Старые французские часовые имена на букву F: различия между версиями
German (обсуждение | вклад) Нет описания правки |
German (обсуждение | вклад) Нет описания правки |
||
Строка 797: | Строка 797: | ||
FOURNIER JEAN-LOUIS | FOURNIER JEAN-LOUIS | ||
Originaire de Rolle (Suisse). Compagnon horloger. Reçu habitant de Genève en 1762. | Originaire de Rolle (Suisse). Compagnon horloger. Reçu habitant de Genève en 1762. | ||
FOURNIER NELLY | FOURNIER NELLY | ||
Emailleuse. Spécialisée en émail cloisonné et émail translucide. Première moitié du XXe siècle à Genève. | Emailleuse. Spécialisée en émail cloisonné et émail translucide. Première moitié du XXe siècle à Genève. | ||
FOURNIER THOMAS | FOURNIER THOMAS | ||
Maître orfèvre. Première moitié du XVIIe siècle. | Maître orfèvre. Première moitié du XVIIe siècle. | ||
FOURYOD PIERRE | FOURYOD PIERRE | ||
Maître horloger genevois. Apprenti chez Etienne Perachon en 1639. | Maître horloger genevois. Apprenti chez Etienne Perachon en 1639. | ||
FOX GEORGES | FOX GEORGES | ||
Fabricant d'articles d'horlogerie. La marque "DACIA" est enregistrée en 1904. | Fabricant d'articles d'horlogerie. La marque "DACIA" est enregistrée en 1904. | ||
FOX GEORGES & CO | FOX GEORGES & CO | ||
Fabricants d'articles d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1907. Les marques « CITO », « CLEO », « MUD » et « SOLON » sont enregistrées en 1904. | Fabricants d'articles d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1907. Les marques « CITO », « CLEO », « MUD » et « SOLON » sont enregistrées en 1904. | ||
FRAINET | FRAINET | ||
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828 | Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828 | ||
FRAINET FRANÇOIS-SALOMON | FRAINET FRANÇOIS-SALOMON | ||
Originaire de Commugny, Nyon (Suisse). Emailleur. Reçu habitant de Genève en 1761. | Originaire de Commugny, Nyon (Suisse). Emailleur. Reçu habitant de Genève en 1761. | ||
FRAINET JEAN-DAVID | FRAINET JEAN-DAVID | ||
(Genève 1752-1788). Fils de Jacques, Français. Peintre sur émail. Elève de fils J. Malignon. S'associe avec J.-F. Soiron et E. Fregent vers 1774. Spécialisé dans la décoration de boîtes de montres et tabatières. Reçu habitant de Genève en 1776. | (Genève 1752-1788). Fils de Jacques, Français. Peintre sur émail. Elève de fils J. Malignon. S'associe avec J.-F. Soiron et E. Fregent vers 1774. Spécialisé dans la décoration de boîtes de montres et tabatières. Reçu habitant de Genève en 1776. | ||
FRAISSINET JOSEPH | FRAISSINET JOSEPH | ||
Né à Carouge (environs de Genève). Fils d'Antoine. Le Vigan, Languedoc (France). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1769. | Né à Carouge (environs de Genève). Fils d'Antoine. Le Vigan, Languedoc (France). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1769. | ||
FRANCILLON ERNEST | FRANCILLON ERNEST | ||
D'origine vaudoise, cet horloger de mérite, doublé d'un industriel remarquable, est né à Lausanne le 10 juillet 1834. I1 était destiné à la carrière commerciale et il fit ses premières études sur les rives du Léman, puis dans un institut privé. Il se rendit ensuite en Allemagne. De retour au pays, il entra dans l'atelier fondé par son oncle Agassiz en 1832 et, afin de s'initier convenablement à l'horlogerie, il travailla pendant quelques années dans une famille de Môtiers. Il occupait ses loisirs à la lecture d'ouvrages traitant surtout de matières relatives à ses occupations.nErnest Francillon, son stage achevé, reprit sa place dans l'atelier de son oncle et travailla de son mieux. Mais une idée germa bientôt dans son cerveau : transformer l'horlogerie en une industrie où la machine remplacerait le travail manuel jamais parfaitement régulier. L'entreprise était hasardeuse et, dans son entourage, on se montrait sceptique. Enfin, en 1866, après avoir vaincu toutes les difficultés, la fabrique Longines fut ouverte, bien modestement, avec une vingtaine d'ouvriers.nC'était l'aube d'une carrière extrêmement active et féconde. Très dévoué à l'entreprise qu'il venait de créer de toutes pièces, il s'y consacra jusqu'à son décès, survenu le 3 avril 1900. La fabrique Longines, aujourd'hui marque mondiale, porta au loin ses montres d'un fini irréprochable, d'un art consommé, d'une bienfacture à toute épreuve. I1 fallut, à plusieurs reprises, agrandir les locaux devenus trop petits pour satisfaire une clientèle toujours plus étendue.nE. Francillon s'intéressa toujours au développement de Saint-Imier et du Jura tout entier, devenu sa patrie d'adoption. Il fut nommé, entre autres, conseiller national et s'occupa activement, avec P. Jolissaint et E. Marti, du développement des chemins de fer jurassiens. Ce fut un homme de coeur en même temps qu'un industriel avisé. | D'origine vaudoise, cet horloger de mérite, doublé d'un industriel remarquable, est né à Lausanne le 10 juillet 1834. I1 était destiné à la carrière commerciale et il fit ses premières études sur les rives du Léman, puis dans un institut privé. Il se rendit ensuite en Allemagne. De retour au pays, il entra dans l'atelier fondé par son oncle Agassiz en 1832 et, afin de s'initier convenablement à l'horlogerie, il travailla pendant quelques années dans une famille de Môtiers. Il occupait ses loisirs à la lecture d'ouvrages traitant surtout de matières relatives à ses occupations.nErnest Francillon, son stage achevé, reprit sa place dans l'atelier de son oncle et travailla de son mieux. Mais une idée germa bientôt dans son cerveau : transformer l'horlogerie en une industrie où la machine remplacerait le travail manuel jamais parfaitement régulier. L'entreprise était hasardeuse et, dans son entourage, on se montrait sceptique. Enfin, en 1866, après avoir vaincu toutes les difficultés, la fabrique Longines fut ouverte, bien modestement, avec une vingtaine d'ouvriers.nC'était l'aube d'une carrière extrêmement active et féconde. Très dévoué à l'entreprise qu'il venait de créer de toutes pièces, il s'y consacra jusqu'à son décès, survenu le 3 avril 1900. La fabrique Longines, aujourd'hui marque mondiale, porta au loin ses montres d'un fini irréprochable, d'un art consommé, d'une bienfacture à toute épreuve. I1 fallut, à plusieurs reprises, agrandir les locaux devenus trop petits pour satisfaire une clientèle toujours plus étendue.nE. Francillon s'intéressa toujours au développement de Saint-Imier et du Jura tout entier, devenu sa patrie d'adoption. Il fut nommé, entre autres, conseiller national et s'occupa activement, avec P. Jolissaint et E. Marti, du développement des chemins de fer jurassiens. Ce fut un homme de coeur en même temps qu'un industriel avisé. | ||
FRANCILLON JOSEPH | FRANCILLON JOSEPH | ||
« Faiseur » de boîtes à Genève. Sa raison sociale figure sur un acte notarié de 1688. | « Faiseur » de boîtes à Genève. Sa raison sociale figure sur un acte notarié de 1688. | ||
FRANÇOIS ANTHOINE-PIERRE | FRANÇOIS ANTHOINE-PIERRE | ||
Maître horloger. Seconde moitié du XVIIIe siècle. Originaire de Haute-Savoie (France). | Maître horloger. Seconde moitié du XVIIIe siècle. Originaire de Haute-Savoie (France). | ||
FRANÇOIS ETIENNE | FRANÇOIS ETIENNE | ||
Fils de Jean-François. Originaire de Châtillon-sur-Loire (France). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1755. | Fils de Jean-François. Originaire de Châtillon-sur-Loire (France). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1755. | ||
FRANÇOIS MARC-AUGUSTE-JULES | FRANÇOIS MARC-AUGUSTE-JULES | ||
Horloger genevois. De 1770 à 1791. | Horloger genevois. De 1770 à 1791. | ||
FRANÇOIS MAURIS | FRANÇOIS MAURIS | ||
Horloger genevois. Seconde moitié du XVIIIe siècle. | Horloger genevois. Seconde moitié du XVIIIe siècle. | ||
FRANÇOIS PIERRE | FRANÇOIS PIERRE | ||
Associé avec Gabriel Bellot, N. Chalon et Isaac Marcinhes de 1777 à 1783 à Genève. | Associé avec Gabriel Bellot, N. Chalon et Isaac Marcinhes de 1777 à 1783 à Genève. | ||
FRANGER | FRANGER | ||
Pièces à musique. Mentionné à Genève en 1835. | Pièces à musique. Mentionné à Genève en 1835. | ||
FRANKFELD | FRANKFELD | ||
Manufacture de montres-bracelets à Genève. Art Déco. Mouvements avec trous empierrés pour le barillet. | Manufacture de montres-bracelets à Genève. Art Déco. Mouvements avec trous empierrés pour le barillet. | ||
FRANKFELD A. | FRANKFELD A. | ||
Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève pendant la deuxième partie du XIXe siècle. Spécialisé en montres avec affichage numérique à huit jours de réserve de marche. En 1874. Il crée une montre-pendentif en forme de coquillage, avec châtelaine, clé en or, nécessaire de couture et sceau. Vers 1860. Dépose un brevet pour un nouveau mécanisme de secondes mortes indépendantes pour montres, en 1899. | Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève pendant la deuxième partie du XIXe siècle. Spécialisé en montres avec affichage numérique à huit jours de réserve de marche. En 1874. Il crée une montre-pendentif en forme de coquillage, avec châtelaine, clé en or, nécessaire de couture et sceau. Vers 1860. Dépose un brevet pour un nouveau mécanisme de secondes mortes indépendantes pour montres, en 1899. | ||
FRANKFELD FRERES | FRANKFELD FRERES | ||
Fabrication de mouvements et boîtes de montres. « MAYFLOWER WATCH » Marque genevoise enregistrée en 1918 « Rhône » enregistrée en 1919. Mentionné à Genève en 1920. | Fabrication de mouvements et boîtes de montres. « MAYFLOWER WATCH » Marque genevoise enregistrée en 1918 « Rhône » enregistrée en 1919. Mentionné à Genève en 1920. | ||
FRANKFELD L. & CIE | FRANKFELD L. & CIE | ||
Horlogers genevois. 1880-1940. | Horlogers genevois. 1880-1940. | ||
FRANKFORT | FRANKFORT | ||
