Старые французские часовые имена на букву R: различия между версиями
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{{DISPLAYTITLE:Буква R. Словарь старинных европейских часовых мастеров и марок.}} | {{DISPLAYTITLE:Буква R. Словарь старинных европейских часовых мастеров и марок.}} | ||
<metakey>Старинные, часы, часовщик</metakey> | <metakey>Старинные, часы, часовщик</metakey> | ||
{{Старые французские часовые имена}} | {{Старые французские часовые имена}} | ||
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RADJA NAYA | RADJA NAYA | ||
Marque genevoise enregistrée. | Marque genevoise enregistrée. | ||
RAFFARD | RAFFARD | ||
Horlogerie. Mentionné à Genève de 1785 à 1835. | Horlogerie. Mentionné à Genève de 1785 à 1835. | ||
RAFFARD & OPPELT | RAFFARD & OPPELT | ||
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1860. | Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1860. | ||
RAFFARD DANIEL | RAFFARD DANIEL | ||
Horloger. Mentionné à Genève vers 1780. | Horloger. Mentionné à Genève vers 1780. | ||
RAFFARD DAVID | RAFFARD DAVID | ||
Maître horloger à Genève, en 1681. Apprenti chez Jaques I Caillate (Caillatte) en 1674. | Maître horloger à Genève, en 1681. Apprenti chez Jaques I Caillate (Caillatte) en 1674. | ||
RAFFARD DÉSIRÉ | RAFFARD DÉSIRÉ | ||
Mentionné à Genève en 1820-1831. Montres à répétition à ponts, à échappement à cylindre. Présent à l'Exposition de Genève en 1828. | Mentionné à Genève en 1820-1831. Montres à répétition à ponts, à échappement à cylindre. Présent à l'Exposition de Genève en 1828. | ||
RAFFARD ET GRUTIN | RAFFARD ET GRUTIN | ||
Fabricants d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1844. | Fabricants d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1844. | ||
RAFFARD FRANÇOIS LOUIS | RAFFARD FRANÇOIS LOUIS | ||
Maître horloger. Mentionné à Genève dans la première moitié et au milieu du XVIIIe siècle. On trouve sa signature sur une montre datée de 1731. | Maître horloger. Mentionné à Genève dans la première moitié et au milieu du XVIIIe siècle. On trouve sa signature sur une montre datée de 1731. | ||
RAFFARD JOHN-HENRY | RAFFARD JOHN-HENRY | ||
Horloger. Mentionné à Genève vers 1817. | Horloger. Mentionné à Genève vers 1817. | ||
RAHM LES FRÈRES | RAHM LES FRÈRES | ||
Fondeurs à La Chaux-de-Fonds. Livrent des boites de pièces d'officier en fonte à J. Robert et fils de 1781 à 1783. | Fondeurs à La Chaux-de-Fonds. Livrent des boites de pièces d'officier en fonte à J. Robert et fils de 1781 à 1783. | ||
RAIGUEL | RAIGUEL | ||
Cette famille a fourni d'habiles horlogers à Corgémont. | Cette famille a fourni d'habiles horlogers à Corgémont. | ||
RAILWAY GUARD'S WATCH | RAILWAY GUARD'S WATCH | ||
Marque genevoise enregistrée. | Marque genevoise enregistrée. | ||
RAISAN DANIEL | RAISAN DANIEL | ||
Horloger. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIIe, début du XIXe siècle. | Horloger. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIIe, début du XIXe siècle. | ||
RAMAZ ANTOINE | RAMAZ ANTOINE | ||
Emailleur. Mentionné à Genève vers 1909. | Emailleur. Mentionné à Genève vers 1909. | ||
RAMBAL JOSEPH | RAMBAL JOSEPH | ||
Horloger régleur. Professeur à l'Ecole municipale de Genève. Membre de la Société des Arts. Publie l' « Enseignement théorique de l'Horlogerie », en 1889. | Horloger régleur. Professeur à l'Ecole municipale de Genève. Membre de la Société des Arts. Publie l' « Enseignement théorique de l'Horlogerie », en 1889. | ||
RAMBAUD ANTOINE | RAMBAUD ANTOINE | ||
Fils de Pierre. Châtillon, Dauphiné (France). Orfèvre. Reçu habitant de Genève en 1752. | Fils de Pierre. Châtillon, Dauphiné (France). Orfèvre. Reçu habitant de Genève en 1752. | ||
RAMBAUD DAVID | RAMBAUD DAVID | ||
Fils de Pierre. Châtillon, Dauphiné (France). Orfèvre. Reçu habitant de Genève en 1756. | Fils de Pierre. Châtillon, Dauphiné (France). Orfèvre. Reçu habitant de Genève en 1756. | ||
RAMBOSSON | RAMBOSSON | ||
Horlogerie. Mentionné à Genève en 1837. | Horlogerie. Mentionné à Genève en 1837. | ||
RAMEL J. | RAMEL J. | ||
Peintre sur émail, en 1900. Mentionné à Genève en 1915. | Peintre sur émail, en 1900. Mentionné à Genève en 1915. | ||
RAMEL PIERRE | RAMEL PIERRE | ||
Maître horloger à Genève. Apprenti chez Pierre Noblet en 1623. Marié en 1639. | Maître horloger à Genève. Apprenti chez Pierre Noblet en 1623. Marié en 1639. | ||
RAMSER A. | RAMSER A. | ||
Fabricant de montres et de bijoux. Présent à l'Exposition nationale de Genève en 1896. | Fabricant de montres et de bijoux. Présent à l'Exposition nationale de Genève en 1896. | ||
RAMSER, LEUBA ET CHARBONIER | RAMSER, LEUBA ET CHARBONIER | ||
Fabricants d'horlogerie. Mentionnés à Genève en 1870. | Fabricants d'horlogerie. Mentionnés à Genève en 1870. | ||
RAMU | RAMU | ||
Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1792. | Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1792. | ||
RAMU & CIE. | RAMU & CIE. | ||
Orfèvres. Mentionnés à Genève en 1924. | Orfèvres. Mentionnés à Genève en 1924. | ||
RAMU JACOB | RAMU JACOB | ||
Maître orfèvre. Mentionné à Genève au milieu du XVIIe siècle. | Maître orfèvre. Mentionné à Genève au milieu du XVIIe siècle. | ||
RAMU JEAN | RAMU JEAN | ||
Maître horloger. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIe siècle. Forme J. J. Croppet en 1666 et Marc Prevost en 1670. | Maître horloger. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIe siècle. Forme J. J. Croppet en 1666 et Marc Prevost en 1670. | ||
RAMU JÉRÉMIE | RAMU JÉRÉMIE | ||
Né en 1738. Horloger à Genève. Travaille encore en 1791. | Né en 1738. Horloger à Genève. Travaille encore en 1791. | ||
RAMU, PATTEY & FILS | RAMU, PATTEY & FILS | ||
Fabricants d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828. | Fabricants d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828. | ||
RAMUSAT MOÏSE | RAMUSAT MOÏSE | ||
De Sergy, Pays de Gex, Ain (France). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1700. | De Sergy, Pays de Gex, Ain (France). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1700. | ||
RAMUZ FRANÇOIS-RODOLPHE | RAMUZ FRANÇOIS-RODOLPHE | ||
Fils d'Hugues. De Cudrefin. Peintre sur émail. Bourgeois de Neuchâtel (Suisse). Reçu habitant de Genève en 1755. | Fils d'Hugues. De Cudrefin. Peintre sur émail. Bourgeois de Neuchâtel (Suisse). Reçu habitant de Genève en 1755. | ||
RAND | RAND | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1835. | Horloger. Mentionné à Genève en 1835. | ||
RANDALL ANTHONY | RANDALL ANTHONY | ||
Anthony Randall est considéré comme l'un des meilleurs horlogers actuels. Il est le spécialiste des pendulettes très compliquées qu'il équipe de spiraux en verre (pyrex). Anthony Randall | Anthony Randall est considéré comme l'un des meilleurs horlogers actuels. Il est le spécialiste des pendulettes très compliquées qu'il équipe de spiraux en verre (pyrex). Anthony Randall. | ||
45 Summerdown road | 45 Summerdown road; | ||
Eastbourne East Sussex BN 208 DR | Eastbourne East Sussex BN 208 DR; | ||
Tél. ++44 323 7 22 441 | Tél. ++44 323 7 22 441. | ||
RANNAZ | RANNAZ | ||
Fondée à Genève en 1870, elle s'installe à Cluses en 1886 à l'emplacement de l'actuelle maison des Allobroges. Alfred Rannaz est connu pour la grande qualité de ses produits : ébauches, finissages, petites pièces de luxes, petits chronomètres. C'est une des rares maisons clusiennes à se lancer dans le décolletage dès la fin du siècle. | Fondée à Genève en 1870, elle s'installe à Cluses en 1886 à l'emplacement de l'actuelle maison des Allobroges. Alfred Rannaz est connu pour la grande qualité de ses produits : ébauches, finissages, petites pièces de luxes, petits chronomètres. C'est une des rares maisons clusiennes à se lancer dans le décolletage dès la fin du siècle. | ||
RANNAZ & DURET | RANNAZ & DURET | ||
Fabricants de mouvements. Vers 1876. Gagnent une médaille d'argent à l'Exposition universelle de Paris en 1878. Signent un mouvement pour une montre de Potter vers 1880. Sont établis à Cluses (Haute-Savoie) avec une succursale à Genève. Remportent le Grand Prix de Gand en 1913. Fournissent des mouvements à ancre, des mouvements à cylindre de tous genres de très bonne qualité. | Fabricants de mouvements. Vers 1876. Gagnent une médaille d'argent à l'Exposition universelle de Paris en 1878. Signent un mouvement pour une montre de Potter vers 1880. Sont établis à Cluses (Haute-Savoie) avec une succursale à Genève. Remportent le Grand Prix de Gand en 1913. Fournissent des mouvements à ancre, des mouvements à cylindre de tous genres de très bonne qualité. | ||
RAPS (RASP) JEAN-GEORGES | RAPS (RASP) JEAN-GEORGES | ||
Fils de Jean-Jacques. Strasbourg (France). Orfèvre, bijoutier. Reçu habitant de Genève en 1762. | Fils de Jean-Jacques. Strasbourg (France). Orfèvre, bijoutier. Reçu habitant de Genève en 1762. | ||
RATH HENRIETTE | RATH HENRIETTE | ||
Miniaturiste sur émail. Travaille à Saint-Petersbourg (Russie). | Miniaturiste sur émail. Travaille à Saint-Petersbourg (Russie). | ||
RAUZIER | RAUZIER | ||
Mentionné à Genève à la fin du XVIIIe, début du XIXe siècle. Montres en or, émaillées. | Mentionné à Genève à la fin du XVIIIe, début du XIXe siècle. Montres en or, émaillées. | ||
RAVAUD THOMAS | RAVAUD THOMAS | ||
Apprenti horloger à Genève chez Jaques Sermand, l'oncle en 1648 et chez Jaques I Joly en 1651. | Apprenti horloger à Genève chez Jaques Sermand, l'oncle en 1648 et chez Jaques I Joly en 1651. | ||
RAVEL ET MAGNIN | RAVEL ET MAGNIN | ||
