vie aventureuse et les exploits de ce Neuchâtelois l'ont amené à deux reprises dans le Jura et l'on ne peut ignorer l'activité qu'il y déploya. Cet horloger de talent est né à La Chaux-de-Fonds le 29 juin 1733. II était fils de Moïse de la famille des Huguenin dit du Bichon. On ne sait trop où il fit son apprentissage, probablement au sein de sa famille. Avec son frère du nom de Moïse également, il fonda ànValanvron, à proximité de La Ferrière, une fabrique de pendules et ils obtinrent l'autorisation de porter le titre d'« horlogers du roi de Prusse et de la cour » . Le domaine où ils travaillaient comprenait une exploitation agricole et ils partageaient leur activité entre la fabrication de leurs pendules et la culture du sol. Ils formèrent un bon nombre d'apprentis. Plus tard, ils établirent une succursale à Londres. Abram-Louis fit un certain nombre de voyages et de séjours à l'étranger où il. se perfectionna dans l'étude de la musique, art qu'il lui était nécessaire de connaître, car il s'était spécialisé dans la fabrication des pendules jouant des airs de flûte ou des carillons.nAbram-Louis Huguenin était un homme très intelligent et très actif. Très bien de sa personne, beau parleur, il. eut successivement quatre femmes. En 1765, il fut appelé à Berlin pour diriger la fabrique royale de Frédéric II. Lancée à grands renforts de prospectus, l'entreprise eut des débuts fort difficiles et, après mille déboires, elle finit par tomber. Le roi de Prusse subit de ce fait une perte considérable. A cette époque, la femme d'A.-L. Huguenin était tombée malade : il demanda et obtint l'autorisation de rentrer en Suisse vers la fin de 1769.nAvec le fils de feu le lieutenant Voumard et le maire Béguelin, il fonde un atelier sous la raison : Voumard, Huguenin et Cie.nLa nouvelle industrie parut prospérer, au début du moins, " Monsieur Huguenin de Berlin " comme il s'intitulait lui-même, était un gros personnage, fréquentant la bonne société de la région. Le 31 juillet 1774, un fils naquit qui fut baptisé par le pasteur Frêne et dont celui-ci fut lui-même le parrain. Mais l'affaire ne tarda pas à se gâter et, à la fin de 1775, il était en procès avec ses associés l).nVoici l'aventurier à Porrentruy. I1 a réussi à s'insinuer dans la famille de l'orfèvre Dominique Münch, et dont il avait attiré dans ses... filets une des filles. Münch était mort en 1747 et avait laissé une belle fortune. Bonne aubaine pour HugueninnLe 10 avril 1782, à Rastatt, Abram Huguenin épousa Maria-Antonia Münch de Porrentruy. L'année suivante, il était à la cour de la princesse de Wurtemberg qui résidait à Montbéliard. Il dut vivre là jusqu'en 1789.nOn le retrouve à Bienne en 1792 où il prit part au mouvement révolutionnaire, sans doute pour tâcher de se venger de toutes les déconvenues que lui avaient values et sa mauvaise foi et sa conduite extravagante. On ignore le lieu et la date de sa mort.
HUGUENIN ASANA-LOUIS fils d'Abram-Louis, neveu des frères Huguenin. Horloger-pendulier. Directeur en 1765 de la fabrique royale d'horlogerie de Berlin
HUGUENIN AUGUSTE Mentionné à Genève en 1860. Horloger.
HUGUENIN BENJAMIN Fils de Jean. Apprenti d'Abram Montandon, pendulier à La Chaux-de-Fonds en 1782.
HUGUENIN CHARLES Pendulier au Basset, près la Brévine, en 1806.
HUGUENIN CHARLES-FRÉDÉRIC Fils de Charles-Frédéric, horloger, Maître pendulier à La Chaux-de-Fonds en 1790. Une pendule à sonnerie des demies, signée sur le mouvement.
HUGUENIN DANIEL-JEAN Achète des roues d'horloges au Locle en 1661.
HUGUENIN DAVID-GUILLAUME Né en 1765, décéde en 1841, fils de David, époux de Julie Matthey-Doret. Maire de la Brévine et Conseiller d'Etat. Fit des montres, des pendules et une horloge de précision.
HUGUENIN EMILE Fabricant d'horlogerie aux Ponts-de-Martel; a fait un régulateur vers 186o.
HUGUENIN FRÉDÉRIC-LOUIS Fils de L.-Frédéric et de Suzanne Droz-dit-Basset. Reprend vers 1764 l'atelier de pendulerie de ses parents à La Chaux-de-Fonds. Cité jusqu'en 1800. A comme apprentis: Daniel Droz-dit-Basset et Jean-Pierre Challasse. Plusieurs jolies pendules signées sur le mouvement.
HUGUENIN G.A. Mentionné à Genève, troisième tiers du XIXe siècle. Montres fabriquées pour l'Espagne et l'Amérique du Sud, boîtes gravées, cadrans en argent et en or enrichis d'appliques. Mouvement à remontoir au pendant, échappement à ancre.