En 1770, ouvrier de Gédéon Langin, faiseur de ressorts de pendules à La Chaux-de-Fonds. | En 1770, ouvrier de Gédéon Langin, faiseur de ressorts de pendules à La Chaux-de-Fonds. | ||
FRARIN PHILIBERT | FRARIN PHILIBERT | ||
Horloger genevois. Vers 1748. | Horloger genevois. Vers 1748. | ||
FRARY JACQUES-LOUIS | FRARY JACQUES-LOUIS | ||
Horloger. Reçu habitant de Genève en 1791. Mentionné à Genève dès 1828. | Horloger. Reçu habitant de Genève en 1791. Mentionné à Genève dès 1828. | ||
FRAY & HOFER | FRAY & HOFER | ||
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1862. | Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1862. | ||
FRAY J. | FRAY J. | ||
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1866. | Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1866. | ||
FREDERICH C. | FREDERICH C. | ||
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève dès 1828. | Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève dès 1828. | ||
FREGENT ETIENNE | FREGENT ETIENNE | ||
Peintre sur émail genevois. S'associe avec Jean-François Soiron et Jean-David Frainet vers 1774. Seconde moitié du XVIIIe siècle. | Peintre sur émail genevois. S'associe avec Jean-François Soiron et Jean-David Frainet vers 1774. Seconde moitié du XVIIIe siècle. | ||
FREGEVISE JEAN-FRANÇOIS | FREGEVISE JEAN-FRANÇOIS | ||
Originaire de Berlin (Allemagne). Bijoutier. Reçu habitant de Genève en 1769. | Originaire de Berlin (Allemagne). Bijoutier. Reçu habitant de Genève en 1769. | ||
FREGEVIZE (FREGEVISE) JEAN-PIERRE | FREGEVIZE (FREGEVISE) JEAN-PIERRE | ||
Originaire de Onex (environs de Genève). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1772. | Originaire de Onex (environs de Genève). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1772. | ||
FRELET JEAN | FRELET JEAN | ||
Maître horloger à Meyrin (environs de Genève). Vers 1766. | Maître horloger à Meyrin (environs de Genève). Vers 1766. | ||
FREMIN (FREMYN) JACQUES | FREMIN (FREMYN) JACQUES | ||
Horloger genevois. Apprenti chez julien Defino en 1600. | Horloger genevois. Apprenti chez julien Defino en 1600. | ||
FREMIN ABEL | FREMIN ABEL | ||
Maître horloger genevois. Sa raison sociale figure sur un acte notarié de 1637. Forme Abraham Pattey en 1640. Fabrique des montres très soignées avec boîtier en or, émail et pierres précieuses. Boîtes montées par François Desmarets, maître orfèvre. | Maître horloger genevois. Sa raison sociale figure sur un acte notarié de 1637. Forme Abraham Pattey en 1640. Fabrique des montres très soignées avec boîtier en or, émail et pierres précieuses. Boîtes montées par François Desmarets, maître orfèvre. | ||
FREMIN PIERRE | FREMIN PIERRE | ||
Maître "faiseur" de ressorts de montres genevois. Sa raison sociale figure sur un acte notarié de 1657. Forme Abraham Joly en 1657. | Maître "faiseur" de ressorts de montres genevois. Sa raison sociale figure sur un acte notarié de 1657. Forme Abraham Joly en 1657. | ||
FREMY ROD. | FREMY ROD. | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1874. | Horloger. Mentionné à Genève en 1874. | ||
FRESARD DU VILLERET | FRESARD DU VILLERET | ||
Habile pendulier et faiseur d'automates. L'un des collaborateurs de Pierre Jaguet-Droz qu'il avait suivi à Bienne avant 1790. | Habile pendulier et faiseur d'automates. L'un des collaborateurs de Pierre Jaguet-Droz qu'il avait suivi à Bienne avant 1790. | ||
FREUNDLER | FREUNDLER | ||
Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1831. | Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1831. | ||
FREUNDLER C.-B. & CIE | FREUNDLER C.-B. & CIE | ||
Horlogers genevois. Première moitié du XIXe siècle. Montres de dame en or et émail, mouvements à ponts, échappements à cylindre. | Horlogers genevois. Première moitié du XIXe siècle. Montres de dame en or et émail, mouvements à ponts, échappements à cylindre. | ||
FREY LOUIS | FREY LOUIS | ||
Atelier d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1866. | Atelier d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1866. | ||
FREYMANN J. | FREYMANN J. | ||
Fabrique une montre à étalonnage à quartz en 1947, avec Challende et Epitaux, à l'Observatoire de Genève. | Fabrique une montre à étalonnage à quartz en 1947, avec Challende et Epitaux, à l'Observatoire de Genève. | ||
FRIDERICH CH. | FRIDERICH CH. | ||
Horloger genevois. Vers 1820. Montres à répétitions à quarts, type Breguet, destinées au marché turc. | Horloger genevois. Vers 1820. Montres à répétitions à quarts, type Breguet, destinées au marché turc. | ||
FRIEDRICHS CHARLES-AUGUSTE | FRIEDRICHS CHARLES-AUGUSTE | ||
Né en 1813, décéde en 1896. Établi à Fleurier, présente un régulateur au concours de l'Observatoire de Neuchâtel (1858-1860) et reçoit un accessit à titre d'encouragement. | Né en 1813, décéde en 1896. Établi à Fleurier, présente un régulateur au concours de l'Observatoire de Neuchâtel (1858-1860) et reçoit un accessit à titre d'encouragement. | ||
FRION | FRION | ||
Aiguilles de montres. Mentionné à Genève en 1835. | Aiguilles de montres. Mentionné à Genève en 1835. | ||
FRION (J. FILS ) | FRION (J. FILS ) | ||
Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828 | Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828 | ||
FRION VICTOR | FRION VICTOR | ||
Horloger Mentionné à Genève en 1874. | Horloger Mentionné à Genève en 1874. | ||
FRISARD (FRESARD) JACOB | FRISARD (FRESARD) JACOB | ||
Né à Villeret en 1753, meurt entre Constantinople (Turquie) et Genève, lors d'un voyage, en 1812. Horloger mécanicien. Genève, Bienne (Suisse), Londres (Angleterre), Constantinople (Turquie). Devient le collaborateur de Jaquet-Droz & Leschot à Genève, puis travaille en collaboration avec Henry Maillardet, à Londres. Construit des montres à automates et musique, à oiseau chanteur, cages, boîtes tabatières à musique sur cloches. Les boîtes de ses montres sont construites pour les plus grands orfèvres genevois, comme Pery, Plagne, Orvin et d'autres; ses oeuvres sont souvent décorées par des peintres sur émail comme les Frères Archeveque, Dupont, Gautier J.R. et autres. Spécialisé dans la construction de cannes à oiseau chanteur, à sifflet modulé. Fabrique pour les marchés anglais, français, turc, indien, chinois, italien et espagnol. Organise une exposition de ses oeuvres en 1809 à Zurich. Signe une montre de carrosse: "Jac. Frisard à Carouge" (Suisse), vers 1790. | Né à Villeret en 1753, meurt entre Constantinople (Turquie) et Genève, lors d'un voyage, en 1812. Horloger mécanicien. Genève, Bienne (Suisse), Londres (Angleterre), Constantinople (Turquie). Devient le collaborateur de Jaquet-Droz & Leschot à Genève, puis travaille en collaboration avec Henry Maillardet, à Londres. Construit des montres à automates et musique, à oiseau chanteur, cages, boîtes tabatières à musique sur cloches. Les boîtes de ses montres sont construites pour les plus grands orfèvres genevois, comme Pery, Plagne, Orvin et d'autres; ses oeuvres sont souvent décorées par des peintres sur émail comme les Frères Archeveque, Dupont, Gautier J.R. et autres. Spécialisé dans la construction de cannes à oiseau chanteur, à sifflet modulé. Fabrique pour les marchés anglais, français, turc, indien, chinois, italien et espagnol. Organise une exposition de ses oeuvres en 1809 à Zurich. Signe une montre de carrosse: "Jac. Frisard à Carouge" (Suisse), vers 1790. | ||
FRISARD JACOB | FRISARD JACOB | ||
(1553 à 1612). Horloger genevois. | (1553 à 1612). Horloger genevois. | ||
FRISARD JACOB OU FRESARD JACQUES | FRISARD JACOB OU FRESARD JACQUES | ||
C'est certainement le plus fameux des horlogers jurassiens, un émule ou plutôt un collaborateur des célèbres Jaquet-Droz, fabricants d'automates de La Chaux-de-Fonds.nSon frère aîné, François-Louis, fit un apprentissage d'horlogerie à La Chaux-de Fonds dès 1761. De retour à la maison, il fonda, avec ses frères Jean-Henri et Jacob, ainsi que ses trois soeurs Marie-Madeleine, Elisabeth et Marianne, un atelier d'horlogerie. Ils ne terminaient pas la montre et ils se spécialisèrent dans la fabrication des < blancs ".nMais quelque temps après, Jacob abandonna l'horlogerie pour se vouer exclusivement à la mécanique, en particulier à la fabrication des automates, donnant ainsi libre cours à une inclination innée pour ce genre de travaux. Des actes de naissance de ses enfants, il résulte qu'il séjourna à Turin en 1780-81, en même temps que le fabricant d'automates neuchâtelois Henry Mairet dont il semble avoir été le collaborateur et l'émule. Rentré au pays, il devint l'élève et encore le collaborateur des Jaquet Droz à La Chaux-de-Fonds, puis de 1786 à 1791 à Genève. Il se rendit à Paris et à Londres, après la mort des deux Jaquet-Droz, père et fils, survenue en 1790 et 1791. En 1793, Frisard s'établit à Bienne.nIl consacra vingt années de sa vie à ses travaux fort ingénieux dont certains étaient destinés à l'empereur de Chine et à d'autres princes d'Asie et d'Europe.nOn a vu aussi que Frisard était à Zurich en 1809 et qu'il organisa, dans cette ville, une exposition de ses oeuvres dont le prospectus, quoique en langue allemande, donne une idée exacte. Comment s'expliquer qu'un homme de talent comme lui, se soit mis à courir le pays pour faire des exhibitions d'automates devant les foules naïves et admiratives ? à défaut d'indications précises, on peut supposer qu'atteint par l'âge et dans l'impossibilité de travailler encore -- il dépassait alors la cinquantaine - il se soit vu dans la nécessité d'organiser une tournée en Europe, afin de faire admirer les jolis automates qui attirent toujours le peuple, avide de spectacle de ce genre.nIl est décédé dans les provinces danubiennes, au cours