Émailleurs. Mentionné à Genève en 1874. | Émailleurs. Mentionné à Genève en 1874. | ||
RAVIER JEAN ET MOTTU | RAVIER JEAN ET MOTTU | ||
Fabricants et marchands d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1866. | Fabricants et marchands d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1866. | ||
RAVOIRE MARC | RAVOIRE MARC | ||
Fils d'Ami. De Bonvard, paroisse de Vandoeuvres, canton de Genève. Horloger. Reçu habitant de Genève en 1763. | Fils d'Ami. De Bonvard, paroisse de Vandoeuvres, canton de Genève. Horloger. Reçu habitant de Genève en 1763. | ||
RAY FRERES | RAY FRERES | ||
Probablement marchands. Mentionnés à Genève à la fin du XVIIIe siècle. Montres à cadran décimal. | Probablement marchands. Mentionnés à Genève à la fin du XVIIIe siècle. Montres à cadran décimal. | ||
RAYMOND | RAYMOND | ||
Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1831. | Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1831. | ||
RAYMOND ABRAHAM-DAVID | RAYMOND ABRAHAM-DAVID | ||
Fils de Joseph. Vallée de Joux (France). Faiseur de cadrans. A un fils. Reçu habitant de Genève en 1791. | Fils de Joseph. Vallée de Joux (France). Faiseur de cadrans. A un fils. Reçu habitant de Genève en 1791. | ||
RAYMOND ET FILS | RAYMOND ET FILS | ||
Établisseurs d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1870. | Établisseurs d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1870. | ||
RAYMOND EUGÉNIE | RAYMOND EUGÉNIE | ||
Peintre sur émail. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XIXe siècle. Spécialisée dans les portraits. | Peintre sur émail. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XIXe siècle. Spécialisée dans les portraits. | ||
RAYMOND F. | RAYMOND F. | ||
Peintre sur émail. Mentionné à Genève en 1862. | Peintre sur émail. Mentionné à Genève en 1862. | ||
RAYMOND FS-SAMUEL | RAYMOND FS-SAMUEL | ||
Peintre sur émail. Mentionné à Genève en 1857. | Peintre sur émail. Mentionné à Genève en 1857. | ||
RAYMOND J.-E. | RAYMOND J.-E. | ||
Peintre sur émail. Mentionné à Genève en 1862. | Peintre sur émail. Mentionné à Genève en 1862. | ||
RAYMOND LAZARE-TOUSSAINT | RAYMOND LAZARE-TOUSSAINT | ||
Maître horloger. Mentionné à Genève en 1775-1791. | Maître horloger. Mentionné à Genève en 1775-1791. | ||
RAYMOND-44 | RAYMOND-44 | ||
Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828-1831. | Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828-1831. | ||
RAYMOND-NICOLE | RAYMOND-NICOLE | ||
Pièces à musique. Mentionné à Genève en 1835. | Pièces à musique. Mentionné à Genève en 1835. | ||
RAZ JEAN-LOUIS | RAZ JEAN-LOUIS | ||
Horloger. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIIe, début du XIXe siècle. | Horloger. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIIe, début du XIXe siècle. | ||
RAZ SIMON | RAZ SIMON | ||
Horloger. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIIe, début du XIXe siècle. | Horloger. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIIe, début du XIXe siècle. | ||
REBOUL CLAUDE | REBOUL CLAUDE | ||
De Villefort en Languedoc (France). Apprenti horloger à Genève chez Jaques Sermand l'oncle en 1628. | De Villefort en Languedoc (France). Apprenti horloger à Genève chez Jaques Sermand l'oncle en 1628. | ||
REBOUL DANIEL-ANTOINE | REBOUL DANIEL-ANTOINE | ||
Maître horloger. Mentionné à Genève en 1775-1791. | Maître horloger. Mentionné à Genève en 1775-1791. | ||
REBOUL PIERRE | REBOUL PIERRE | ||
De Villefort en Languedoc (France). Apprenti à Genève chez Jaques Sermand l'oncle, en 1627. | De Villefort en Languedoc (France). Apprenti à Genève chez Jaques Sermand l'oncle, en 1627. | ||
RECLAN BALTHAZAR | RECLAN BALTHAZAR | ||
Apprenti orfèvre à Genève chez Jaques Jaccon en 1680. | Apprenti orfèvre à Genève chez Jaques Jaccon en 1680. | ||
RECLAN JEAN | RECLAN JEAN | ||
Maître orfèvre. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIe siècle. Construit des boîtes de montres. Forme Jules Carnier en 1638. | Maître orfèvre. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIe siècle. Construit des boîtes de montres. Forme Jules Carnier en 1638. | ||
RECORD WATCH & CO. | RECORD WATCH & CO. | ||
Fabricants. Maison fondée en 1905. | Fabricants. Maison fondée en 1905. | ||
RECORDON LOUIS | RECORDON LOUIS | ||
(1756-1826). Horloger très réputé. Originaire de Sainte-Croix (Suisse). Fait son apprentissage à Genève, puis s'établit à Londres (Angleterre) où il représente la Maison Breguet. Perfectionne une montre à remontage perpétuel en 1780. S'associe avec Droz, en 1782, pour une courte période. Ses oeuvres sont très soignées. Construit des montres à sonnerie au passage, répétitions, montres astronomiques, montres à remontage par secousse, montres de carrosse, pendulettes de voyage et de cheminée. Exporte en Turquie, Espagne et Amérique du Nord. Reçu habitant, avec ses deux fils mineurs en 1790. | (1756-1826). Horloger très réputé. Originaire de Sainte-Croix (Suisse). Fait son apprentissage à Genève, puis s'établit à Londres (Angleterre) où il représente la Maison Breguet. Perfectionne une montre à remontage perpétuel en 1780. S'associe avec Droz, en 1782, pour une courte période. Ses oeuvres sont très soignées. Construit des montres à sonnerie au passage, répétitions, montres astronomiques, montres à remontage par secousse, montres de carrosse, pendulettes de voyage et de cheminée. Exporte en Turquie, Espagne et Amérique du Nord. Reçu habitant, avec ses deux fils mineurs en 1790. | ||
REDARD | REDARD | ||
Horlogerie. Mentionné à Genève vers 1850. | Horlogerie. Mentionné à Genève vers 1850. | ||
REDARD & CHATELAIN | REDARD & CHATELAIN | ||
Fabricants et marchands d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1857. | Fabricants et marchands d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1857. | ||
REDARD A. & FRERES | REDARD A. & FRERES | ||
Montres compliquées. Mentionné à Genève à la fin du XIXe, début du XXe siècle. | Montres compliquées. Mentionné à Genève à la fin du XIXe, début du XXe siècle. | ||
REDARD H. (REDART) & FILS | REDARD H. (REDART) & FILS | ||
Maison fondée à Genève en 1844. Fabricants d'horlogerie, chronomètres de poche, montres de précision simples et compliquées et montres-pendentifs. Présentent à l'Exposition universelle de Chicago en 1893, des montres compliquées et des montres de précision. Présents à l'Exposition nationale de Genève en 1896. | Maison fondée à Genève en 1844. Fabricants d'horlogerie, chronomètres de poche, montres de précision simples et compliquées et montres-pendentifs. Présentent à l'Exposition universelle de Chicago en 1893, des montres compliquées et des montres de précision. Présents à l'Exposition nationale de Genève en 1896. | ||
REDARD JACQUES-HENRI | REDARD JACQUES-HENRI | ||
Pendulier aux Verrières dans la première moitié du XIXe siècle. Une pendule à grande sonnerie signée sur le cadran. Un " Redard pendulier à Buttes" est mentionné en 1817 et 1819. | Pendulier aux Verrières dans la première moitié du XIXe siècle. Une pendule à grande sonnerie signée sur le cadran. Un " Redard pendulier à Buttes" est mentionné en 1817 et 1819. | ||
REDART JACOT HENRI | REDART JACOT HENRI | ||
Établisseurs d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1870. | Établisseurs d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1870. | ||
REDOUTÉ MARC | REDOUTÉ MARC | ||
Horloger. Genève en 1747 et Lyon de 1768 à 1772. | Horloger. Genève en 1747 et Lyon de 1768 à 1772. | ||
REGARD | REGARD | ||
Peintre sur émail. Mentionné à Genève en 1857. | Peintre sur émail. Mentionné à Genève en 1857. | ||
REGARD LOUIS | REGARD LOUIS | ||
Emailleur. Mentionné à Genève en 1907 et 1909. | Emailleur. Mentionné à Genève en 1907 et 1909. | ||
REGAVELLY JEAN | REGAVELLY JEAN | ||
Fils de Pierre. Horloger de la ville de Neuchâtel en 1580 et 1582. | Fils de Pierre. Horloger de la ville de Neuchâtel en 1580 et 1582. | ||
REGAVELLY PIERRE | REGAVELLY PIERRE | ||
Père de Jean. Horloger de la ville de Neuchâtel en 1575. | Père de Jean. Horloger de la ville de Neuchâtel en 1575. | ||
REGISTERED | REGISTERED | ||
Marque genevoise enregistrée. | Marque genevoise enregistrée. | ||
REGNEND (RIGUER) JACQUES-FRANÇOIS | REGNEND (RIGUER) JACQUES-FRANÇOIS | ||
Fils de Jacques. De Essertines, bailliage d'Yverdon (Suisse). Maître "faiseur" de boîtes et d'étuis. Reçu habitant de Genève en 1706. | Fils de Jacques. De Essertines, bailliage d'Yverdon (Suisse). Maître "faiseur" de boîtes et d'étuis. Reçu habitant de Genève en 1706. | ||
REGUEL PIERRE | REGUEL PIERRE | ||
Horloger. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIIe siècle. | Horloger. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIIe siècle. | ||
REGUILLON | REGUILLON | ||
Maître horloger. Mentionné à Genève vers 1780. | Maître horloger. Mentionné à Genève vers 1780. | ||
REGUILLON & AUBERT | REGUILLON & AUBERT | ||
S'associent en 1746 à Genève pour fabriquer des montres et de la joaillerie. Se séparent peu après. | S'associent en 1746 à Genève pour fabriquer des montres et de la joaillerie. Se séparent peu après. | ||
REGUILLON & BERGIE | REGUILLON & BERGIE | ||
Horlogers et marchands. Mentionné à Genève à la fin du XVIIIe siècle. Montres à automates, à répétition à quarts, boîtes en or trois couleurs repoussé, décorées d'émail et perles. | Horlogers et marchands. Mentionné à Genève à la fin du XVIIIe siècle. Montres à automates, à répétition à quarts, boîtes en or trois couleurs repoussé, décorées d'émail et perles. | ||