HUGUENIN H. Horloger. Mentionné à Genève en 1874.
HUGUENIN ISAAC Fils d'Isaac. Reçoit en 1785 Lettre d'apprentissage de Jean-Jacques Perret-Jeanneret, pendulier à La Brévine.
HUGUENIN J. Horloger. Mentionné à Genève en 1851.
HUGUENIN JACQUES Régent d'école au Locle en 1675. S'engage à peindre les cadrans de la tour et à les orner de diverses figures.
HUGUENIN JEAN-PIERRE Né en 1718, fils de David, époux d'Anne-Marie Morel. "Maître et marchand-horloger en pendules ". Cité de 1739 à 1786. A eu comme apprenti en 1776 François-Louis Borel. Plusieurs jolies pendules signées.
HUGUENIN JOHN Maître de "repassage" à l'Ecole d'Horlogerie de Genève. Publie en 1883, 1897 et 1907 des articles qui traitent les parties détachées de ces complications et "l'établissage et repassage de chronographes".
HUGUENIN JULES-FRÉD Horloger. Mentionné à Genève en 1862.
HUGUENIN JUSTIN Pendulier à Couvet Reçoit de 1843 et en 1845 des cabinets de Ch.-Fr. Dubois.
HUGUENIN JUSTIN-125 Atelier d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1866.
HUGUENIN MOÏSE Fils de Moïse, frère d'Abram dont il est l'associé comme maître-pendulier. Achète en 1727 une boîte pleine de moules à mouler pour les fondeurs de métaux, et un beau cabinet en sculpture doré à mettre une pendule. Horloger du roi de Prusse depuis 1736. En 1745, il achète une terre au Valanvron au nom des frères Huguenin; habite en 1750 à la Sombaille (La Chaux-de-Fonds).
HUGUENIN PIERRE-FRÉDÉRIC Fondeur à La Chaux-de-Fonds. Fait de 1781 à 1784 des timbres accords pour carillons et des ornements de pendules pour J. Robert et fils.
HUGUENIN RENÉ Commerce d'horlogerie et d'articles d'horlogerie. "Debova" Marque genevoise enregistrée en 1922.
HUGUENIN W. E. Fabrication et commerce d'articles d'horlogerie. "Cresarrow" Marque genevoise enregistrée en 1916. Mentionné à Genève en 1924.
HUGUENIN-DIT-RICHARD BALTHAZARD Horloger au Locle avant 1660. Son frère Daniel paraît avoir pratiqué l'horlogerie.
HUGUENIN-DOTHAUX DAVID Émailleur en gros volume au Locle, en 1764.
HUGUENIN-PANCHAUD AUG. Peintres sur émail. Mentionné à Genève en 1860.
HUGUENIN-RICHARD Originaire du Locle. Cité comme pendulier en 1818.
HUGUENIN-VIRCHAUX MOÏSE Fils de Daniel. "Faiseur" de cadrans, émailleur. A deux fils. Reçu habitant de Genève en 1791.
HUMBERSET Horloger. Mentionné à Genève en 1835.
HUMBERSET FRÉDERIC Horloger. Mentionné à Genève en 1860.
HUMBERSET-FILETS H. Horloger. Mentionné à Genève en 1862.
HUMBERT Marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828.
HUMBERT & CHATELAIN Horlogers et marchands. Mentionné à Genève vers 1860. Montres à sonnerie au passage et à répétition.
HUMBERT & DARIER OU DARNIER Père et fils. Mécaniciens et horlogers genevois fabricants. En 1820, créent une manufacture d'ébauches de montres, de pièces détachées et de machines pour l'horlogerie. Présentent des échantillons de mouvements et de roues exécutés par des moyens mécaniques, en 1820. En faillite, peu après, cette usine ferme ses portes.
HUMBERT & GOLAY Première moitié du XIXe siècle. Mécaniciens-horlogers genevois. Construisent des oiseaux chanteurs en forme de tabatière et des montres à oiseau chanteur. Leurs ceuvres sont principalement exportées en Turquie, Inde, Chine et Angleterre.
HUMBERT & MAIRET Fin du XVIIIe, début du XIXe siècle à Genève. Montres décimales et avec symboles révolutionnaires. Travaillent particulièrement pour la France et l'Italie. Signent une montre importante à trois automates, représentant "La Forge", vers 1800.
HUMBERT ALEX Horloger. Mentionné à Genève en 1861.
HUMBERT BOREL & POTERAT Horlogers. Vers 1800 à Genève.
HUMBERT CHARLES Ciseleur à La Chaux-de-Fonds. Travaille avec son fils de 1783 à 1789 pour J. Robert et fils et Cie des ornements de fonte pour pendules, des portes pour pièces d'officier, des vases tournés, etc.
HUMBERT FRERES Horlogers genevois. Milieu du XVIIIe, début du XIXe siècle. Spécialisés en montres décorées d'émail.
HUMBERT FRITZ Établi aux Éplatures vers le milieu du XIXe siècle. Plusieurs pendules de cette époque signées.