d'un voyage à Constantinople en 1812. | C'est certainement le plus fameux des horlogers jurassiens, un émule ou plutôt un collaborateur des célèbres Jaquet-Droz, fabricants d'automates de La Chaux-de-Fonds.nSon frère aîné, François-Louis, fit un apprentissage d'horlogerie à La Chaux-de Fonds dès 1761. De retour à la maison, il fonda, avec ses frères Jean-Henri et Jacob, ainsi que ses trois soeurs Marie-Madeleine, Elisabeth et Marianne, un atelier d'horlogerie. Ils ne terminaient pas la montre et ils se spécialisèrent dans la fabrication des < blancs ".nMais quelque temps après, Jacob abandonna l'horlogerie pour se vouer exclusivement à la mécanique, en particulier à la fabrication des automates, donnant ainsi libre cours à une inclination innée pour ce genre de travaux. Des actes de naissance de ses enfants, il résulte qu'il séjourna à Turin en 1780-81, en même temps que le fabricant d'automates neuchâtelois Henry Mairet dont il semble avoir été le collaborateur et l'émule. Rentré au pays, il devint l'élève et encore le collaborateur des Jaquet Droz à La Chaux-de-Fonds, puis de 1786 à 1791 à Genève. Il se rendit à Paris et à Londres, après la mort des deux Jaquet-Droz, père et fils, survenue en 1790 et 1791. En 1793, Frisard s'établit à Bienne.nIl consacra vingt années de sa vie à ses travaux fort ingénieux dont certains étaient destinés à l'empereur de Chine et à d'autres princes d'Asie et d'Europe.nOn a vu aussi que Frisard était à Zurich en 1809 et qu'il organisa, dans cette ville, une exposition de ses oeuvres dont le prospectus, quoique en langue allemande, donne une idée exacte. Comment s'expliquer qu'un homme de talent comme lui, se soit mis à courir le pays pour faire des exhibitions d'automates devant les foules naïves et admiratives ? à défaut d'indications précises, on peut supposer qu'atteint par l'âge et dans l'impossibilité de travailler encore -- il dépassait alors la cinquantaine - il se soit vu dans la nécessité d'organiser une tournée en Europe, afin de faire admirer les jolis automates qui attirent toujours le peuple, avide de spectacle de ce genre.nIl est décédé dans les provinces danubiennes, au cours d'un voyage à Constantinople en 1812. | ||
FRISARD JACQUES-THÉOPHILE | FRISARD JACQUES-THÉOPHILE | ||
Originaire de Villeret, apprenti, puis ouvrier monteur de boîtes or et argent à Renan (Suisse), vers, 1770 et, plus tard encore, à Villeret où il fut « établisseur » ou fabricant d'horlogerie. Entre 1775 et 1780, il y eut, dans ce village, une maison Frisard et Bourquin formée de Bénédict Frisard et de David Bourquin. Un frère des Frisard faisait le commerce d'horlogerie à Paris. | Originaire de Villeret, apprenti, puis ouvrier monteur de boîtes or et argent à Renan (Suisse), vers, 1770 et, plus tard encore, à Villeret où il fut « établisseur » ou fabricant d'horlogerie. Entre 1775 et 1780, il y eut, dans ce village, une maison Frisard et Bourquin formée de Bénédict Frisard et de David Bourquin. Un frère des Frisard faisait le commerce d'horlogerie à Paris. | ||
FRITZ MARTIN | FRITZ MARTIN | ||
Horloger. Travaille à Genève entre 1780 et 1800. | Horloger. Travaille à Genève entre 1780 et 1800. | ||
FROIDEVAUX FRANÇOIS-JOSEPH | FROIDEVAUX FRANÇOIS-JOSEPH | ||
originaire de la Montagne des Bois. Il fit son apprentissage entre 1770 et 1774 chez Daniel Ducommun-dit-Boudry à La Chaux-de-Fonds dont il reçut une lettre d'apprentissage en 1774. I1 fit des pendules dont on connaît un spécimen dans une collection particulière à Berne et une autre à Porrentruy. Il est signalé à Berne de 1801 à 1812. | originaire de la Montagne des Bois. Il fit son apprentissage entre 1770 et 1774 chez Daniel Ducommun-dit-Boudry à La Chaux-de-Fonds dont il reçut une lettre d'apprentissage en 1774. I1 fit des pendules dont on connaît un spécimen dans une collection particulière à Berne et une autre à Porrentruy. Il est signalé à Berne de 1801 à 1812. | ||
FROISSARD | FROISSARD | ||
Genève. Horloger. Vers 1800. | Genève. Horloger. Vers 1800. | ||
FROLL ABRAHAM | FROLL ABRAHAM | ||
Horloger genevois. Seconde moitié du XVIIIe siècle. | Horloger genevois. Seconde moitié du XVIIIe siècle. | ||
FROLL ANDRÉ | FROLL ANDRÉ | ||
Horloger genevois. Seconde moitié du XVIIIe siècle. | Horloger genevois. Seconde moitié du XVIIIe siècle. | ||
FROMANTEEL AHASUERUS | FROMANTEEL AHASUERUS | ||
(XVIIe siècle) Célèbre horloger d'origine néerlandaise, établi à Londres. Il fut le premier à construire (1658), en collaboration avec Huygens, des horloges à pendule en Angleterre. | (XVIIe siècle) Célèbre horloger d'origine néerlandaise, établi à Londres. Il fut le premier à construire (1658), en collaboration avec Huygens, des horloges à pendule en Angleterre. | ||
FROMENT-MEURICE | FROMENT-MEURICE | ||
Orfèvre genevois. Signe une boîte pour E. Lecoultre, richement décorée de figures en or blanc et rose de style Renaissance. Vers 1878. | Orfèvre genevois. Signe une boîte pour E. Lecoultre, richement décorée de figures en or blanc et rose de style Renaissance. Vers 1878. | ||
FROSSARD | FROSSARD | ||
Horloger. Seconde moitié du XIXe siècle. | Horloger. Seconde moitié du XIXe siècle. | ||
FROSSARD DENIS | FROSSARD DENIS | ||
Horloger. Seconde moitié du XVIIIe, début du XIXe siècle. | Horloger. Seconde moitié du XVIIIe, début du XIXe siècle. | ||
FROSSARD GABRIEL | FROSSARD GABRIEL | ||
Horloger. Originaire de Moudon (Suisse). Reçu habitant de Genève en 1771. | Horloger. Originaire de Moudon (Suisse). Reçu habitant de Genève en 1771. | ||
FROSSARD J | FROSSARD J | ||
Fabricant de boites de montres. Mentionné à Genève en 1904, Il dépose un brevet pour un système de boites de montres, de type "J.F.". | Fabricant de boites de montres. Mentionné à Genève en 1904, Il dépose un brevet pour un système de boites de montres, de type "J.F.". | ||
FUCHS NICOLAS | FUCHS NICOLAS | ||
Originaire de Baden. En 1833, ouvrier de Justin DUBOIS pendulier. | Originaire de Baden. En 1833, ouvrier de Justin DUBOIS pendulier. | ||
FUETER FRANÇOIS-LOUIS | FUETER FRANÇOIS-LOUIS | ||
Bailliage de Berne (Suisse). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1750. | Bailliage de Berne (Suisse). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1750. | ||
FULGOR | FULGOR | ||
Marque genevoise enregistrée. | Marque genevoise enregistrée. | ||
FUNK CHARLES | FUNK CHARLES | ||
Horloger. Dépose à Genève deux brevets en 1905: le premier pour un mécanisme chronographe compteur et le second: pour un cercle d'emboîtage permettant d'ajuster des mouvements de montres suisses dans une boite américaine. Vend son brevet à la Tempor Watch M.F.G. Co., Grimm Fs Co en 1907. | Horloger. Dépose à Genève deux brevets en 1905: le premier pour un mécanisme chronographe compteur et le second: pour un cercle d'emboîtage permettant d'ajuster des mouvements de montres suisses dans une boite américaine. Vend son brevet à la Tempor Watch M.F.G. Co., Grimm Fs Co en 1907. | ||
FUOG THÉOPHILE | FUOG THÉOPHILE | ||
Horloger fabricant genevois. Dépose un brevet en 1897 pour un nouveau calibre de montre à remontoir avec ponts de barillet et des roues de remontoir indépendantes. Cède ce brevet en faveur de judith & Cie , fabricants à Berne (Suisse) en 1902. | Horloger fabricant genevois. Dépose un brevet en 1897 pour un nouveau calibre de montre à remontoir avec ponts de barillet et des roues de remontoir indépendantes. Cède ce brevet en faveur de judith & Cie , fabricants à Berne (Suisse) en 1902. | ||
FURET LOUIS | FURET LOUIS | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1874. | Horloger. Mentionné à Genève en 1874. | ||
FUSIE AMOS | FUSIE AMOS | ||
(1652-1712). Originaire du Pays de Gex, Ain (France). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1707. | (1652-1712). Originaire du Pays de Gex, Ain (France). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1707. | ||
FUSIER PAUL | FUSIER PAUL | ||
Maître horloger. Début du XVIIIe siècle. | Maître horloger. Début du XVIIIe siècle. | ||
FUZIL AMOS | FUZIL AMOS | ||
Originaire du Pays de Gex, Ain (France). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1688. | Originaire du Pays de Gex, Ain (France). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1688. |
Версия от 20:23, 7 января 2014
<metakey>Старинные, часы, часовщик</metakey>
СТРАНИЦА НАХОДИТСЯ НА ДОРАБОТКЕ
Некоторые сведения в данной статье могут отображаться неправильно, это нормально - статья находится в доработке, требует оформления или дополнения.
Вы можете присоединиться к проекту и стать редактором, см. Как стать редактором базы знаний.
Данная статья о старинных часовых мастерах Европы, на французском языке. Статья из словаря старинных часовых имен, семейных часовых фирм, и ранних часовых марок.
Словарный формат подразумевает сжатые сведения об имени, происхождении, годах жизни или работы мастера-часовщика, а также о направлении деятельности его предприятия, и упоминании/нахождении старинных часов его авторства в музейных коллекциях.
Если Вы нашли заметку о мастере, который Вас интересует, можете скопировать ее и воспользоваться автоматическим переводчиком для перевода на русский язык.
Вы можете вернуться в Словарь старинных часовых имён и марок к остальным статьям.
FABRE LOUIS-ANDRÉ (Genève 18.09.1750 - La Chaux-de-Fonds 7.06.1814). Peintre sur émail. S'associe avec J.-F. Soiron pour une année en 1776. Forme P.-L. Bouvier et a comme apprenti David Bellamy en 1780. Travaille pour Droz & Leschot,
FABRI FRANÇOIS Apprenti orfèvre chez Jn Simonin en 1685 à Genève.
FABRI JEAN-FRANÇOIS Horloger genevois. Seconde moitié du XVIIIe siècle.
FABRI PAUL Apprenti horloger chez Jaques Sermand l'oncle, en 1640 à Genève.