REGUILLON JEAN | REGUILLON JEAN | ||
Maître orfèvre. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIe siècle. | Maître orfèvre. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIe siècle. | ||
REGUILLON MARC | REGUILLON MARC | ||
Maître horloger. Mentionné à Genève dans la première moitié et milieu du XVIIe siècle. Forme Jean Lixon en 1642. | Maître horloger. Mentionné à Genève dans la première moitié et milieu du XVIIe siècle. Forme Jean Lixon en 1642. | ||
REGUILLON PIERRE | REGUILLON PIERRE | ||
Fils de Pierre. Maître horloger à Genève, en 1780. Montres à répétition en or, émail et perles. Associé un certain temps avec Bergier. La raison sociale devient Reguillon et Bergier. | Fils de Pierre. Maître horloger à Genève, en 1780. Montres à répétition en or, émail et perles. Associé un certain temps avec Bergier. La raison sociale devient Reguillon et Bergier. | ||
REGUILLON PIERRE | REGUILLON PIERRE | ||
(1697-1775). Maître horloger à Genève. Associé avec Aubert en 1746. La raison sociale devient Reguillon et Aubert. Dissolution après peu de temps, ensuite travaille seul. | (1697-1775). Maître horloger à Genève. Associé avec Aubert en 1746. La raison sociale devient Reguillon et Aubert. Dissolution après peu de temps, ensuite travaille seul. | ||
REICH A. | REICH A. | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1924. | Horloger. Mentionné à Genève en 1924. | ||
REINALDI | REINALDI | ||
De Carouge (Genève). Horloger. Fin du XVIIIe, début du XIXe siècle. Montres décimales. | De Carouge (Genève). Horloger. Fin du XVIIIe, début du XIXe siècle. Montres décimales. | ||
REISSERT H. | REISSERT H. | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1860. | Horloger. Mentionné à Genève en 1860. | ||
REMBAL | REMBAL | ||
Atelier d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1866. | Atelier d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1866. | ||
REMBRANDT | REMBRANDT | ||
Marque genevoise enregistrée. | Marque genevoise enregistrée. | ||
REMERIER | REMERIER | ||
Horloger. Mentionné à Genève à la fin du XVIIIe, début du XIXe siècle. | Horloger. Mentionné à Genève à la fin du XVIIIe, début du XIXe siècle. | ||
REMON | REMON | ||
Horloger. Travaille pour Droz et Leschot. Mentionné à Genève à la fin du XVIIIe, début du XIXe siècle. | Horloger. Travaille pour Droz et Leschot. Mentionné à Genève à la fin du XVIIIe, début du XIXe siècle. | ||
REMOND & CO. | REMOND & CO. | ||
Horlogers. Mentionné à Genève au début du XIXe siècle. | Horlogers. Mentionné à Genève au début du XIXe siècle. | ||
REMOND (RAIMOND) PIERRE-BENOÎT | REMOND (RAIMOND) PIERRE-BENOÎT | ||
Fils de Benoît. Paris (France). "Faiseur" de boîtes. Reçu habitant de Genève en 1736. | Fils de Benoît. Paris (France). "Faiseur" de boîtes. Reçu habitant de Genève en 1736. | ||
RÉMOND (REYMOND) JEAN-GEORGES | RÉMOND (REYMOND) JEAN-GEORGES | ||
Orfèvre. Fils de Jean. Travaille de 1783 à 1820. Maître orfèvre dès le 22 décembre 1783, il frappe son premier poinçon de Maître. Reçu habitant de Genève en 1785. En 1790, il fonde une Société: Georges Rémond & Cie, et travaille de 1783 à 1820. En 1800 la raison sociale devient Rémond, Mercier, Lamy & Cie. Spécialisés dans la tabatière, la montre tabatière, la boîte à oiseau chanteur, les montres de forme et les boîtes à musique. Durant l'occupation française de la Suisse par Napoléon, J. G. Rémond enregistre des poinçons conformes aux lois du Nouveau Département du Léman, ses initiales étaient enfermées dans un losange. De 1815 à 1820, la Maison Lamy, Rémond, Mercier, Daniel Berton utilise un poinçon similaire. Il semble que Rémond se retira ou mourut durant cette association, car en 1820, une nouvelle raison sociale apparut : Mercier, Blondel et Berton. Cependant, cette nouvelle société ne dura que 7 ans, jusqu'au 14 avril 1827. | Orfèvre. Fils de Jean. Travaille de 1783 à 1820. Maître orfèvre dès le 22 décembre 1783, il frappe son premier poinçon de Maître. Reçu habitant de Genève en 1785. En 1790, il fonde une Société: Georges Rémond & Cie, et travaille de 1783 à 1820. En 1800 la raison sociale devient Rémond, Mercier, Lamy & Cie. Spécialisés dans la tabatière, la montre tabatière, la boîte à oiseau chanteur, les montres de forme et les boîtes à musique. Durant l'occupation française de la Suisse par Napoléon, J. G. Rémond enregistre des poinçons conformes aux lois du Nouveau Département du Léman, ses initiales étaient enfermées dans un losange. De 1815 à 1820, la Maison Lamy, Rémond, Mercier, Daniel Berton utilise un poinçon similaire. Il semble que Rémond se retira ou mourut durant cette association, car en 1820, une nouvelle raison sociale apparut : Mercier, Blondel et Berton. Cependant, cette nouvelle société ne dura que 7 ans, jusqu'au 14 avril 1827. | ||
RENAUD & J. CLERMONT SA. | RENAUD & J. CLERMONT SA. | ||
Orfèvres. Mentionnés à Genève en 1924. | Orfèvres. Mentionnés à Genève en 1924. | ||
RENAUD ALEXANDRE | RENAUD ALEXANDRE | ||
Fils de Jean-Louis, né le 12 février 1811. Mécanicien, horloger pendulier et inventeur. Apprenti de David-Henri Matthey, pendulier à La Brévine. En 1753 domicilié à Corcelles, remet presque complètement à neuf l'horloge d'Auvernier. Une pendule grande sonnerie, cadrature remarquable. | Fils de Jean-Louis, né le 12 février 1811. Mécanicien, horloger pendulier et inventeur. Apprenti de David-Henri Matthey, pendulier à La Brévine. En 1753 domicilié à Corcelles, remet presque complètement à neuf l'horloge d'Auvernier. Une pendule grande sonnerie, cadrature remarquable. | ||
RENAUD FRANÇOIS | RENAUD FRANÇOIS | ||
Horloger. Mentionné à Genève vers 1688. | Horloger. Mentionné à Genève vers 1688. | ||
RENAUD JULES A. | RENAUD JULES A. | ||
Horloger. Premier quart du XXe siècle à Genève. En 1924. Petite manufacture qui construit, en nombre limité, des montres simples et compliquées, montres extra-plates de bonne qualité, destinées en grande partie au marché nord-américain. | Horloger. Premier quart du XXe siècle à Genève. En 1924. Petite manufacture qui construit, en nombre limité, des montres simples et compliquées, montres extra-plates de bonne qualité, destinées en grande partie au marché nord-américain. | ||
RENAUD PIERRE | RENAUD PIERRE | ||
Fils de Moïse, du Locle. Chargé en 1711 de transformations importantes à l'horloge du Locle, mais le marché fut rompu. | Fils de Moïse, du Locle. Chargé en 1711 de transformations importantes à l'horloge du Locle, mais le marché fut rompu. | ||
RENCHET ET RUHL | RENCHET ET RUHL | ||
Fabricants et marchands d'horlogerie. Mentionnés à Genève en 1860. | Fabricants et marchands d'horlogerie. Mentionnés à Genève en 1860. | ||
RENDU JEAN-FRANÇOIS | RENDU JEAN-FRANÇOIS | ||
Horloger. Meyrin. Mentionné à Genève vers 1772. | Horloger. Meyrin. Mentionné à Genève vers 1772. | ||
RENDU LOUISE | RENDU LOUISE | ||
Peintre sur émail. Mentionné à Genève en 1861. | Peintre sur émail. Mentionné à Genève en 1861. | ||
RENEVEY J. | RENEVEY J. | ||
Emailleur et peintre sur émail. Mentionné à Genève dans le second tiers du XXe siècle. | Emailleur et peintre sur émail. Mentionné à Genève dans le second tiers du XXe siècle. | ||
RENISH | RENISH | ||
Horloger. Mentionné à Genève vers 1776. | Horloger. Mentionné à Genève vers 1776. | ||
REPINGON JACQUES | REPINGON JACQUES | ||
Fils de Jacques. Monteur de boîtes. Reçu habitant de Genève en 1792. | Fils de Jacques. Monteur de boîtes. Reçu habitant de Genève en 1792. | ||
REPPERSCHMIDT (NEPPERSCHMIDT) PHILIPPE-GOTTLIEB | REPPERSCHMIDT (NEPPERSCHMIDT) PHILIPPE-GOTTLIEB | ||
Fils d'Emmanuel. Augsbourg (Allemagne). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1758. | Fils d'Emmanuel. Augsbourg (Allemagne). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1758. | ||
RERA CLAUDE JOSEPH | RERA CLAUDE JOSEPH | ||
Né en 1765. Horloger. Mentionné à Genève. | Né en 1765. Horloger. Mentionné à Genève. | ||
RETOR ET CIE. | RETOR ET CIE. | ||
Fabricants et marchands d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1866. | Fabricants et marchands d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1866. | ||
RETOR FRANÇOIS | RETOR FRANÇOIS | ||
Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève vers 1850. | Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève vers 1850. | ||
RETOURET | RETOURET | ||
Horloger finisseur. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XIXe siècle. Montres compliquées de bonne qualité astronomiques et calendrier perpétuel rétrograde. | Horloger finisseur. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XIXe siècle. Montres compliquées de bonne qualité astronomiques et calendrier perpétuel rétrograde. | ||
REUGGER | REUGGER | ||
Horloger et bijoutier. Montres fantaisie, en présente un certain nombre à l'Exposition de Genève en 1828. | Horloger et bijoutier. Montres fantaisie, en présente un certain nombre à l'Exposition de Genève en 1828. | ||
REVACHE JEAN-PIERRE | REVACHE JEAN-PIERRE | ||
Horloger. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIIe, début du XIXe siècle. | Horloger. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIIe, début du XIXe siècle. | ||
REVACLIER JEAN-PIERRE | REVACLIER JEAN-PIERRE | ||
Fils de Jacob. Laconnex. Horloger, Reçu habitant de Genève en 1759. | Fils de Jacob. Laconnex. Horloger, Reçu habitant de Genève en 1759. | ||
REVERCHON LÉOPOLD | REVERCHON LÉOPOLD | ||