HUMBERT HERCULE Maître monteur de boîtes genevois. Sa raison sociale figure sur un acte notarié de 1557.
HUMBERT JEAN-GEORGES Fils de Pierre, natif de Colombier le Château (Seigneurie de Montbéliard). Reçoit en 1771 Lettre d'apprentissage de Pierre-Frédéric Leschot à La Chaux-de-Fonds " pour la profession de fondeur en cuivre et pièces de support pour les ébénistes ". Cité aussi comme " ébéniste ". Relations avec Vialette, Daniel Jacot et GrandGirard en 1770.
HUMBERT JEAN-PIERRE-HERCULE Fils d'Urbain. Vich, bailliage de Nyon (Suisse). Monteur de boîtes. Reçu habitant de Genève en 1746.
HUMBERT JOSEPH Horloger. Travaille à Paris et au Locle (Suisse), en 1789. S'associe avec Potterat et Philippe Borel, en 1794. Crée une manufacture d'ébauches dans la périphérie de Genève, puis s'associe avec Darier (ou Damier) en 1804.
HUMBERT LOUIS Horloger. Fin du XVIIIe, première moitié du XIXe siècle. Mentionné à Genève en 1829.
HUMBERT N. C. Emailleur. Mentionné à Genève en 1860.
HUMBERT NICOLAS Emailleur. Mentionné à Genève en 1870.
HUMBERT VIRGIL Né en 1805, décédé en juillet 1879, fils de Pierre-Frédéric, époux d'Euphrasie Robert. Mécanicien réputé des Planchettes.
HUMBERT-121 Fabricant et marchand d'horlogerie à Genève baillage de Morges (Suisse). Mentionné à Genève en 1828-1835.
HUMBERT-122 Etablisseur et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828-1831.
HUMBERT-123 Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1831. Maison Veyrassat.
HUMBERT-BROLLIET Marchand horloger. Mentionné à Genève en 1835 et en 1860.
HUMBERT-CHEVROL JEAN-BENJAMIN Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1797-1848.
HUMBERT-DROZ D'origine neuchâteloise, cette famille d'horlogers est signalée à La Ferrière, Sous le Crêt, dès 1649. Nombreux sont ses membres qui jouèrent un rôle important dans la fabrication de boîtes.
HUMBERT-DROZ CHARLES-FRANÇOIS Ouvrier de Pierre Jaquet-Droz jusqu'en 1772, puis de son fils Henri-Louis. Mentionné comme maître pendulier à La Chaux-de-Fonds en 1776, il prend comme ouvrier Pierre-Joseph Maillot. Cité en 1779.
HUMBERT-DROZ FRÉDÉRIC Fils d'Abram. Reçoit en 1753 Certificat d'apprentissage de Jean-Jacques Perret-Gentil, pendulier au Locle.
HUMBERT-DROZ JOSEPH Habile horloger pendulier à La Chaux-de-Fonds. Cité de 1730 à 1764. Achète des cabinets à Ab.-L. Sandoz.
HUMBERT-DROZ JOSEPH-120 Fils de Béat-Jacob, du Locle. Fait en 1675 une horloge pour le Temple du Locle.
HUMBERT-DROZ LOUIS Petite pendule datée de 1711. En 1720, un Humbert-Droz, horloger, est cité à La Chaux-de-Fonds.
HUMBERT-HESS Fabricants et marchands d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828-1831.
HUNGRICHHAUS CHRISTIAN-GUILLAUME Fils de Guillaume. Originaire d'Aarau, canton d'Argovie (Suisse). Bijoutier. Reçu habitant de Genève en 1780.
HUNING ALEX Fabrique d'horlogerie de précision fondée en 1893. Dépose un brevet pour un dispositif de réglage de spiral de montre en 1907. Succède à Emile Fiebiger (Tiebiger) fabricant à Genève. "Fides", "Fides Genève" et "Logos" marques enregistrées en 1914. Mentionné à Genève en 1920 et 1924.
HÜNING GUILLAUME FILS Horloger genevois. 1930-1975.
HÜNING GUILLAUME PÈRE SUCC. Horloger genevois. Vers 1896.
HUSSON & RETOR Horlogers et marchands. Fin du XIXe, début du XXe siècle. Montres pendentif. Fabrique de mouvements en blanc par procédés mécaniques. Usine et comptoir mentionné à Genève en 1874.
HUSSON CHARLES Fabricant de mouvements de montres. Mentionné à Genève vers 1909. Marque genevoise enregistrée en 1896
HUTEL FERRY Réfugié provenant de Tours (France). Marchand et maître orfèvre. Première moitié du XVIIe siècle.
HUTIN JACQUES FRANÇOIS Horloger. Originaire de Dardagny, Environs de Genève. 1770-1791.
HUYGENS CHRISTIAN La Haye (1629 -1695). Il a formulé les lois de l'isochronisme du pendule et les propriétés de la cycloïde. Il fait, le premier, l'application du spiral aux appereils horaires. Il construit la première horloge marine.