FABRIQUE DE BIJOUTERIE ET D'EMAUX DE GENEVE S.A. FILS B. E. Marque genevoise enregistrée en 1913. Chronomètres Emaux Genève enregistrée en 1914
FABRIQUE GENEVOISE DE PENDULETTES Mentionné à Genève vers 1909.
FABY (Genève 1700-1767). Horloger.
FAGUILLON Horloger genevois. 1680-1720. Spécialisé dans les montres oignon, de styles français et hollandais.
FAGUILLON JEAN Maître horloger genevois. De 1700 à 1730.
FAGUILLON PIERRE Maître horloger genevois. De 1700 à 1750.
FAISAND LOUIS Maître horloger genevois. Début du XVIIIe siècle.
FAISANT PIERRE-NICOLAS Peintre sur émail genevois. Fin du XVIIIe, début du XIXe siècle. S'établit au Locle (Suisse) vers 1794.
FAIVRE PIERRE-JOSEPH horloger de et à St-Brais.
FAIZAN (FAISAN) (FAIZANT) ABRAHAM I (Genève 1709-1791). Maître et marchand horloger. S'associe avec son frère Jean-Zacharie, sous la raison sociale: Faizan Frères.
FAIZAN ABRAHAM II Apprenti horloger chez François Mestral en 1741 à Genève.
FAIZAN AUGUSTE Maître horloger genevois. 1774-1796.
FAIZAN FRANÇOIS Horloger genevois. 1738-1756.
FAIZAN JACOB Maître horloger genevois en 1736.
FAIZAN JEAN I Maître "faiseur" de boîtes genevois. Sa raison sociale figure sur un acte notarié de 1706.
FAIZAN JEAN III (Genève 1689-1755). Maître horloger. Apprenti chez David Rousseau en 1702.
FAIZAN JEAN-LOUIS (Genève 1723-1782). Horloger.
FAIZAN JEAN-LOUIS II Horloger genevois. 1786-1806.
FAIZAN JEAN-PIERRE Né en 1741 à Genève. Maître horloger.
FAIZAN JEAN-PIERRE ET GAY JEAN-ANTOINE Fabricants d'horlogerie genevois. 1785.
FAIZAN JEAN-ZACHARIE (Genève 1707-1795) Maître horloger. S'associe avec son frère sous la raison sociale: Faizan Frères. Forme Jaques Cassin en 1735.
FAIZAN LOUIS Horloger genevois, première moitié du XVIIIe siècle. Crée en 1776, avec le savant Horace Bénédict de Saussure, la Société des Arts, la plus ancienne société scientifique de Genève. Forme Pierre Chenevière en 1712.
FAIZAN LOUIS I (Genève 1681-1756). Maître et marchand horloger.
FAIZAN LOUIS II (Genève 1725-1781). Fils de Louis I. Maître horloger. Apprenti chez Etienne Conte en 1741.
FAIZAN NICOLAS Né en 1728 à Genève. Horloger.
FAIZAN PIERRE Maître horloger genevois. Travaille de 1754 à 1795. Forme Denis Dominicé en 1770, Jean-François Macaire en 1789 et Ch. Ed. Lechet en 1790.
FAIZAN PIERRE-NICOLAS Né en 1768 à Genève. Horloger.
FAIZAN SAMUEL Maître graveur genevois en 1677.
FAIZANT (FAIZAN) PIERRE Originaire des environs de Genève. Horloger. Reçu habitant de Genève en 1768.
FALLERY (FALLERI) JACQUES Originaire de Rolle (Suisse). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1719.
FALLERY A.-J. (Genève 1752-1833). Peintre sur émail. S'associe, avec L.-A. Adam et J.-G. Viollier vers 1776. Spécialisé dans la décoration des boîtes de montres et tabatières. Expose à Genève, en 1816, deux scènes historiques. Signe: "Fallerick".
FALLERY DANIEL-PIERRE Originaire de Rolle (Suisse). Maître horloger. 1750-1771. Reçu habitant de Genève en 1747.
FALLERY JEAN-JACQUES Horloger genevois. 1750-1770.
FALLETTE Horloger genevois. Fin du XVIIIe, premier quart du XIXe siècle.
FALLÈVE Atelier d'horlogerie à Genève
FALQUET BASTIAN Apprenti horloger chez Jaques Caillate (Caillatte) de 1663 à 1664 à Genève.
FALQUET FRANÇOIS Apprenti lapidaire chez Daniel II Caillate (Caillatte) de 1664 à 1667 à Genève.
FAPERNOUX JEAN-ISAAC Horloger genevois. Seconde moitié du XVIIIe siècle.
FARA J.-A. Horloger et marchand. Mentionné à Genève en 1907.
FARAVELLI L. Balancier et horloger. Mentionné à Genève en 1860.
FARGE JEAN-DAVID Maître horloger genevois. Fin du XVIIIe siècle.
FARINIERE JEAN-ANDRÉ-DAVID Horloger genevois. Seconde moitié du XVIIIe, début du XIXe siècle.
FARINIERE JEAN-ANTOINE-DAVID Horloger genevois. Seconde moitié du XVIIIe, début du XIXe siècle.
FARJON & ARCHINARD Horlogers genevois. Fin du XVIIle, début du XIXe siècle. Montres à cadran peint et montres à répétition.
FARJON JN PIERRE Horloger genevois. Vers 1800-1830. Montres à répétition et à musique.
FASCIO Marque genevoise enregistrée.
FASCISTA Marque genevoise enregistrée.
FATIO Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1835.
FATIO ALFRED Horloger et marchand genevois. Vers 1920-1940. Montres de bonne qualité et montres compliquées.
FATIO CHARLES-ALEXIS Horloger genevois. Figure sur des actes notariés en 1857 et 1860.
FATIO CHARLES-ANDRÉ Horloger genevois. 1860.
FATIO DE DUILLIER NICOLAS (Bâle, Suisse 1664-1753). Opticien. Elevé à Genève. Reçu bourgeois de Genève en 1678. Se rend ensuite à Londres, où il invente un système pour percer les pierres pour l'horlogerie, en 1704. Publie un livre: « L'Art de trouer les pierres pour montres ». Membre de la Société royale de Londres. S'associe avec Peter et Thomas Debaufre pour l'exploitation commerciale de son brevet.
FATIO EDOUARD Horloger. Mentionné à Genève en 1874.
FATIO L.-JULES Horloger genevois en 1850.
FATIO-JUNOD JACQUES-ALPHONSE Fabricant d'horlogerie. Réputé pour son calibre bagnolet, dit calibre "Fatio-Junod", d'une épaisseur de 1,5 mm. Mentionné à Genève en 1844.
FATTON J.-L. Horloger. Mentionné à Genève en 1874.
FAUCHERRE JULES Emailleur. Mentionné à Genève en 1861.
FAUCONNET & CIE. Fabricant et marchand d'horlogerie Mentionné à Genève en 1857.
FAUQUEZ FR. Horloger. Mentionné à Genève en 1860.
FAURE (FAVRE) CLAUDE Apprenti horloger chez Etienne Colomb en 1690.
FAURE BALTHAZAR Apprenti horloger chez Pierre Angely en 1683. Reçu habitant de Genève en 1701. Signe une montre à cadran en argent champlevé avec guichet où défilent des personnages peints sur émail.
FAURE BERNARDIN DIT COLLAVIN Maître orfèvre et horloger genevois. Milieu et seconde moitié du XVIIe siècle. Boîtes de montres. Forme Jaques et Pierre Faure en 1661.
FAURE FERDINAND Apprenti lapidaire chez Daniel II Caillate (Caillatte) en 1658 à Genève.
FAURE ISAAC Fils d'Anthoine. Apprenti horloger chez Jean-Baptiste Duboule en 1682. Maître en 1690 à Genève.
FAURE JAQUES Apprenti orfèvre chez Bernardin Faure maître horloger, en 1661 à Genève.
FAURE JEAN Originaire du Dauphiné (France). Monteur de boîtes. Reçu habitant de Genève en 1710.
FAURE LAURENT Maître horloger genevois. Forme Pierre Morin en 1699.
FAURE LÉONARD Horloger genevois. Sa raison sociale figure sur un acte notarié de 1685.
FAURE PIERRE Apprenti horloger chez Isaac Soret en 1700 à Genève.
FAURE PIERRE-156 Apprenti horloger chez Bernardin Faure en 1661.
FAVIER Horloger genevois. Fin du XVIIIe, début du XIXe siècle.
FAVON FRANÇOIS Apprenti horloger chez Jean I Arlaud en 1675 à Genève
FAVRE Horloger. Mentionné à Genève en 1835.
FAVRE & CIE. Successeurs de Favre-Leuba & Co. Fabricants de mouvements de boîtes, cadrans et étuis de montres. Locle (Suisse). La marque « Pamir » est enregistrée en 1891. La marque « The Settler » est enregistrée en 1891. Les comptoirs de la Maison Favre-Leuba & Co. ont été transférés à Genève.
FAVRE & FILS Installateurs. Mentionné à Genève en 1924. Installent les horloges électriques de marque FAVARGER & Cie, raccordées au réseau de la ville de Genève, dont ils sont les uniques concessionnaires depuis 1885. Ils s'occupent également d'installation d'horloges non raccordées au réseau.
FAVRE ABRAHAM Horloger genevois. S'établit à Bâle (Suisse) entre 1708 et 1710. Partenaire de Léonard Bourry Le cadet.
FAVRE ABRAHAM-PHILIPPE Vevey (Suisse). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1744.
FAVRE ALEXIS (Genève 1860-1914). Fabricant et horloger régleur. Mouvements de montres. Marque genevoise enregistrée en 1888. Reçoit le 1er prix au concours de chronométrie de l'Observatoire de Genève en 1881, avec un chronomètre à ancre, spiral plat, ayant obtenu 232 points. En 1882, 1er prix ex aequo. En 1883, ler prix pour un chronomètre présenté par Patek Philippe. En 1887, 2 fois 1er prix, 2 fois 2e prix, 3e prix. En 1888, 2e prix. En 1890, 1er, 2e et 3e prix. Mentionné à Genève en 1860.
FAVRE ANTOINE Maître orfèvre genevois. Fin du XVIe, début du XVIIe siècle.
FAVRE ANTOINE-155 (Genève 1734-1820). Maître horloger.
FAVRE BALTHAZAR Maître horloger. Vit à Genève, puis s'établit à Bâle (Suisse) en 1689, puis à Constantinople (Turquie) vers la fin du XVIIe siècle. Retourne à Genève en 1702.
FAVRE CLAUDE Horloger à Ferney vers 1776.
FAVRE FERDINAND DIT « COLLAVIN » Lapidaire à Meyrin (environs de Genève). Apprenti chez Daniel II Caillate en 1658.
FAVRE FILS Genève, Début du XXe siècle. Montres simples et compliquées.