Publie, à Genève, en 1929, avec Didisheim, un traité sur "La Machine planétaire et l'oeuvre astronomique de Huygens". | Publie, à Genève, en 1929, avec Didisheim, un traité sur "La Machine planétaire et l'oeuvre astronomique de Huygens". | ||
REVERDIN | REVERDIN | ||
Monteur de boîte. Mentionné à Genève. | Monteur de boîte. Mentionné à Genève. | ||
REVERDIN JEAN | REVERDIN JEAN | ||
Horloger. Mentionné à Genève vers 1815. | Horloger. Mentionné à Genève vers 1815. | ||
REVILLARD (REVILLOD) JACQUES | REVILLARD (REVILLOD) JACQUES | ||
Maître monteur de boîtes. Mentionné à Genève dans la première moitié du XVIIIe siècle. | Maître monteur de boîtes. Mentionné à Genève dans la première moitié du XVIIIe siècle. | ||
REVILLIOD | REVILLIOD | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1860. | Horloger. Mentionné à Genève en 1860. | ||
REVILLIOD THOMAS | REVILLIOD THOMAS | ||
Apprenti orfèvre chez Jean Syran. Mentionné à Genève en 1586. | Apprenti orfèvre chez Jean Syran. Mentionné à Genève en 1586. | ||
REVILLON ALFRED-FR. | REVILLON ALFRED-FR. | ||
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1861. | Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1861. | ||
REVILLON FRANÇOIS | REVILLON FRANÇOIS | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1860. | Horloger. Mentionné à Genève en 1860. | ||
REVU | REVU | ||
Horloger-repasseur. Mentionné à Genève en 1835. | Horloger-repasseur. Mentionné à Genève en 1835. | ||
REY | REY | ||
Courtier en horlogerie. Mentionné à Genève. | Courtier en horlogerie. Mentionné à Genève. | ||
REY & FLOURNOY | REY & FLOURNOY | ||
Horlogers. Mentionnés à Genève en 1790-1810. | Horlogers. Mentionnés à Genève en 1790-1810. | ||
REY AMI-FRANÇOIS | REY AMI-FRANÇOIS | ||
(1773-1833). Fils de Gédéon. Maître horloger à Genève. | (1773-1833). Fils de Gédéon. Maître horloger à Genève. | ||
REY ANTOINE | REY ANTOINE | ||
Né à Genève. Fils d'Antoine. Originaire du Dauphiné (France). Horloger. | Né à Genève. Fils d'Antoine. Originaire du Dauphiné (France). Horloger. | ||
REY ANTOINE | REY ANTOINE | ||
Maître horloger, Dardagny (Genève). Seconde moitié du XVIIe, début du XVIIIe siècle. Forme Laurent Chappuzeau fils de Samuel, en 1674; François Baveu en 1678 et Jean George Rey en 1680. | Maître horloger, Dardagny (Genève). Seconde moitié du XVIIe, début du XVIIIe siècle. Forme Laurent Chappuzeau fils de Samuel, en 1674; François Baveu en 1678 et Jean George Rey en 1680. | ||
REY AUGUSTIN | REY AUGUSTIN | ||
Horloger. Mentionné à Genève vers 1817. | Horloger. Mentionné à Genève vers 1817. | ||
REY E. | REY E. | ||
Peintre en cadran et sur émail. Mentionné à Genève de 1900 à 1924. | Peintre en cadran et sur émail. Mentionné à Genève de 1900 à 1924. | ||
REY ETIENNE DIT ROY | REY ETIENNE DIT ROY | ||
Apprenti horloger à Genève chez Martin Duboule en 1629. | Apprenti horloger à Genève chez Martin Duboule en 1629. | ||
REY FRERES | REY FRERES | ||
Maîtres horlogers à Genève dès 1710. Leur signature figure sur une montre oignon à deux aiguilles datée de 1712. | Maîtres horlogers à Genève dès 1710. Leur signature figure sur une montre oignon à deux aiguilles datée de 1712. | ||
REY FRERES | REY FRERES | ||
Etablisseurs d'horlogerie. Mentionnés à Genève au début du XIXe siècle. Font faillite le 1er octobre 1821. | Etablisseurs d'horlogerie. Mentionnés à Genève au début du XIXe siècle. Font faillite le 1er octobre 1821. | ||
REY ISAAC | REY ISAAC | ||
Né à Genève en 1756. Horloger. | Né à Genève en 1756. Horloger. | ||
REY ISAAC | REY ISAAC | ||
(1713-1792). Fils de Jean François. Maître orfèvre à Genève. Travaille avec son frère Jean Jaques. | (1713-1792). Fils de Jean François. Maître orfèvre à Genève. Travaille avec son frère Jean Jaques. | ||
REY JEAN ANTOINE I | REY JEAN ANTOINE I | ||
(1682-1787). Maître horloger à Genève. S'associe avec son frère en 1748, sous la raison sociale: Les Frères Rey, puis avec ses fils. | (1682-1787). Maître horloger à Genève. S'associe avec son frère en 1748, sous la raison sociale: Les Frères Rey, puis avec ses fils. | ||
REY JEAN ANTOINE II | REY JEAN ANTOINE II | ||
(1712-1794). Fils de Jean Antoine I. Maître horloger et orfèvre à Genève. | (1712-1794). Fils de Jean Antoine I. Maître horloger et orfèvre à Genève. | ||
REY JEAN ANTOINE III | REY JEAN ANTOINE III | ||
Fils de Jean Antoine II. Maître horloger à Genève. Travaille avec son frère. Meurt en 1803. | Fils de Jean Antoine II. Maître horloger à Genève. Travaille avec son frère. Meurt en 1803. | ||
REY JEAN ET ANTOINE | REY JEAN ET ANTOINE | ||
Fabricants d'horlogerie. Mentionné à Genève à la fin du XVIIIe siècle. | Fabricants d'horlogerie. Mentionné à Genève à la fin du XVIIIe siècle. | ||
REY JEAN FRANÇOIS | REY JEAN FRANÇOIS | ||
Maître horloger. Mentionné à Genève dès 1712. S'associe avec son frère Jean Antoine I en 1748. | Maître horloger. Mentionné à Genève dès 1712. S'associe avec son frère Jean Antoine I en 1748. | ||
REY JEAN-GÉDÉON | REY JEAN-GÉDÉON | ||
(Genève 1780-1848). Fabricant d'horlogerie. | (Genève 1780-1848). Fabricant d'horlogerie. | ||
REYMOND ET SALAZ | REYMOND ET SALAZ | ||
Fabricants et marchands d'horlogerie. Mentionnés à Genève en 1857. | Fabricants et marchands d'horlogerie. Mentionnés à Genève en 1857. | ||
REYMOND PIERRE | REYMOND PIERRE | ||
Peintre en cadrans. Mentionné à Genève vers 1907. | Peintre en cadrans. Mentionné à Genève vers 1907. | ||
REYMOND S.-L. | REYMOND S.-L. | ||
Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1820-1830. | Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1820-1830. | ||
REYMOND SAMUEL | REYMOND SAMUEL | ||
(1830-1860 environ). Montres de bonne qualité, avec remontage spécial, par le pendant, à piston, par tirage. Mentionné à Genève en 1844 et 1860. | (1830-1860 environ). Montres de bonne qualité, avec remontage spécial, par le pendant, à piston, par tirage. Mentionné à Genève en 1844 et 1860. | ||
REYNAUD & GLATON | REYNAUD & GLATON | ||
Horlogers. Mentionné à Genève en 1870-1900 environ. Montres-pendentifs en or et émail. | Horlogers. Mentionné à Genève en 1870-1900 environ. Montres-pendentifs en or et émail. | ||
REYNAUD P. & CIE. | REYNAUD P. & CIE. | ||
Fabricants et marchands d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1857 et 1866. | Fabricants et marchands d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1857 et 1866. | ||
REYNAUD PAUL | REYNAUD PAUL | ||
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1862. | Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1862. | ||
RIALZ GEORGES | RIALZ GEORGES | ||
Horloger. Travaille pour Droz et Leschot. Mentionné à Genève à la fin du XVIIIe, début du XIXe siècle. | Horloger. Travaille pour Droz et Leschot. Mentionné à Genève à la fin du XVIIIe, début du XIXe siècle. | ||
RICH JOHN | RICH JOHN | ||
Anglais. Genève et Londres, fin XVIIIe siècle jusque vers 1825. Très fameux marchand. Spécialisé en montres automates, montres squelette à musique sur clochettes, montres oiseau chanteur, tabatières à automates, montres en forme de flacon de parfum. Travaille avec les Jaquet-Droz et Leschot, les Rochat. Ses oeuvres sont toujours de très grande qualité, richement décorées, utilise l'échappement à verge et à cylindre. Signe le mouvement: "J. Rich, London & Genève". | Anglais. Genève et Londres, fin XVIIIe siècle jusque vers 1825. Très fameux marchand. Spécialisé en montres automates, montres squelette à musique sur clochettes, montres oiseau chanteur, tabatières à automates, montres en forme de flacon de parfum. Travaille avec les Jaquet-Droz et Leschot, les Rochat. Ses oeuvres sont toujours de très grande qualité, richement décorées, utilise l'échappement à verge et à cylindre. Signe le mouvement: "J. Rich, London & Genève". | ||
RICHAR A. | RICHAR A. | ||
Horloger, marchand. Montres pendentifs. Mentionné à Genève vers le milieu du XIXe siècle. | Horloger, marchand. Montres pendentifs. Mentionné à Genève vers le milieu du XIXe siècle. | ||
RICHARD | RICHARD | ||
Des ouvriers de ce nom ont été occupés à l'horlogerie à Sonvilier. | Des ouvriers de ce nom ont été occupés à l'horlogerie à Sonvilier. | ||
RICHARD CIE. | RICHARD CIE. | ||
Bijoutiers et orfèvres. Construisent des boîtes de montres pour Droz et Leschot. Mentionné à Genève à la fin du XVIIIe, début du XIXe siècle. | Bijoutiers et orfèvres. Construisent des boîtes de montres pour Droz et Leschot. Mentionné à Genève à la fin du XVIIIe, début du XIXe siècle. | ||
RICHARD DAVIS | RICHARD DAVIS | ||
De Valangin, canonnier à Neuchâtel. Reçu dans la Compagnie des Favres, Maçons et Chappuis en 1660. Cité de 1665 à 1667 comme réparant plusieurs horloges de la ville. | De Valangin, canonnier à Neuchâtel. Reçu dans la Compagnie des Favres, Maçons et Chappuis en 1660. Cité de 1665 à 1667 comme réparant plusieurs horloges de la ville. | ||
RICHARD ÉTIENNE JOSEPH | RICHARD ÉTIENNE JOSEPH | ||
Fils de Louis-Joseph. Paris (France). Bijoutier. Reçu habitant de Genève en 1790. | Fils de Louis-Joseph. Paris (France). Bijoutier. Reçu habitant de Genève en 1790. | ||
RICHARD JEAN-LOUIS | RICHARD JEAN-LOUIS | ||
Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1775-1791. | Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1775-1791. | ||
RICHARD LOUIS | RICHARD LOUIS | ||
Voir JeanRichard, Louis. | Voir JeanRichard, Louis. | ||
RICHARD P.-D. | RICHARD P.-D. | ||
Un mouvement de pendule signé "P.D. Richard 5 déc. 1832 " . | Un mouvement de pendule signé "P.D. Richard 5 déc. 1832 " . | ||
RICHELIEU | RICHELIEU | ||
Marque genevoise enregistrée. | Marque genevoise enregistrée. | ||
RICHON FRANÇOIS | RICHON FRANÇOIS | ||
Peintre sur émail. Présent à l'Exposition nationale Suisse de Genève en 1896. | Peintre sur émail. Présent à l'Exposition nationale Suisse de Genève en 1896. | ||
RICHTER JEAN LOUIS | RICHTER JEAN LOUIS | ||
(Genève 1766-1841). Peintre sur émail très réputé. Élève de David-Étienne Roux et Philippe-Samuel-Théodore Roux. S'associe avec Aimé Julien Troll en 1828. Spécialisé dans les paysages, scènes marines, scènes de chasse, lacustres et rupestres et dans les portraits. Décore des boîtes de montres et des tabatières. Signe: Richter, en écriture cursive. Les montres décorées par lui sont en majorité destinées aux marchés chinois, turc, anglais et italien. | (Genève 1766-1841). Peintre sur émail très réputé. Élève de David-Étienne Roux et Philippe-Samuel-Théodore Roux. S'associe avec Aimé Julien Troll en 1828. Spécialisé dans les paysages, scènes marines, scènes de chasse, lacustres et rupestres et dans les portraits. Décore des boîtes de montres et des tabatières. Signe: Richter, en écriture cursive. Les montres décorées par lui sont en majorité destinées aux marchés chinois, turc, anglais et italien. | ||
RIES (RIEZ) JEAN-GEORGES | RIES (RIEZ) JEAN-GEORGES | ||
Fils d'Eberhard Antoine. Principauté de Darmstadt (Allemagne). Maître orfèvre, maître bijoutier. Reçu habitant de Genève, avec son fils Henri, en 1790. | Fils d'Eberhard Antoine. Principauté de Darmstadt (Allemagne). Maître orfèvre, maître bijoutier. Reçu habitant de Genève, avec son fils Henri, en 1790. | ||
RIEU JEAN | RIEU JEAN | ||
S'associe avec Antoine Gervais. Mentionné à Genève vers 1710. | S'associe avec Antoine Gervais. Mentionné à Genève vers 1710. | ||
RIEUSSEC NICOLAS-MATHIEU | RIEUSSEC NICOLAS-MATHIEU | ||
Né à Toulouse en 1781, il ouvrit un commerce de montres, en 1802, alors qu'il était encore mineur, dans l'Île de la Cité à Paris. Nommé horloger du Roi au début de 1817, Rieussec demanda, le 1er juin de la même année, le titre d'"Horloger du Garde Meuble", titre qu'il obtint l'année suivante. Il est en outre, en 1821, l'inventeur du chronographe encreur, avec une aiguille avec un réservoir à encre et un cadran tournant. Cela permettait d'inscrire le temps mesuré et de le lire sur le cadran. Un système amélioré en 1823 par Fatton pour Breguet. | Né à Toulouse en 1781, il ouvrit un commerce de montres, en 1802, alors qu'il était encore mineur, dans l'Île de la Cité à Paris. Nommé horloger du Roi au début de 1817, Rieussec demanda, le 1er juin de la même année, le titre d'"Horloger du Garde Meuble", titre qu'il obtint l'année suivante. Il est en outre, en 1821, l'inventeur du chronographe encreur, avec une aiguille avec un réservoir à encre et un cadran tournant. Cela permettait d'inscrire le temps mesuré et de le lire sur le cadran. Un système amélioré en 1823 par Fatton pour Breguet. | ||
Son fils Joseph-Ferdinand Rieussec, né à Paris, le 15 décembre 1804, fut également horloger. | Son fils Joseph-Ferdinand Rieussec, né à Paris, le 15 décembre 1804, fut également horloger. | ||
RIFLE J. | RIFLE J. | ||
Horloger. Mentionné à Genève vers 1909. | Horloger. Mentionné à Genève vers 1909. | ||
RIGAUD GEORGES | RIGAUD GEORGES | ||
Fils de Jean Antoine. Maître horloger. Mentionné à Genève dans la première moitié du XVIIIe siècle. | Fils de Jean Antoine. Maître horloger. Mentionné à Genève dans la première moitié du XVIIIe siècle. | ||
RIGAUD JEAN ANTOINE | RIGAUD JEAN ANTOINE | ||
Maître horloger. Mentionné à Genève à la fin du XVIIe, début du XVIIIe siècle. | Maître horloger. Mentionné à Genève à la fin du XVIIe, début du XVIIIe siècle. | ||
RIGAUD PIERRE | RIGAUD PIERRE | ||
Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1750-1800. Montres de tout genre, mouvements de type classique, fusée et échappement à verge. | Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1750-1800. Montres de tout genre, mouvements de type classique, fusée et échappement à verge. | ||
RIGOT FRANÇOIS | RIGOT FRANÇOIS | ||
Horloger. Mentionné à Genève dans le segond quart du XIXe siècle. Construit des montres décoratives de toutes dimensions. Il utilise tant l'échappement à cylindre qu'à ancre, il fait également des montres extraplates. | Horloger. Mentionné à Genève dans le segond quart du XIXe siècle. Construit des montres décoratives de toutes dimensions. Il utilise tant l'échappement à cylindre qu'à ancre, il fait également des montres extraplates. | ||
RILLET J.-B. | RILLET J.-B. | ||
Horlogerie. Mentionné à Genève à la fin du XVIIIe siècle. | Horlogerie. Mentionné à Genève à la fin du XVIIIe siècle. | ||
RILLIET THÉODORE | RILLIET THÉODORE | ||
Apprenti "faiseur" de boîtes, à Genève, chez Jaques Chevallier en 1679. | Apprenti "faiseur" de boîtes, à Genève, chez Jaques Chevallier en 1679. | ||
RIMOND | RIMOND | ||
Horloger-repasseur. Mentionné à Genève en 1835. | Horloger-repasseur. Mentionné à Genève en 1835. | ||
RISSÉE CHARLES | RISSÉE CHARLES | ||
Artiste doreur à Neuchâtel en 1815. | Artiste doreur à Neuchâtel en 1815. | ||
RISSOT JOHN | RISSOT JOHN | ||
Peintre sur émail, vers 1889. Mentionné à Genève de 1900 à 1915. | Peintre sur émail, vers 1889. Mentionné à Genève de 1900 à 1915. | ||
RITTEL ANDRÉ | RITTEL ANDRÉ | ||
Maître "faiseur" de ressorts de montres à Genève. Associé avec Abraham Joly en 1672 et 1673. Forme Sigismond Delafeuille en 1687. | Maître "faiseur" de ressorts de montres à Genève. Associé avec Abraham Joly en 1672 et 1673. Forme Sigismond Delafeuille en 1687. | ||
RITTEL JAQUES | RITTEL JAQUES | ||
Maître horloger. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIe siècle. Apprenti chez David Lecoq en 1662. Forme Abraham Joly en 1679. Travaille avec Jean-Antoine Dechoudens (maître et marchand horloger) en 1680. | Maître horloger. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIe siècle. Apprenti chez David Lecoq en 1662. Forme Abraham Joly en 1679. Travaille avec Jean-Antoine Dechoudens (maître et marchand horloger) en 1680. | ||
RITTER JEAN-LOUIS | RITTER JEAN-LOUIS | ||
Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1754-1790. | Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1754-1790. | ||
RIVAL (RIVAZ) JEAN | RIVAL (RIVAZ) JEAN | ||
Apprenti horloger à Genève chez David Liège en 1698 et chez David Homel en 1700. | Apprenti horloger à Genève chez David Liège en 1698 et chez David Homel en 1700. | ||
RIVAL ABEL | RIVAL ABEL | ||
Maître orfèvre. Mentionné à Genève au milieu du XVIIe siècle. Boîtes de montres. | Maître orfèvre. Mentionné à Genève au milieu du XVIIe siècle. Boîtes de montres. | ||
RIVAL ANTOINE-LOUIS | RIVAL ANTOINE-LOUIS | ||
Maître horloger. Mentionné à Genève en 1770-1790. | Maître horloger. Mentionné à Genève en 1770-1790. | ||
RIVAL CLOD | RIVAL CLOD | ||
Maître horloger. Mentionné à Genève dans la première moitié du XVIIe siècle. | Maître horloger. Mentionné à Genève dans la première moitié du XVIIe siècle. | ||
RIVAL DAVID | RIVAL DAVID | ||
Maître "faiseur" de boîtes de montres. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIe siècle. | Maître "faiseur" de boîtes de montres. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIe siècle. | ||
RIVAL JEAN-JACQUES | RIVAL JEAN-JACQUES | ||
Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1775-1791. | Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1775-1791. | ||
RIVAL JEAN-JACQUES-ANTOINE-LOUIS | RIVAL JEAN-JACQUES-ANTOINE-LOUIS | ||
Né à Genève. Fils de David. Horloger. Reçu habitant de Genève en 1785. | Né à Genève. Fils de David. Horloger. Reçu habitant de Genève en 1785. | ||
RIVAL LOUIS | RIVAL LOUIS | ||
Maître horloger à Genève. Apprenti chez David Liège en 1698 et en 1700 chez David Homel. | Maître horloger à Genève. Apprenti chez David Liège en 1698 et en 1700 chez David Homel. | ||
RIVAL PAUL | RIVAL PAUL | ||
Maître "faiseur" de boîtes de montres à Genève. Apprenti orfèvre chez Legrand Roy en 1671. | Maître "faiseur" de boîtes de montres à Genève. Apprenti orfèvre chez Legrand Roy en 1671. | ||
RIVAL PAUL-LOUIS | RIVAL PAUL-LOUIS | ||
Né à Genève. Fils de Jean-Louis. Maître orfèvre. Reçu habitant de Genève, avec ses quatre fils, en 1783. | Né à Genève. Fils de Jean-Louis. Maître orfèvre. Reçu habitant de Genève, avec ses quatre fils, en 1783. | ||
RIVARD CLAUDE | RIVARD CLAUDE | ||
Maître orfèvre. Mentionné à Genève dans la première moitié du XVIIe siècle. Boîtes de montres. Forme Abraham Planchamp en 1624; Jérémie Bardin en 1628 et Georges Foex en 1630. | Maître orfèvre. Mentionné à Genève dans la première moitié du XVIIe siècle. Boîtes de montres. Forme Abraham Planchamp en 1624; Jérémie Bardin en 1628 et Georges Foex en 1630. | ||
RIVE DE LA AUGUSTE | RIVE DE LA AUGUSTE | ||
Physicien à Genève. Invente le procédé de dorure galvanique en 1842. | Physicien à Genève. Invente le procédé de dorure galvanique en 1842. | ||
ROBERT ABEL | ROBERT ABEL | ||
Présente en 1740 à la Communauté de la Brévine un plan d'horloge neuve qui ne fut pas accepté. | Présente en 1740 à la Communauté de la Brévine un plan d'horloge neuve qui ne fut pas accepté. | ||
ROBERT ABRAM | ROBERT ABRAM | ||
De Renan (Suisse). Ébéniste et peintre, fait des boîtes de pendules. Cité de 1728 à 1744. | De Renan (Suisse). Ébéniste et peintre, fait des boîtes de pendules. Cité de 1728 à 1744. | ||
ROBERT ABRAM | ROBERT ABRAM | ||