FAVRE FILS E.A. Horlogers. Mouvements et boîtes de montres. Marque genevoise enregistrée en 1889. Par la suite, la maison n'existe plus à Genève.
FAVRE FRANÇOIS Maître horloger genevois et juré en 1706. Montres-réveil, montres oignon de style hollandais.
FAVRE FRANÇOIS-154 Horloger genevois. De 1800 à 1814.
FAVRE HENRY Maître horloger à Genève. Vers 1660. Forme un grand nombre d'apprentis.
FAVRE ISAAC Apprenti "faiseur" de boîtes et d'étuis chez Jean Meylan en 1679 à Genève.
FAVRE J. A. Faiseur de joyaux à l'usage de l'horlogerie, ainsi que des filons en pierre pour les bijoutiers et les tireurs en galons. Mentionné à Genève en 1831.
FAVRE J.-MARIE Horloger et fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1860.
FAVRE JACOB Maître horloger d'Avully (environs de Genève). Fin du XVIIe, premier tiers du XVIIIe siècle. Reçu habitant de Genève en 1727.
FAVRE JEAN Horloger. Seconde moitié du XVIIe siècle. Maître horloger à Avully (environs de Genève). Comme de nombreux autres paysans, ces campagnards genevois s'adonnent à l'horlogerie durant les mois d'hiver.
FAVRE JEAN-B Peintre sur émail. (Genève 1751-1807). Signe une scène du « Sacrifice de Jacob » sur une montre de Terreaux l'Aîné, et une autre très similaire sur une montre de Dufalga, vers 1775.
FAVRE JEAN-FRANÇOIS Originaire d'Epeisses. Horloger. Reçu habitant de Genève en 1751.
FAVRE JEAN-FRANÇOIS-153 (Genève 4.07.1751-1807). Peintre sur émail. Elève chez Marc Theodor Bourrit. Etudie le dessin avec J. Saint-Ours. Forme à ses frais Elisabeth Terroux. S'installe à Paris en 1775, où il s'associe avec Thouron. Signe: "F. Favre", "Favre", "Favre pinxt", "FAVRE pinxit".
FAVRE JEAN-JACQUES Originaire de Montreux, bailliage de Vevey (Suisse). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1771.
FAVRE JN. Horloger genevois. Première moitié du XVIIe siècle. Sa raison sociale figure sur un acte notarié de 1627.
FAVRE JOSEPH-EMILE Horloger. Mentionné à Genève en 1860.
FAVRE JUBAULT A. Horlogers. Mentionné à Genève en 1874.
FAVRE JULES Seconde moitié du XIXe siècle à Genève. Montres compliquées et de très bonne qualité. Exporte principalement aux Etats-Unis.
FAVRE LAURENT Originaire du Pays de Gex, Ain (France). Maître horloger. Reçu habitant de Genève en 1701.
FAVRE MARIUS & CIE. Fabricants de chronomètres, reçoit les ler, 2e et 4e prix en 1899 au Concours de Réglage; 5 premiers prix et 7 deuxièmes prix en 1900. Montres, chronomètres, articles d'horlogerie. Marque genevoise enregistrée en 1897.
FAVRE MARIUS FILS Fabricant d'horlogerie de haute précision et important régleur de chronomètres. Obtient, en 1884, le 1er prix à l'Observatoire de Genève; en 1885, le 2e prix pour A. Golay-Lereche & Fils, le 2e prix pour Henri Hoffer et le 3e prix pour Alexis Favre; en 1889, le 3e prix pour Genève-non-Magnetic Watch. Obtient, en 1893, sur 18 chronomètres, 18 bulletins de marche et 17 prix au concours de chronométrie de l'Observatoire de Genève et le ler prix en 1900. Fabrique aussi des montres à répétition minutes et des montres avec boîtes en or et émail champlevé, Art Nouveau et Art Déco. Dépose, le 16.1.1895, un brevet pour un nouveau balancier compensateur pour montres et chronomètres. La maison devient Fam Marius & Cie en 1897. "S.G.H.P." Marque genevoise enregistrée le 1.5.1909. Certificat de lre classe de l'Observatoire de Genève pour un chronomètre avec chronographe en 1891. Mentionné à Genève en 1907.
FAVRE MICHEL Marchand et maître orfèvre. Première moitié du XVIIe siècle. Boîtes de montres.
FAVRE R. Horloger et marchand. Mentionné à Genève vers 1909.
FAVRE THÉODORE Horloger genevois. 1750-1770.
FAVRE-152 « Etablisseur d'horlogerie ». Mentionné à Genève en 1840.
FAVRE-BAUDIT Marchand de fournitures d'horlogerie. Mentionné à Genève dès 1828.
FAVRE-BULLE Emailleur de cadrans de pendules au Locle. Mentionné en 1755.
FAVRE-BULLE FRÉDÉRIC-LOUIS Né à La Sagne en 1770, décédé en 1849. Un des plus remarquables parmi les horlogers neuchâtelois. Construit, entre autres, une balance ultra-sensible pour peser les spiraux sphériques, ainsi que, en 1846, le régulateur public de l'Hôtel de Ville du Locle.
FAVRE-GIRARDIN Horloger. Mentionné à Genève en En 1874.
FAVRE-LEUBA & CO Fabricants. Le Locle (Suisse). Fonds de boîtes, mouvements et écrins de montres. Cette marque est enregistrée en 1882, ainsi que « John Barrel », « Bombay & Calcutta fils L. » et « Registered » « Fidelis » en 1885, « Swiss National Watch » en 1888 « Marvel » en 1888 et "Britannia" en 1889. Les comptoirs de la maison sont transférés à Genève. La marque "Swiss Indian Watch" est enregistrée en 1899 "AJIB" enregistrée en 1902.
FAVRE-MULLER Horloger pendulier à Neuchâtel en 1805.
FAVRE-ROCHAT A. Horloger régleur genevois. Travaille pour fils Piguet et Bachmann. Reçoit une mention honorable au concours de chronométrie en 1887, le 2e prix en 1889, et une mention honorable en 1896.
FAVRE-SALOMON ANTOINE Horloger. (Genève 1734-1824). En 1796, il présente à la Société des Arts son idée de remplacer les marteaux d'un carillon miniature, par des lames d'acier mises en vibration par les picots d'un barillet à ressort ou d'un cylindre. Son objet de démonstration a la forme d'une tabatière et joue deux airs. La potentialité de cette invention apparaît immédiatement aux sociétaires et elle est commercialisée en 1802.
FAYZAND ANDRÉ Apprenti lapidaire chez Jaques Pacquet de 1666 à 1668 à Genève.
FAZY ET CHENEVIERE Montres à boîtes en or et émail. Début du XIXe siècle à Genève.
FAZY FRÈRES Fabricants d'horlogerie genevois. 1797.
FAZY J. & FILS Horlogers genevois. Fin du XVIIIe, début du XIXe siècle.
FAZY JEAN Horloger né à Genève en 1734, mort à Moscou en 1811.
FAZY JEAN-SALOMON (Genève 1737-1794). Fils de Salomon. Maître et marchand horloger. S'associe avec Terrot et avec Jean-Pierre Achard en 1767. Fabricant de montres à double boîte en or et laiton, décorées d'émail et de pierres. Les mouvements sont classiques, avec fusée et échappement à verge. Utilise les mêmes types d'ébauches pendant plusieurs décennies.
FAZY MARC-CONRAD Né en 1740 à Genève. Horloger. Travaille à Paris, où il est élève de fils Berthoud, à Stockholm, à Moscou, à Saint-Petersbourg et de nouveau à Moscou où ils montent une fabrique d'horlogerie et de bijouterie, commanditée par Catherine II. Un des fils de Marc-Conrad, Théodore-Michel, né en 1773, fut joailler des Tsars. Puis, de 1760 à 1795, il devient horloger à la cour de Catherine II. Fonde à Moscou une manufacture d'horlogerie, qui ne durera que peu d'années. Chronomètre de marine à un jour à échappement à détente pivotée.
FAZY-DUFOUR « Etablisseur » d'horlogerie Mentionné à Genève en 1830.
FB GENÈVE Marque genevoise enregistrée. Poinçon trouvé sur plusieurs mouvements à échappements à cylindre. Vers 1850.
FE JAQUES ANTOINE Horloger genevois. Se rend à Paris en 1767.
FE PIERRE Peintre sur émail genevois. S'associe avec Hubert Roux et fils en 1762.
FEARLESS Marque genevoise enregistrée.
FEER ANDRÉ Apprenti émailleur chez Dufour et Lechet en 1801 à Genève.
FEHR JEAN-ANTOINE Horloger genevois 1770-1790.
FELICE CHARLES Apprenti orfèvre chez François Dominicé en 1690 à Genève.
FELISA JEAN Horloger genevois. Seconde moitié du XVIIIe siècle.
FELISA LUIS SIMON Horloger genevois. Seconde moitié du XVIIIe siècle.
FELLER BERNARD « Fellow Watch ». Fabricant genevois, vers 1948.
FELLER CHARLES-ALBERT Peintre sur émail. Mentionné à Genève en 1857.
FENDRE AL. Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1874.
FERDERER A. Horloger. Mentionné à Genève en 1874.
FERET PIERRE Maître bijoutier et horloger genevois Sa raison sociale figure sur un acte notarié de 1627.
FERLET JEAN Meyrin (Environs de Genève). Maître horloger. Vers 1766.
FERLITTE FRANÇOIS Horloger genevois. Milieu et seconde moitié du XVIIIe siècle.
FERLITTE GAUTIER Horloger, est reçu gratuitement à la bourgeoisie en 1599. C'est aussi, comme Cusin, une étrange figure que ce Gautier Ferlitte: il devait tour à tour, dans la cité, être loué et honni. Après s'être vu conférer la bourgeoisie d'honneur, il est appelé, deux ans plus tard, en 1601, lors de la création de la maîtrise des horlogers, au poste de confiance de juré de la jeune corporation. Or, ce même homme que Genève par deux fois avait honoré, est accusé en 1614, alors que la hantise de l'espionnage, suite de l'Escalade, obsède encore les esprits, de donner asile à un individu qui se disait compagnon horloger, mais qui n'aurait été en fait, qu'un espion à la solde de la Savoie. Ferlitte réussit à se disculper.nEn 1599, les syndics avaient commandé à Gautier Ferlitte une montre, qu'il avait fait payer quatre-vingts écus, destinée au ministre de Henri IV, Sully. Celui-ci refusa le cadeau prétendant que les horlogers parisiens assuraient qu'elle ne valait que vingt à trente écus. La Seigneurerie voulut lui faire reprendre sa montre, en exigeant la restitution de la somme qu'il avait reçue. Des discussions sans fin durèrent jusqu'en 1616, où Ferlitte reprit possession de sa montre, ne rendant que cinquante écus.nII fut ensuite accusé d'un autre méfait "pour s'être promené la teste couverte dans le temple de Saint-Pierre... lorsqu'on administrait la Sainte-Cène". Mais en 1621, Ferlitte est appelé au poste de lieutenant d'enseigne dans une des compagnies de la ville, et est élu en 1633 à la charge enviée de conseiller au Magnifique Conseil des Deux Cents.