Fils de Joseph, juré. Associé en 1750 de Jean-Pierre Droz; achète à cette date des cabinets de pendules à Abram-Louis Sandoz. Prend en 1754 Daniel Calante comme apprenti. | Fils de Joseph, juré. Associé en 1750 de Jean-Pierre Droz; achète à cette date des cabinets de pendules à Abram-Louis Sandoz. Prend en 1754 Daniel Calante comme apprenti. | ||
ROBERT ABRAM | ROBERT ABRAM | ||
Émailleur à La Chaux-de-Fonds. Fournit des cadrans de pendules à J. Robert et fils et Cie en 1784. | Émailleur à La Chaux-de-Fonds. Fournit des cadrans de pendules à J. Robert et fils et Cie en 1784. | ||
ROBERT ABRAM-LOUIS | ROBERT ABRAM-LOUIS | ||
Fils de Moïse. Maître pendulier à La Chaux-de-Fonds, mentionné de 1756 à 1787. Achète en 1756 des cabinets de pendules à Sandoz. Plusieurs pendules style Louis XV et Louis XVI signées A. L. R. | Fils de Moïse. Maître pendulier à La Chaux-de-Fonds, mentionné de 1756 à 1787. Achète en 1756 des cabinets de pendules à Sandoz. Plusieurs pendules style Louis XV et Louis XVI signées A. L. R. | ||
ROBERT AIMÉ | ROBERT AIMÉ | ||
Né en 1758, mort le 3 août 1834, fils du capitaine Louis-Benjamin et de Charlotte Sandoz, époux de Charlotte Droz-dit-Busset. Fit partie de la maison J. Robert et fils et Cie depuis 1787. Il n'est plus mentionné parmi les associés à partir de 1811. Avait comme spécialité de piquer les cylindres des carillons de pendules. | Né en 1758, mort le 3 août 1834, fils du capitaine Louis-Benjamin et de Charlotte Sandoz, époux de Charlotte Droz-dit-Busset. Fit partie de la maison J. Robert et fils et Cie depuis 1787. Il n'est plus mentionné parmi les associés à partir de 1811. Avait comme spécialité de piquer les cylindres des carillons de pendules. | ||
ROBERT ANDRÉ | ROBERT ANDRÉ | ||
Mentionné comme artiste à La Chaux-de-Fonds, ayant fait de remarquables pendules. | Mentionné comme artiste à La Chaux-de-Fonds, ayant fait de remarquables pendules. | ||
ROBERT AUGUSTIN | ROBERT AUGUSTIN | ||
Né en 1802, mort en 1859, fils de Charles-Auguste. Pendulier d'abord aux Ëplatures Bonne Fontaine, puis à La Chaux-de-Fonds. Finit ses jours à Cortaillod. De 1841 à 1846 Alphonse-Henri Borel lui envoie 411 cadratures et Dubois lui livre de nombreux cabinets. | Né en 1802, mort en 1859, fils de Charles-Auguste. Pendulier d'abord aux Ëplatures Bonne Fontaine, puis à La Chaux-de-Fonds. Finit ses jours à Cortaillod. De 1841 à 1846 Alphonse-Henri Borel lui envoie 411 cadratures et Dubois lui livre de nombreux cabinets. | ||
ROBERT CHARLES | ROBERT CHARLES | ||
Fabricant de ressorts de montres et de pendules à La Chaux-de-Fonds. Cité de 1834 à 1836. | Fabricant de ressorts de montres et de pendules à La Chaux-de-Fonds. Cité de 1834 à 1836. | ||
ROBERT DAVID LÂ'AÎNÉ | ROBERT DAVID LÂ'AÎNÉ | ||
Capitaine, né en 1717, enterré le 19 mars 1769, fils de Josué, frère de Louis Benjamin, époux de Suzanne Jaquet Droz, soeur de Pierre. "Très expert horloger". En relations avec Pierre Jaquet-Droz et Abraham-Louis Sandoz. Cité en 1764 comme faisant construire par un grand nombre d'ouvriers toutes sortes de pendules curieuses. Nombreuses pendules Louis XIV et Louis XV signées « Robert l'aîné ». | Capitaine, né en 1717, enterré le 19 mars 1769, fils de Josué, frère de Louis Benjamin, époux de Suzanne Jaquet Droz, soeur de Pierre. "Très expert horloger". En relations avec Pierre Jaquet-Droz et Abraham-Louis Sandoz. Cité en 1764 comme faisant construire par un grand nombre d'ouvriers toutes sortes de pendules curieuses. Nombreuses pendules Louis XIV et Louis XV signées « Robert l'aîné ». | ||
ROBERT FRÉDÉRIC | ROBERT FRÉDÉRIC | ||
Fils d'Abram. Reçoit en 1757 Lettre d'apprentissage de Jean-Pierre Du commun-dit-Boudry, pendulier. Sa maison de la Joux-Perret brûle complètement et il obtient en janvier 1786 de la Communauté de La Chaux-de-Fonds l'autorisation de faire une quête. | Fils d'Abram. Reçoit en 1757 Lettre d'apprentissage de Jean-Pierre Du commun-dit-Boudry, pendulier. Sa maison de la Joux-Perret brûle complètement et il obtient en janvier 1786 de la Communauté de La Chaux-de-Fonds l'autorisation de faire une quête. | ||
ROBERT JACQUES | ROBERT JACQUES | ||
Horloger. Répare en 1716 l'horloge de Cortaillod dont il est habitant en 1722. | Horloger. Répare en 1716 l'horloge de Cortaillod dont il est habitant en 1722. | ||
ROBERT JOSUÉ | ROBERT JOSUÉ | ||
Né en 1691, enterré le 1er mai 1771, fils de David, époux de Madelaine Robert-Nicoud, puis de Anne-Marie Humbert-Droz; père des capitaines David et Louis-Benjamin et de Jonas-Pierre, maire de La Chaux-de-Fonds. Une de ses nièces avait épousé Abram-Louis Sandoz et devint la belle-mère de Pierre Jaquet-Droz. Pendulier à La Chaux-de-Fonds, jouissant d'une grande considération. Horloger du roi depuis 1725. A comme apprentis Abram Sandoz et Abram Du Pasquier en 1739 et comme ouvrier Jacques Vuillaine en 1730. Reçoit des cabinets d'Abram-Louis Sandoz, en fait venir d'autres de Paris. Fondateur de la maison J. Robert et fils. Dans le canton et à l'étranger, un grand nombre de pendules signées. | Né en 1691, enterré le 1er mai 1771, fils de David, époux de Madelaine Robert-Nicoud, puis de Anne-Marie Humbert-Droz; père des capitaines David et Louis-Benjamin et de Jonas-Pierre, maire de La Chaux-de-Fonds. Une de ses nièces avait épousé Abram-Louis Sandoz et devint la belle-mère de Pierre Jaquet-Droz. Pendulier à La Chaux-de-Fonds, jouissant d'une grande considération. Horloger du roi depuis 1725. A comme apprentis Abram Sandoz et Abram Du Pasquier en 1739 et comme ouvrier Jacques Vuillaine en 1730. Reçoit des cabinets d'Abram-Louis Sandoz, en fait venir d'autres de Paris. Fondateur de la maison J. Robert et fils. Dans le canton et à l'étranger, un grand nombre de pendules signées. | ||
ROBERT LOUIS | ROBERT LOUIS | ||
Pendulier, reçoit des cabinets de Charles-Frédéric Dubois de 1824 à 1830. Dubois envoie en 1830 deux cabinets à un Robert, d'Espagne. Quelques pièces à sonneries des quarts signées. | Pendulier, reçoit des cabinets de Charles-Frédéric Dubois de 1824 à 1830. Dubois envoie en 1830 deux cabinets à un Robert, d'Espagne. Quelques pièces à sonneries des quarts signées. | ||
ROBERT LOUIS-BENJAMIN | ROBERT LOUIS-BENJAMIN | ||
Le capitaine, né le 3o avril 1732, enterré le 19 mars 1781 à La Chaux-de-Fonds, fils de Josué, frère de David, époux de Charlotte, fille d'Abraham-Louis Sandoz-Gendre. Pendulier réputé, associé de son père puis de Louis Courvoisier avec lequel il fonde la maison J. Robert et fils et Cie. A comme apprenti Jacques Molantzia en 1760 ; dans la suite occupe de très nombreux ouvriers. | Le capitaine, né le 3o avril 1732, enterré le 19 mars 1781 à La Chaux-de-Fonds, fils de Josué, frère de David, époux de Charlotte, fille d'Abraham-Louis Sandoz-Gendre. Pendulier réputé, associé de son père puis de Louis Courvoisier avec lequel il fonde la maison J. Robert et fils et Cie. A comme apprenti Jacques Molantzia en 1760 ; dans la suite occupe de très nombreux ouvriers. | ||
ROBERT PIERRE | ROBERT PIERRE | ||
Né en 1758 à Genève. Horloger. | Né en 1758 à Genève. Horloger. | ||
ROBERT PIERRE-LOUIS | ROBERT PIERRE-LOUIS | ||
Fils de Joseph-Henri. Auvernier, comté de Neuchâtel (Suisse). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1768. | Fils de Joseph-Henri. Auvernier, comté de Neuchâtel (Suisse). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1768. | ||
ROBERT THÉODORE | ROBERT THÉODORE | ||
décédé en avril 1775. Sa veuve est citée jusqu'en 1779, fille du notaire David, père d'Henri. Pendulier expert, mentionné parfois comme négociant. Cité de 1745 et 1768 dans le Rôle de La Chaux-de-Fonds. Ami des Jaquet-Droz. Reçoit de 1750 à 1757 des cabinets de pendules de Sandoz. | décédé en avril 1775. Sa veuve est citée jusqu'en 1779, fille du notaire David, père d'Henri. Pendulier expert, mentionné parfois comme négociant. Cité de 1745 et 1768 dans le Rôle de La Chaux-de-Fonds. Ami des Jaquet-Droz. Reçoit de 1750 à 1757 des cabinets de pendules de Sandoz. | ||
ROBERT ULISSE | ROBERT ULISSE | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1862. | Horloger. Mentionné à Genève en 1862. | ||
ROBERT-TISSOT ABRAM | ROBERT-TISSOT ABRAM | ||
Notaire et horloger au Locle en 1630. | Notaire et horloger au Locle en 1630. | ||
ROBERT-TISSOT GUSTAVE | ROBERT-TISSOT GUSTAVE | ||
Né en 1804. Cité pendulier à La Chaux-de-Fonds de 1825 à 1828. | Né en 1804. Cité pendulier à La Chaux-de-Fonds de 1825 à 1828. | ||
ROBIN A.-L. | ROBIN A.-L. | ||
Fabricant et marchand d'horlogerie en tous genres. Mentionné à Genève vers 1870. | Fabricant et marchand d'horlogerie en tous genres. Mentionné à Genève vers 1870. | ||
ROCH & CIE. | ROCH & CIE. | ||
Fabricants et marchands d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828. | Fabricants et marchands d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828. | ||
ROCH GEORGES | ROCH GEORGES | ||
Mentionné à Genève en 1840-1860 environ. Montres en tous genres. Utilise l'échappement à ancre latérale avec balancier compensé. | Mentionné à Genève en 1840-1860 environ. Montres en tous genres. Utilise l'échappement à ancre latérale avec balancier compensé. | ||
ROCH JOSEPH | ROCH JOSEPH | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1860 et 1866. | Horloger. Mentionné à Genève en 1860 et 1866. | ||
ROCH LEWIS OU LOUIS | ROCH LEWIS OU LOUIS | ||
Fin du XVIIIe, début du XIXe siècle à Genève. Montres simples et compliquées, mouvements classiques et calibre Lépine, montres de bonne qualité en or trois couleurs et émail. | Fin du XVIIIe, début du XIXe siècle à Genève. Montres simples et compliquées, mouvements classiques et calibre Lépine, montres de bonne qualité en or trois couleurs et émail. | ||
ROCH LOUIS-JOSEPH | ROCH LOUIS-JOSEPH | ||
Fils naturel de feu Louis, citoyen. Monteur de boîtes. Reçu habitant de Genève en 1776. | Fils naturel de feu Louis, citoyen. Monteur de boîtes. Reçu habitant de Genève en 1776. | ||
ROCHAT | ROCHAT | ||
Emboîteur. Mentionné à Genève vers 1909. | Emboîteur. Mentionné à Genève vers 1909. | ||
ROCHAT & JOSSEAUME | ROCHAT & JOSSEAUME | ||
Fabricants horlogers. Mentionnés à Genève en 1829. | Fabricants horlogers. Mentionnés à Genève en 1829. | ||
ROCHAT & MEYLAN | ROCHAT & MEYLAN | ||
Horlogers. Mentionnés à Genève vers 1815. | Horlogers. Mentionnés à Genève vers 1815. | ||
ROCHAT & NICOLE | ROCHAT & NICOLE | ||
Fabricants de pièces à musique. Mentionnés à Genève en 1835. | Fabricants de pièces à musique. Mentionnés à Genève en 1835. | ||
ROCHAT A.-F. | ROCHAT A.-F. | ||
Mentionné à Genève entre 1830-1861. Oiseaux chanteurs. Fabricant d'horlogerie diverse. | Mentionné à Genève entre 1830-1861. Oiseaux chanteurs. Fabricant d'horlogerie diverse. | ||
ROCHAT AMI | ROCHAT AMI | ||
Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1844. | Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1844. | ||
ROCHAT AMI FILS | ROCHAT AMI FILS | ||
Fabricants d'horlogerie et marchand. Mentionnés à Genève en 1857. | Fabricants d'horlogerie et marchand. Mentionnés à Genève en 1857. | ||
ROCHAT CHARLES-DAVID | ROCHAT CHARLES-DAVID | ||
(Genève 1834-1879). Fils de Jean-Louis. "Etablisseur" d'horlogerie. Continue la fabrique de son père. | (Genève 1834-1879). Fils de Jean-Louis. "Etablisseur" d'horlogerie. Continue la fabrique de son père. | ||
ROCHAT F.-P. | ROCHAT F.-P. | ||
Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828-1831. | Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828-1831. | ||
ROCHAT FRANÇOIS | ROCHAT FRANÇOIS | ||
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1857-1860. | Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1857-1860. | ||
ROCHAT FRERES | ROCHAT FRERES | ||
Amy Napoléon et Louis. Fabricants d'horlogerie et mécaniciens. Mentionnés à Genève en 1810-1835. Parmi les meilleurs horlogers et mécaniciens genevois de la fin du XVIIIe siècle et du premier tiers du XIXe siècle. Très doués, apprentis chez leur père Pierre Rochat "Chez Meilland" au Brassus. Horlogers chez J. Droz et Leschot, deviennent rapidement les meilleurs dans la construction des mécaniques compliquées des oiseaux chanteurs et montres à automates. Perfectionnent la mécanique des oiseaux chanteurs avec un plus grand nombre de cames qui donne un mouvement plus naturel au petit automate, ainsi que les tiges à piston qui améliorent le solfège. Leurs oeuvres comportent souvent des montres, boîtes en or trois couleurs, émail peint, perles et pierres. Leurs montres étaient souvent décorées par des artistes tels que George Reymond, Adam, Lissignol et Richter. Ils utilisent le poinçon F.R. dans un losange. | Amy Napoléon et Louis. Fabricants d'horlogerie et mécaniciens. Mentionnés à Genève en 1810-1835. Parmi les meilleurs horlogers et mécaniciens genevois de la fin du XVIIIe siècle et du premier tiers du XIXe siècle. Très doués, apprentis chez leur père Pierre Rochat "Chez Meilland" au Brassus. Horlogers chez J. Droz et Leschot, deviennent rapidement les meilleurs dans la construction des mécaniques compliquées des oiseaux chanteurs et montres à automates. Perfectionnent la mécanique des oiseaux chanteurs avec un plus grand nombre de cames qui donne un mouvement plus naturel au petit automate, ainsi que les tiges à piston qui améliorent le solfège. Leurs oeuvres comportent souvent des montres, boîtes en or trois couleurs, émail peint, perles et pierres. Leurs montres étaient souvent décorées par des artistes tels que George Reymond, Adam, Lissignol et Richter. Ils utilisent le poinçon F.R. dans un losange. | ||
ROCHAT H.-M.-S. | ROCHAT H.-M.-S. | ||
Établisseur. Mentionné à Genève en 1870. | Établisseur. Mentionné à Genève en 1870. | ||
ROCHAT HENRI | ROCHAT HENRI | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1860-1861. | Horloger. Mentionné à Genève en 1860-1861. | ||
ROCHAT J.-L. | ROCHAT J.-L. | ||
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828. | Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828. | ||
ROCHAT JEAN-MARC-DAVID | ROCHAT JEAN-MARC-DAVID | ||
Fils de David Rolle (Suisse). Maître horloger. 1775-1791. Reçu habitant de Genève, avec son fils David-Jean, en 1790. S'associe avec Alexandre Ami Monnier en 1789. | Fils de David Rolle (Suisse). Maître horloger. 1775-1791. Reçu habitant de Genève, avec son fils David-Jean, en 1790. S'associe avec Alexandre Ami Monnier en 1789. | ||
ROCHAT JULES | ROCHAT JULES | ||
Représentant de L. Audemars. Mentionné à Genève en 1835. Horlogerie en blanc de La Vallée de Joux: mouvements, répétitions, échappements, duplex à ancres, à ressort, balanciers compensés et compensateurs. Cette maison se charge des calibres pour les pièces compliquées. | Représentant de L. Audemars. Mentionné à Genève en 1835. Horlogerie en blanc de La Vallée de Joux: mouvements, répétitions, échappements, duplex à ancres, à ressort, balanciers compensés et compensateurs. Cette maison se charge des calibres pour les pièces compliquées. | ||
ROCHAT LOUIS | ROCHAT LOUIS | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1860. | Horloger. Mentionné à Genève en 1860. | ||
ROCHAT LOUIS | ROCHAT LOUIS | ||
Etablisseur d'horlogerie Mentionné à Genève de 1828 à 1831. Construit en 1829 une pendule très compliquée qui lui vaut un diplôme de la "Réunion des Industriels" à Genève. Spécialisé dans les montres-pendentifs, plates, à savonnette ou cabriolet, décorées d'émail champlevé et d'émail peint. Utilise des mouvements à échappement à cylindre. | Etablisseur d'horlogerie Mentionné à Genève de 1828 à 1831. Construit en 1829 une pendule très compliquée qui lui vaut un diplôme de la "Réunion des Industriels" à Genève. Spécialisé dans les montres-pendentifs, plates, à savonnette ou cabriolet, décorées d'émail champlevé et d'émail peint. Utilise des mouvements à échappement à cylindre. | ||
ROCHAT PAUL-MARC | ROCHAT PAUL-MARC | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1861. | Horloger. Mentionné à Genève en 1861. | ||
ROCHAT PHILIBERT-F. | ROCHAT PHILIBERT-F. | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1860. | Horloger. Mentionné à Genève en 1860. | ||
ROCHAT-36 | ROCHAT-36 | ||
Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828-1835. | Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828-1835. | ||
ROCHAT-BELLANY PAUL-MARC | ROCHAT-BELLANY PAUL-MARC | ||
Fabricants et marchands d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1860-1862. | Fabricants et marchands d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1860-1862. | ||
ROCHAT-CURTIN | ROCHAT-CURTIN | ||
Etablisseurs d'horlogerie. Mentionnés à Genève en 1828-1831. | Etablisseurs d'horlogerie. Mentionnés à Genève en 1828-1831. | ||
ROCHAT-HEUNISCH SAMUEL | ROCHAT-HEUNISCH SAMUEL | ||
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1857-1874. | Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1857-1874. | ||
ROCHAT-MAGNADON (MAGUIADAS) | ROCHAT-MAGNADON (MAGUIADAS) | ||
Horlogerie. Mentionné à Genève vers 1835. | Horlogerie. Mentionné à Genève vers 1835. | ||
ROCHAT-YERSIN | ROCHAT-YERSIN | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1835. | Horloger. Mentionné à Genève en 1835. | ||
ROCHE & CIE. | ROCHE & CIE. | ||
Fabricants d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1830-1835. | Fabricants d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1830-1835. | ||
ROCHELLE AMY | ROCHELLE AMY | ||
Graveur. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIIe siècle. | Graveur. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIIe siècle. | ||
ROCHETEAU JACOB | ROCHETEAU JACOB | ||
Maître horloger à Genève. Forme Claude Tomegay (Thomeguex) en 1698. | Maître horloger à Genève. Forme Claude Tomegay (Thomeguex) en 1698. | ||
ROCHETTE AMI | ROCHETTE AMI | ||
Né à Genève, en 1747. Graveur. | Né à Genève, en 1747. Graveur. | ||
ROCHEVALIER | ROCHEVALIER | ||
Horlogerie. Mentionné à Genève en 1835-1844. | Horlogerie. Mentionné à Genève en 1835-1844. | ||
ROCHEVALIER D. | ROCHEVALIER D. | ||
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1866. | Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1866. | ||
ROCHEVALIER FILS | ROCHEVALIER FILS | ||
Horlogers. Mentionné à Genève en 1860. | Horlogers. Mentionné à Genève en 1860. | ||
ROCHEVALIER PAUL | ROCHEVALIER PAUL | ||
Fils d'Isaac. Originaire du Gévaudan (France). Orfèvre. Reçu habitant de Genève en 1763. | Fils d'Isaac. Originaire du Gévaudan (France). Orfèvre. Reçu habitant de Genève en 1763. | ||
ROCHTY HENRI | ROCHTY HENRI | ||
Horloger. Mentionné à Genève au milieu du XIXe siècle. Montres en argent guilloché, galonné et niellé. Dépose, le 27 janvier 1874, un brevet pour un nouveau calibre de mouvement. | Horloger. Mentionné à Genève au milieu du XIXe siècle. Montres en argent guilloché, galonné et niellé. Dépose, le 27 janvier 1874, un brevet pour un nouveau calibre de mouvement. | ||
RODANET ALFRED | RODANET ALFRED | ||
De 1840 à 1888. Fils de Julien Hilaire. Horloger à Santiago, il est mort très jeune au Chili. | De 1840 à 1888. Fils de Julien Hilaire. Horloger à Santiago, il est mort très jeune au Chili. | ||