FERLITTE JEAN Maître horloger genevois. Milieu et seconde moitié du XVIIe siècle.
FERLITTE PIERRE Horloger genevois. Fin du XVIe, début du XVIIe siècle.
FERLITTE PIERRE-151 Maître horloger genevois. Forme François Thomeguex de 1691 à 1695.
FERNET FRANÇOIS Né à Londres (Angleterre). Graveur de coqs. Reçu habitant de Genève en 1787.
FERONCE DANIEL Originaire de Grenoble (France). Orfèvre. Reçu habitant de Genève en 1710.
FERRAND Horloger. Mentionné à Genève en 1874.
FERRAND FILS Emailleur. Mentionné à Genève en 1851.
FERRAND M. Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1860.
FERRERO J. « Faiseur » de boîtes. Graveur, joaillier, décorateur de boîtes d'or. Peinture sur émail. Maison fondée en 1854 à Genève. Obtient la plus haute récompense à l'Exposition universelle de Chicago de 1893. Médaille d'or à l'Exposition nationale de Genève en 1896. Membre du jury à l'Exposition universelle de Paris en 1900. Emaux en tous genres, ciselure, chiffres, armoiries, portraits. Cadrans fantaisies or et en argent. Se spécialise dans les boîtes de montres très décorées et enrichies de pierres précieuses et d'émail destinées à l'Inde et la Chine. On trouve souvent, sur ces boîtes, le portrait peint sur émail du client de la montre. Travaille souvent avec le peintre sur émail J. Graff: Signe deux boîtes de montres peintes par J. Graff, vers 1900, l'une pour le Maharaja Orchha et l'autre pour le Nizam de Hyderabad, Mir Mehoob Ali Khan. Mentionnée En 1924.
FERRIER & FILS Emailleurs, fabricants d'émaux et de couleurs pour peintres sur émail. Mentionné à Genève en 1835.
FERRIER ABRAHAM Maître horloger genevois. 1770-1778. Montres en or avec émail et appliques en or trois couleurs; montres à répétition, montres-calendriers.
FERRIER J. Courtier d'horlogerie genevois. Mentionné à Genève. Moitié du XIXe siècle.
FERRIER PIERRE Originaire du Dauphiné (France). Emailleur. Reçu habitant de Genève en 1762.
FERRIER. Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1830.
FERRIERE CLAUDE Originaire du Dauphiné (France). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1741.
FERRIERE FRANÇOIS (Genève 1752. Morges 1839 (Suisse)). Peintre sur émail. Travaille pour la Maison Jaquet-Droz vers 1792. Spécialisé dans la décoration de boîtes de montres et de tabatières. Se rend en Angleterre en 1793. Expose à la Royal Academy de 1795 à 1804. Puis va en Russie et est nommé membre de l'Académie de Saint-Pétersbourg en 1813. Retourne en Angleterre où il expose de 1817 à 1822. Puis s'installe définitivement à Genève.
FERROT Horloger. Début du XIXe siècle.
FÉTICHE Marque genevoise enregistrée.
FEUNE JOSEPH Dit « La Ficelle », à Delémont, cumulait les fonctions de receveur de l'enregistrement avec son métier d'horloger.
FÉVRIER Genève. Horloger. Vers 1765.
FEVRIER CHARLES originaire de Neuchâtel-Ville où il est né en 1873. Il fit un apprentissage d'horloger chez un maître renommé, Emile Jacot. En 1894, après un examen très serré, il obtenait son diplôme d'horloger avec la mention « très bien ». Appelé à l'Ecole d'horlogerie de Porrentruy en 1902 comme maître d'échappement, il y fit une brillante carrière jusqu'en 1935, année de la disparition de cet établissement. Ch. Février est un horloger de race, qui s'est spécialisé dans la réparation de pendules et de montres compliquées. Il fut l'horloger de confiance du roi de Grèc.
FEYRAND (FAYSAND) SAMUEL Apprenti graveur chez Pierre Delacorbière de 1666 à 1668.
FIAUX ABRAHAM-SAMUEL Oroginaire de Moudon (Suisse). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1757.
FICHET JEAN Apprenti horloger chez Martin Duboule en 1620, chez Jean Duval en 1622 et chez Abraham Dechoudens en 1623.
FIDELIS Marque genevoise enregistrée.
FIDES Marque genevoise enregistrée.
FIDES GENEVE Marque genevoise enregistrée.
FIEBIGER (TIEBIGER) EMILE Fabricant. Mouvements et boîtes de montres. Marque "Fsdes" enregistrée en 1889, "EF" en 1891. La raison sociale change: A. Hüning, fabricant à Genève.
FIEVRE JEAN Apprenti orfèvre chez G. III Cusin en 1644 à Genève.
FIGUIERE FRANÇOIS Originaire des Cévennes (France). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1778.
FIGUIERE J.-FRANÇOIS Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1857.
FIGUIERE MADELEINE Polisseuse de verges de montres. Exposition de Genève en 1828.
FIGUIERS PIERRE Maître monteur de boîtes genevois. Cette raison sociale figure sur un acte notarié de 1765.
FILLIETAZ & RITTER Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1861.
FILLION (FILLON) BARTHÉLÉMY(IE) Originaire des environs de Genève. Reçu habitant de Genève en 1767. Horloger. Travaille encore en 1791.
FILLION (FILLON) THÉOPHILE Horloger originaires des environs de Genève. Reçu habitant de Genève en 1744.
FILLION E. Monteur de boîtes. Mentionné à Genève en 1844.
FILLIOZ A. Faiseur de boîtes de montres pour Vacheron & Constantin. Première moitié du XIXe siècle à Genève.
FINE ANTOINE Graveur. S'établit à Neuchâtel (Suisse), après avoir vécu quelque temps à Genève, vers 1711.
FIRSTENFELDER HENRI DIT HILAIRE Horloger. Mentionné à Genève en 1861.
FIRSTENFELDER TH. Horloger. Mentionné à Genève en 1874.
FISCHER ANDRÉ Apprenti horloger chez François Arlaud en 1700 à Genève.
FISCHER FILS Horloger. Mentionné à Genève en 1874.
FISCHER JEAN-FRIEDRICH Originaire de Strasbourg (France). Ouvrier horloger. Reçu habitant de Genève en 1702.
FISCHER JEAN-NICOLAS Originaire de Francfort-sur-le-Main (Allemagne). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1775.
FISCHER VICTOR Horloger. Mentionné à Genève en 1860.
FLACTION ET GUERCHET Fabricants d'horlogerie. Fabricants de montres Lépine en 1844 à Genève.
FLAISSIERE FRANÇOIS Originaire des Cévennes (France). Bijoutier. Reçu habitant de Genève en 1769.
FLAMAND Horloger. S'établit au Locle (Suisse) vers le milieu du XVIIle siècle.
FLAMAND VICTOIRE (MME) Peintre sur émail. Mentionné à Genève en 1860.
FLAMMGER CHARLES Horloger. Mentionné à Genève en 1861.
FLANT JEHAN
FLEISCHMANN CH.-ERN. & CO. Horloger. Mentionné à Genève au milieu du XIXe siècle.
FLESSIÈRES (FLESCHIÈRES) ET DUPIAT (DUPIAZ) Ils fondent à Genève, en 1794, une entreprise destinée à la fabrication mécanique des mouvements bruts. Ils reçoivent une avance de l'Etat sous prétexte de faire des ébauches, et sous le couvert de cette fabrication, s'adonnent, au mépris des ordonnances corporatives, au finissage en fabrique, « méthode qui a de graves inconvénients ». On menace les deux entrepreneurs de retirer les capitaux qu'on leur a prêtés. Flessières et Dupiat s'engagent alors, en décembre 1794, à fournir 150 mouvements bruts par mois. Un peu plus tard, ils promettent de livrer aux horlogers de la place 1200 ébauches en six mois, mais à condition qu'on leur laisse parachever les montres qu'ils ont en ouvrage et qu'ils veulent vendre terminées. En février 1795, sur une sommation du Département des Arts, sont forcés de convenir que, sur 1150 mouvements par eux fabriqués, ils n'en ont vendu que 206 bruts; les autres ont été finis dans leurs propres ateliers, par leurs ouvriers. Vu la grande entorse donnée à l'ordonnance sur les horlogers, le scandale est évident. Lors de sa séance du 19 février 1795, le Département décide d'exiger de Flessières et Dupiat la restitution des avances qui leur ont été faites. à la fin de l'année, les deux fabricants décident de transporter leur industrie hors de Genève. Le 10 novembre 1795, on apprend qu'ils vont s'établir à Versailles.
FLEUREZ DENIS JEAN Horloger genevois de 1760 à 1787.
FLEURY Horloger marchand genevois. Second tiers du XIXe siècle. Fabrique aussi pour la Chine de petites montres avec fusées, avec boîtes en laiton, or, perles et émail.
FLORISSANT Marque genevoise enregistrée.
FLOTRON Plusieurs membres de cette famille qui a joué un rôle en vue à Saint-Imier, ont été horlogers au XVIII siècle.
FLOURNEY JEAN Maître horloger genevois. 1784-1800.
FLOURNOIS Apprenti orfèvre chez Etienne Chouan en 1680 à Genève.
FLOURNOIS HENRY (Genève 1665-1733). Apprenti horloger chez Jaques Cartier en 1680.
FLOURNOIS JEAN Apprenti horloger chez Nicolas Gando en 1688 à Genève.
FLOURNOY GÉDÉON Horloger genevois. Vers 1800.
FLOURNOY JEAN Apprenti horloger en 1691 à Genève.
FLOURNOY JEAN-148 (Genève 1727-1811). Fils de Gédéon. Maître et marchand horloger. S'associe avec Amy Bry et Jaques Coulin de 1782 à 1799.
FLOZ JACOB-ANDRÉ (Genève 1798-1847). Horloger.
FOBIER (FOBIS) PIERRE (DE) Reçu habitant en 1559. Il pourrait bien s'agir du fameux Pierre de Fobis dit "Pierre orlogier" né en Languedoc (France) en 1507. Déménage à Genève en 1569. Spécialisé en petites horloges de table et portatives.
FOEGELI DAVID Horloger. Mentionné à Genève en 1860.
FOEX & FERNAND OU FERRAND Fabricant et marchand d'horlogerie Mentionné à Genève en 1857.
FOEX FRANÇOIS Maître orfèvre genevois. Seconde moitié du XVIIe siècle. Boîtes de montres. Forme Jaques Foex en 1663.
FOEX GEORGES Maître orfèvre genevois. Apprenti chez Claude Rivard en 1630. Boîtes de montres.
FOEX JAQUES Apprenti orfèvre chez François Foex en 1663 à Genève.
FOIGNY (DE) BENJAMIN Apprenti horloger chez Nicolas Gando en 1682 à Genève.
FOL ANTOINE Originaire du Pays de Gex, Ain (France). Horloger. Forme Jacob Miroglio en 1690. Reçu habitant de Genève en 1707.
FOL DE FEIGERE ANTOINE Maître horloger dans les environs de Genève. Forme Jacob Miroglio en 1690.
FOL FRANÇOIS Maître horloger. Genève et Saint-Gervais (France). Fin du XVIIe, début du XVIIIe siècle.
FOL JEAN-FRANÇOIS Originaire du Pays de Gex (France). Maître horloger, fin du XVIIe siècle, début du XVIIIe siècle. Premier d'une dynastie d'horlogers qu'on trouve jusqu'en 1840, tous s'appellent Jean-François Fol, de père en fils. On trouve des montres de J.-F. Fol de différents styles, soit à l'anglaise, avec un coq à un pied, soit à la française, genre oignon, à remontoir par le centre. Il fait aussi des montres réveil de très bonne qualité, ses oeuvres sont très soignées. Une pièce du genre oignon de cet horloger, est munie d'un ressort réglant rectiligne très rare, imaginé par Martinot de Paris, mais avec un réglage de l'elasticité par système coulissant. Reçus habitant de Genève en 1701.
FOLTER (AFFOLTER) JEAN-RODOLPHE Originaire du Seeland, paraît presque toujours sous le nom francisé de Folter. Maître-horloger au Locle en 1751.
FOLZ JACOB-ANDRÉ Horloger-mécanicien. Mentionné à Genève en 1798
FONNEREAU ZACHARIE Originaire de Genève. Appelé à Lyon (France) en 1618. Compagnon en 1622. Se rend à La Rochelle (France) où il est reçu maître en 1641, et meurt peu après. Signe une montre en forme de croix: « Fonnerau à La Rochelle ».
FONTAINE « Etablisseur » d'horlogerie à partir de 1828, en 1835, emboîteur. à Genève 1840.
FONTAINE ABRAHAM Horloger. (Genève 1721-1768).
FONTAINE ETIENNE Horloger. Seconde moitié du XVIIIe siècle à Genève.
FONTAINE GABRIEL Né en 1696 à Genève. Peintre sur émail. Elève de Jean V Mussard .
FONTAINE JACQUES-FRANÇOIS Horloger genevois. 1760-1791.
FONTAINE JEAN Peintre sur émail et orfèvre. Apprenti puis ensuite associé avec Thomas Fontaine et Jacob Gresset, en 1695 à Genève.
FONTAINE JEAN-147 Né en 1747 à Genève. Graveur et horloger. Forme Jean-André Mally en 1771.
FONTAINE PAUL-SALOMON Natif de Genève. Monteur de boîtes. Né à Londres (Angleterre). Reçu habitant de Genève en 1758.
FONTAINE SAMUEL Apprenti "faiseur" de boîtes et d'étuis chez Michel Molliet en 1678.
FONTAINE THOMAS (Genève 1659). Peintre sur émail et orfèvre. Reçu maître orfèvre le 20 décembre 1680. S'associe avec Jacob Gresset en 1691 et sont appelés "Maîtres en orfèvrerie et peinture". Jean Fontaine, son ancien élève, devient également son associé en 1695. Forme Jean Cuchet et Jacques-Antoine Arlaud en 1685.
FONTANIER (FONTANEER) ETIENNE Originaire du Languedoc (France). « Faiseur » de chaînettes de montres. Reçu habitant de Genève en 1753.
FOREJTAR & MARGUERAT Mentionné à Genève en 1920. Fabrication et commerce d'articles d'horlogerie. "FORGERA" Marque genevoise enregistrée en 1917.
FORESTIER & CIE Orfèvres. Mentionné à Genève en 1924.
FORESTIER CASIMIR Horloger. Mentionné à Genève en 1860.
FORESTIER JOSEPH Horloger. Mentionné à Genève vers 1800.
FORFET DE CHATEDRANT ABRAHAM Maître horloger genevois. Vers la seconde moitié du XVIIe siècle.
FORGERA Marque genevoise enregistrée.
FORNERET CH. Horloger. Mentionné à Genève en 1874.
FORNET JACQUES Apprenti orfèvre chez André Binet en 1670 à Genève.
FORNET JAQUES Apprenti horloger chez César Servet en 1683 à Genève.
FORNET JEAN Horloger genevois. De 1500 à 1560.
FORNET PAUL Horloger finisseur genevois. Première et seconde moitié du XVIIIe siècle. S'établit à Tramelan en 1751.
FOUCHET Horloger genevois. Vers 1800.
FOUGERON ETIENNE Originaire de France. Horloger. Reçu habitant de Genève en 1763.
FOULLE ROBERT Originaire de Paris (France). Monteur de boîtes. Reçu habitant de Genève en 1755.
FOULQUIER DANIEL-FRÉDÉRIC (Genève 1755-1828). Horloger.
FOULQUIER JEAN-ETIENNE Né à Genève. Horloger. Reçu habitant de Genève en 1783.
FOULQUIER JEAN-FRANÇOIS Faiseur de ressorts de montres genevois. Seconde moitié du XVIIIe siècle.
FOULQUIER MARC-ANTOINE Horloger genevois. Fin du XVIIIe siècle.
FOULQUIER PIERRE-ETIENNE Né à Genève. Monteur de boîtes. Reçu habitant de Genève en 1783.
FOURCA JEAN Originaire de Paris, repousseur, établi à La Chaux-de-Fonds en 1784. Son fils a été mis en apprentissage à Genève chez l'émailleur Pierre Pensier
FOURCY Emailleurs de cadrans et cadrantiste. Mentionné à Genève en 1835. Cadrans en métal guilloché et en émail. Présent à l'Exposition de Genève en 1828.
FOURCY CHRISTINET Fournisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1860.
FOURCY NICOLAS Parisien, établi à La Chaux-de-Fonds. En relations de métier le 25 avril 1767 avec Daniel Jacot, fabricant de cabinets artistiques à La Chaux-de-Fonds, qui lui a remis une assignation contre un orfèvre à Paris.
FOURNEREAU ZACHARIE Maître horloger. Reçu Habitant de Genève vers 1689.
FOURNIER Horloger. Mentionné à Genève en 1835.
FOURNIER & FILS Fabricant et marchand d'horlogerie Mentionné à Genève en 1857.
FOURNIER I. Q. Horloger. Bernex (District de Genève). Signe une montre à heures digitales et vagabondes. Vers 1880.
FOURNIER JAQUES Apprenti orfèvre chez François Dominicé en 1697 à Genève.
FOURNIER JEAN-LOUIS Originaire de Rolle (Suisse). Compagnon horloger. Reçu habitant de Genève en 1762.
FOURNIER NELLY Emailleuse. Spécialisée en émail cloisonné et émail translucide. Première moitié du XXe siècle à Genève.
FOURNIER THOMAS Maître orfèvre. Première moitié du XVIIe siècle.
FOURYOD PIERRE Maître horloger genevois. Apprenti chez Etienne Perachon en 1639.
FOX GEORGES Fabricant d'articles d'horlogerie. La marque "DACIA" est enregistrée en 1904.
FOX GEORGES & CO Fabricants d'articles d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1907. Les marques « CITO », « CLEO », « MUD » et « SOLON » sont enregistrées en 1904.
FRAINET Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828
FRAINET FRANÇOIS-SALOMON Originaire de Commugny, Nyon (Suisse). Emailleur. Reçu habitant de Genève en 1761.
FRAINET JEAN-DAVID (Genève 1752-1788). Fils de Jacques, Français. Peintre sur émail. Elève de fils J. Malignon. S'associe avec J.-F. Soiron et E. Fregent vers 1774. Spécialisé dans la décoration de boîtes de montres et tabatières. Reçu habitant de Genève en 1776.
FRAISSINET JOSEPH Né à Carouge (environs de Genève). Fils d'Antoine. Le Vigan, Languedoc (France). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1769.
FRANCILLON ERNEST D'origine vaudoise, cet horloger de mérite, doublé d'un industriel remarquable, est né à Lausanne le 10 juillet 1834. I1 était destiné à la carrière commerciale et il fit ses premières études sur les rives du Léman, puis dans un institut privé. Il se rendit ensuite en Allemagne. De retour au pays, il entra dans l'atelier fondé par son oncle Agassiz en 1832 et, afin de s'initier convenablement à l'horlogerie, il travailla pendant quelques années dans une famille de Môtiers. Il occupait ses loisirs à la lecture d'ouvrages traitant surtout de matières relatives à ses occupations.nErnest Francillon, son stage achevé, reprit sa place dans l'atelier de son oncle et travailla de son mieux. Mais une idée germa bientôt dans son cerveau : transformer l'horlogerie en une industrie où la machine remplacerait le travail manuel jamais parfaitement régulier. L'entreprise était hasardeuse et, dans son entourage, on se montrait sceptique. Enfin, en 1866, après avoir vaincu toutes les difficultés, la fabrique Longines fut ouverte, bien modestement, avec une vingtaine d'ouvriers.nC'était l'aube d'une carrière extrêmement active et féconde. Très dévoué à l'entreprise qu'il venait de créer de toutes pièces, il s'y consacra jusqu'à son décès, survenu le 3 avril 1900. La fabrique Longines, aujourd'hui marque mondiale, porta au loin ses montres d'un fini irréprochable, d'un art consommé, d'une bienfacture à toute épreuve. I1 fallut, à plusieurs reprises, agrandir les locaux devenus trop petits pour satisfaire une clientèle toujours plus étendue.nE. Francillon s'intéressa toujours au développement de Saint-Imier et du Jura tout entier, devenu sa patrie d'adoption. Il fut nommé, entre autres, conseiller national et s'occupa activement, avec P. Jolissaint et E. Marti, du développement des chemins de fer jurassiens. Ce fut un homme de coeur en même temps qu'un industriel avisé.
FRANCILLON JOSEPH « Faiseur » de boîtes à Genève. Sa raison sociale figure sur un acte notarié de 1688.
FRANÇOIS ANTHOINE-PIERRE Maître horloger. Seconde moitié du XVIIIe siècle. Originaire de Haute-Savoie (France).
FRANÇOIS ETIENNE Fils de Jean-François. Originaire de Châtillon-sur-Loire (France). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1755.
FRANÇOIS MARC-AUGUSTE-JULES Horloger genevois. De 1770 à 1791.
FRANÇOIS MAURIS Horloger genevois. Seconde moitié du XVIIIe siècle.
FRANÇOIS PIERRE Associé avec Gabriel Bellot, N. Chalon et Isaac Marcinhes de 1777 à 1783 à Genève.
FRANGER Pièces à musique. Mentionné à Genève en 1835.
FRANKFELD Manufacture de montres-bracelets à Genève. Art Déco. Mouvements avec trous empierrés pour le barillet.
FRANKFELD A. Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève pendant la deuxième partie du XIXe siècle. Spécialisé en montres avec affichage numérique à huit jours de réserve de marche. En 1874. Il crée une montre-pendentif en forme de coquillage, avec châtelaine, clé en or, nécessaire de couture et sceau. Vers 1860. Dépose un brevet pour un nouveau mécanisme de secondes mortes indépendantes pour montres, en 1899.
FRANKFELD FRERES Fabrication de mouvements et boîtes de montres. « MAYFLOWER WATCH » Marque genevoise enregistrée en 1918 « Rhône » enregistrée en 1919. Mentionné à Genève en 1920.
FRANKFELD L. & CIE Horlogers genevois. 1880-1940.
FRANKFORT En 1770, ouvrier de Gédéon Langin, faiseur de ressorts de pendules à La Chaux-de-Fonds.
FRARIN PHILIBERT Horloger genevois. Vers 1748.
FRARY JACQUES-LOUIS Horloger. Reçu habitant de Genève en 1791. Mentionné à Genève dès 1828.
FRAY & HOFER Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1862.
FRAY J. Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1866.
FREDERICH C. Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève dès 1828.
FREGENT ETIENNE Peintre sur émail genevois. S'associe avec Jean-François Soiron et Jean-David Frainet vers 1774. Seconde moitié du XVIIIe siècle.
FREGEVISE JEAN-FRANÇOIS Originaire de Berlin (Allemagne). Bijoutier. Reçu habitant de Genève en 1769.
FREGEVIZE (FREGEVISE) JEAN-PIERRE Originaire de Onex (environs de Genève). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1772.
FRELET JEAN Maître horloger à Meyrin (environs de Genève). Vers 1766.
FREMIN (FREMYN) JACQUES Horloger genevois. Apprenti chez julien Defino en 1600.
FREMIN ABEL Maître horloger genevois. Sa raison sociale figure sur un acte notarié de 1637. Forme Abraham Pattey en 1640. Fabrique des montres très soignées avec boîtier en or, émail et pierres précieuses. Boîtes montées par François Desmarets, maître orfèvre.
FREMIN PIERRE Maître "faiseur" de ressorts de montres genevois. Sa raison sociale figure sur un acte notarié de 1657. Forme Abraham Joly en 1657.
FREMY ROD. Horloger. Mentionné à Genève en 1874.
FRESARD DU VILLERET Habile pendulier et faiseur d'automates. L'un des collaborateurs de Pierre Jaguet-Droz qu'il avait suivi à Bienne avant 1790.
FREUNDLER Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1831.
FREUNDLER C.-B. & CIE Horlogers genevois. Première moitié du XIXe siècle. Montres de dame en or et émail, mouvements à ponts, échappements à cylindre.
FREY LOUIS Atelier d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1866.
FREYMANN J. Fabrique une montre à étalonnage à quartz en 1947, avec Challende et Epitaux, à l'Observatoire de Genève.
FRIDERICH CH. Horloger genevois. Vers 1820. Montres à répétitions à quarts, type Breguet, destinées au marché turc.
FRIEDRICHS CHARLES-AUGUSTE Né en 1813, décéde en 1896. Établi à Fleurier, présente un régulateur au concours de l'Observatoire de Neuchâtel (1858-1860) et reçoit un accessit à titre d'encouragement.
FRION Aiguilles de montres. Mentionné à Genève en 1835.
FRION (J. FILS ) Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828
FRION VICTOR Horloger Mentionné à Genève en 1874.
FRISARD (FRESARD) JACOB Né à Villeret en 1753, meurt entre Constantinople (Turquie) et Genève, lors d'un voyage, en 1812. Horloger mécanicien. Genève, Bienne (Suisse), Londres (Angleterre), Constantinople (Turquie). Devient le collaborateur de Jaquet-Droz & Leschot à Genève, puis travaille en collaboration avec Henry Maillardet, à Londres. Construit des montres à automates et musique, à oiseau chanteur, cages, boîtes tabatières à musique sur cloches. Les boîtes de ses montres sont construites pour les plus grands orfèvres genevois, comme Pery, Plagne, Orvin et d'autres; ses oeuvres sont souvent décorées par des peintres sur émail comme les Frères Archeveque, Dupont, Gautier J.R. et autres. Spécialisé dans la construction de cannes à oiseau chanteur, à sifflet modulé. Fabrique pour les marchés anglais, français, turc, indien, chinois, italien et espagnol. Organise une exposition de ses oeuvres en 1809 à Zurich. Signe une montre de carrosse: "Jac. Frisard à Carouge" (Suisse), vers 1790.
FRISARD JACOB (1553 à 1612). Horloger genevois.
FRISARD JACOB OU FRESARD JACQUES C'est certainement le plus fameux des horlogers jurassiens, un émule ou plutôt un collaborateur des célèbres Jaquet-Droz, fabricants d'automates de La Chaux-de-Fonds.nSon frère aîné, François-Louis, fit un apprentissage d'horlogerie à La Chaux-de Fonds dès 1761. De retour à la maison, il fonda, avec ses frères Jean-Henri et Jacob, ainsi que ses trois soeurs Marie-Madeleine, Elisabeth et Marianne, un atelier d'horlogerie. Ils ne terminaient pas la montre et ils se spécialisèrent dans la fabrication des < blancs ".nMais quelque temps après, Jacob abandonna l'horlogerie pour se vouer exclusivement à la mécanique, en particulier à la fabrication des automates, donnant ainsi libre cours à une inclination innée pour ce genre de travaux. Des actes de naissance de ses enfants, il résulte qu'il séjourna à Turin en 1780-81, en même temps que le fabricant d'automates neuchâtelois Henry Mairet dont il semble avoir été le collaborateur et l'émule. Rentré au pays, il devint l'élève et encore le collaborateur des Jaquet Droz à La Chaux-de-Fonds, puis de 1786 à 1791 à Genève. Il se rendit à Paris et à Londres, après la mort des deux Jaquet-Droz, père et fils, survenue en 1790 et 1791. En 1793, Frisard s'établit à Bienne.nIl consacra vingt années de sa vie à ses travaux fort ingénieux dont certains étaient destinés à l'empereur de Chine et à d'autres princes d'Asie et d'Europe.nOn a vu aussi que Frisard était à Zurich en 1809 et qu'il organisa, dans cette ville, une exposition de ses oeuvres dont le prospectus, quoique en langue allemande, donne une idée exacte. Comment s'expliquer qu'un homme de talent comme lui, se soit mis à courir le pays pour faire des exhibitions d'automates devant les foules naïves et admiratives ? à défaut d'indications précises, on peut supposer qu'atteint par l'âge et dans l'impossibilité de travailler encore -- il dépassait alors la cinquantaine - il se soit vu dans la nécessité d'organiser une tournée en Europe, afin de faire admirer les jolis automates qui attirent toujours le peuple, avide de spectacle de ce genre.nIl est décédé dans les provinces danubiennes, au cours d'un voyage à Constantinople en 1812.
FRISARD JACQUES-THÉOPHILE Originaire de Villeret, apprenti, puis ouvrier monteur de boîtes or et argent à Renan (Suisse), vers, 1770 et, plus tard encore, à Villeret où il fut « établisseur » ou fabricant d'horlogerie. Entre 1775 et 1780, il y eut, dans ce village, une maison Frisard et Bourquin formée de Bénédict Frisard et de David Bourquin. Un frère des Frisard faisait le commerce d'horlogerie à Paris.
FRITZ MARTIN Horloger. Travaille à Genève entre 1780 et 1800.
FROIDEVAUX FRANÇOIS-JOSEPH originaire de la Montagne des Bois. Il fit son apprentissage entre 1770 et 1774 chez Daniel Ducommun-dit-Boudry à La Chaux-de-Fonds dont il reçut une lettre d'apprentissage en 1774. I1 fit des pendules dont on connaît un spécimen dans une collection particulière à Berne et une autre à Porrentruy. Il est signalé à Berne de 1801 à 1812.
FROISSARD Genève. Horloger. Vers 1800.
FROLL ABRAHAM Horloger genevois. Seconde moitié du XVIIIe siècle.
FROLL ANDRÉ Horloger genevois. Seconde moitié du XVIIIe siècle.
FROMANTEEL AHASUERUS (XVIIe siècle) Célèbre horloger d'origine néerlandaise, établi à Londres. Il fut le premier à construire (1658), en collaboration avec Huygens, des horloges à pendule en Angleterre.
FROMENT-MEURICE Orfèvre genevois. Signe une boîte pour E. Lecoultre, richement décorée de figures en or blanc et rose de style Renaissance. Vers 1878.
FROSSARD Horloger. Seconde moitié du XIXe siècle.
FROSSARD DENIS Horloger. Seconde moitié du XVIIIe, début du XIXe siècle.
FROSSARD GABRIEL Horloger. Originaire de Moudon (Suisse). Reçu habitant de Genève en 1771.
FROSSARD J Fabricant de boites de montres. Mentionné à Genève en 1904, Il dépose un brevet pour un système de boites de montres, de type "J.F.".
FUCHS NICOLAS Originaire de Baden. En 1833, ouvrier de Justin DUBOIS pendulier.
FUETER FRANÇOIS-LOUIS Bailliage de Berne (Suisse). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1750.
FULGOR Marque genevoise enregistrée.
FUNK CHARLES Horloger. Dépose à Genève deux brevets en 1905: le premier pour un mécanisme chronographe compteur et le second: pour un cercle d'emboîtage permettant d'ajuster des mouvements de montres suisses dans une boite américaine. Vend son brevet à la Tempor Watch M.F.G. Co., Grimm Fs Co en 1907.
FUOG THÉOPHILE Horloger fabricant genevois. Dépose un brevet en 1897 pour un nouveau calibre de montre à remontoir avec ponts de barillet et des roues de remontoir indépendantes. Cède ce brevet en faveur de judith & Cie , fabricants à Berne (Suisse) en 1902.
FURET LOUIS Horloger. Mentionné à Genève en 1874.
FUSIE AMOS (1652-1712). Originaire du Pays de Gex, Ain (France). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1707.
FUSIER PAUL Maître horloger. Début du XVIIIe siècle.
FUZIL AMOS Originaire du Pays de Gex, Ain (France). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1688.