RODANET AUGUSTE HILAIRE | RODANET AUGUSTE HILAIRE | ||
Fils de Julien Hilaire Rodanet et oncle de Henri Rodanet. Né le 5 juin 1837 à Rochefort. Genève et Paris. Horloger et marchand, agent de Patek Philippe en France, il fut également maire du 2ème arrondissement de Paris. Il exposa, en 1867, des montres de Genève et des chronomètres de son père. Il invente un échappement à ancre en ligne droite et un échappement à ancre latérale sans repos équidistants en 1887. Il s'installa rue Vivienne en 1870. En 1890, il déposa la marque "Horlogerie Rodanet de Paris". Il mourut à 70 ans en 1907. La maison de la rue Vivienne passa à Doffe successeurs de Margaine, puis à Madame Sanselme vers 1928, laquelle épousa M. Michel en 1937. En 1948, à la mort de Mme Michel, une société composée de M. Michel et de sa fille reprit l'affaire. | Fils de Julien Hilaire Rodanet et oncle de Henri Rodanet. Né le 5 juin 1837 à Rochefort. Genève et Paris. Horloger et marchand, agent de Patek Philippe en France, il fut également maire du 2ème arrondissement de Paris. Il exposa, en 1867, des montres de Genève et des chronomètres de son père. Il invente un échappement à ancre en ligne droite et un échappement à ancre latérale sans repos équidistants en 1887. Il s'installa rue Vivienne en 1870. En 1890, il déposa la marque "Horlogerie Rodanet de Paris". Il mourut à 70 ans en 1907. La maison de la rue Vivienne passa à Doffe successeurs de Margaine, puis à Madame Sanselme vers 1928, laquelle épousa M. Michel en 1937. En 1948, à la mort de Mme Michel, une société composée de M. Michel et de sa fille reprit l'affaire. | ||
En 1909, la maison Saintesprit, de Besançon, déposa la marque "A.H.Rodanet, Doffe, et Cs. Besançon-Paris". | En 1909, la maison Saintesprit, de Besançon, déposa la marque "A.H.Rodanet, Doffe, et Cs. Besançon-Paris". | ||
RODANET HENRI | RODANET HENRI | ||
De 1884 à 1956. Petit-fils de Julien Hilaire Rodanet, et fils d'Alfred Rodanet. Orphelin de père et de mère à 7 ans, il surmonte les difficultés de sa situation isolée, et est reçu à l'Ecole d'horlogerie de Paris, qu'il termine premier de sa promotion. H. Rodanet devient en 1902 le collaborateur d'Edmond Jaeger. Déjà à cette époque, le jeune horloger se fait remarquer par ses dons exceptionnels et ne tarde pas à prendre la direction technique de l'entreprise Jaeger. | De 1884 à 1956. Petit-fils de Julien Hilaire Rodanet, et fils d'Alfred Rodanet. Orphelin de père et de mère à 7 ans, il surmonte les difficultés de sa situation isolée, et est reçu à l'Ecole d'horlogerie de Paris, qu'il termine premier de sa promotion. H. Rodanet devient en 1902 le collaborateur d'Edmond Jaeger. Déjà à cette époque, le jeune horloger se fait remarquer par ses dons exceptionnels et ne tarde pas à prendre la direction technique de l'entreprise Jaeger. | ||
Строка 547: | Строка 796: | ||
En avril 1946, Henri Rodanet est nommé président du conseil d'administration de l'entreprise qui, entre temps, est devenue une Société anonyme. | En avril 1946, Henri Rodanet est nommé président du conseil d'administration de l'entreprise qui, entre temps, est devenue une Société anonyme. | ||
Technicien de génie, n'a-t-il pas pris ou fait prendre plus de 500 brevets ? H. Rodanet était aussi un artiste qui attachait autant d'importance à la pureté des lignes d'un modèle qu'à ses qualités de précision et un industriel avisé qui a su mener l'entreprise qu'il dirigeait vers le succès, malgré les difficultés sans nombre qu'il devait surmonter. | Technicien de génie, n'a-t-il pas pris ou fait prendre plus de 500 brevets ? H. Rodanet était aussi un artiste qui attachait autant d'importance à la pureté des lignes d'un modèle qu'à ses qualités de précision et un industriel avisé qui a su mener l'entreprise qu'il dirigeait vers le succès, malgré les difficultés sans nombre qu'il devait surmonter. | ||
RODANET JULIEN-HILAIRE | RODANET JULIEN-HILAIRE | ||
Né à Rochefort en 1810. Il fit son apprentissage chez Merceron, chronométrier à Angoulème. A 16 ans, il vint à Paris, s'y lia avec Winnerl et resta jusqu'en 1837. Puis revint à Rochefort. En 1839, il créa une école où il forma 40 élèves jusqu'en 1849, les élèves formés se dirigeant vers l'Arsenal. En 1844, il présenta des montres à cylindre et à ancre, oeuvres de ses pupilles. En 1849, il exposait un chronomètre, ce qui lui valut une médaille d'argent. Il se consacra alors à cette fabrication avec 25 pupilles fournis par le département. L'exposition de 1855 lui valut une médaille de 1ère classe, celle de 1864, à Bayonne, un diplôme d'honneur et la Croix. En 1866, il abandonna l'horlogerie et se retira à Rochefort où il mourut en 1884. En 1886, parut son "Horlogerie astronomique et civile". | Né à Rochefort en 1810. Il fit son apprentissage chez Merceron, chronométrier à Angoulème. A 16 ans, il vint à Paris, s'y lia avec Winnerl et resta jusqu'en 1837. Puis revint à Rochefort. En 1839, il créa une école où il forma 40 élèves jusqu'en 1849, les élèves formés se dirigeant vers l'Arsenal. En 1844, il présenta des montres à cylindre et à ancre, oeuvres de ses pupilles. En 1849, il exposait un chronomètre, ce qui lui valut une médaille d'argent. Il se consacra alors à cette fabrication avec 25 pupilles fournis par le département. L'exposition de 1855 lui valut une médaille de 1ère classe, celle de 1864, à Bayonne, un diplôme d'honneur et la Croix. En 1866, il abandonna l'horlogerie et se retira à Rochefort où il mourut en 1884. En 1886, parut son "Horlogerie astronomique et civile". | ||
RODET | RODET | ||
Londres et Genève. Signe une montre oignon, en argent et émail, à faux pendule. Vers 1700. | Londres et Genève. Signe une montre oignon, en argent et émail, à faux pendule. Vers 1700. | ||
RODON (DE) JEAN | RODON (DE) JEAN | ||
Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève vers 1785. | Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève vers 1785. | ||
ROECK LEON | ROECK LEON | ||
Deuxième quart du XXe siècle. Horloger, ancien régleur de la Maison Patek, Philippe & Cie. Construit quelques pièces très soignées utilisant des ébauches de l'Ecole d'Horlogerie de Genève. | Deuxième quart du XXe siècle. Horloger, ancien régleur de la Maison Patek, Philippe & Cie. Construit quelques pièces très soignées utilisant des ébauches de l'Ecole d'Horlogerie de Genève. | ||
ROESGEN A. & CIE. | ROESGEN A. & CIE. | ||
Horlogers. Mentionné à Genève en 1924. | Horlogers. Mentionné à Genève en 1924. | ||
ROESGEN A. & CIE. | ROESGEN A. & CIE. | ||
Horlogers. Mentionnés à Genève en 1907. Succèdent à A. Glaton en 1909. | Horlogers. Mentionnés à Genève en 1907. Succèdent à A. Glaton en 1909. | ||
ROFFIER ABRAHAM | ROFFIER ABRAHAM | ||
Maître orfèvre. Mentionné à Genève dans la première moitié du XVIIe siècle. Boîtes de montres. | Maître orfèvre. Mentionné à Genève dans la première moitié du XVIIe siècle. Boîtes de montres. | ||
ROGER | ROGER | ||
Paris. Horloger du Roi et de la ville en 1537. | Paris. Horloger du Roi et de la ville en 1537. | ||
ROGER FRANÇOIS | ROGER FRANÇOIS | ||
Rouen. Gouverneur du gros Horloge, 1592-1596 | Rouen. Gouverneur du gros Horloge, 1592-1596 | ||
ROGER | ROGER | ||
Horloger. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XIXe siècle. | Horloger. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XIXe siècle. | ||
ROGET JACOB | ROGET JACOB | ||
Maître horloger. Mentionné à Genève dans la première moitié du XVIIe siècle. | Maître horloger. Mentionné à Genève dans la première moitié du XVIIe siècle. | ||
ROGET JAQUES | ROGET JAQUES | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1728-1768. | Horloger. Mentionné à Genève en 1728-1768. | ||
ROGIER ET CIE | ROGIER ET CIE | ||
A Paris. Invente et expose des réveils en 1839. | A Paris. Invente et expose des réveils en 1839. | ||
ROJARD | ROJARD | ||
Horloger. Mentionné à Genève à la fin du XVIIIe, début du XIXe siècle. Montres à répétition avec mouvement de style anglais. | Horloger. Mentionné à Genève à la fin du XVIIIe, début du XIXe siècle. Montres à répétition avec mouvement de style anglais. | ||
ROJARD JACQUES | ROJARD JACQUES | ||
(1696-1780). Fils de François. Gingins, bailliage de Beaumont (Suisse). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1739. | (1696-1780). Fils de François. Gingins, bailliage de Beaumont (Suisse). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1739. | ||
ROJARD JEAN-DANIEL | ROJARD JEAN-DANIEL | ||
Fils de Jacques. Gingins, bailliage de Beaumont (Suisse). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1749. | Fils de Jacques. Gingins, bailliage de Beaumont (Suisse). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1749. | ||
ROJOUX | ROJOUX | ||
Horloger-repasseur. Mentionné à Genève en 1835. | Horloger-repasseur. Mentionné à Genève en 1835. | ||
ROJOUX J.-L. | ROJOUX J.-L. | ||
Horloger. Mentionné à Genève. | Horloger. Mentionné à Genève. | ||
ROJOUX LUC-H. | ROJOUX LUC-H. | ||
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1869. | Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1869. | ||
ROLEX | ROLEX | ||
Marque déposée le 2 juillet 1908 par Hans Wildorf. Considérée aujourd'hui comme un véritable phénomène social du XXe siècle. Né le 22 mars 1881 en Bavière, d'une famille protestante, Hans Wildsdorf est orphelin à l'âge de 12 ans. Il fut élevé par son oncle et sa tante. Etudiant, il s'intéresse particulièrement aux mathématiques et aux langues. Ses prédispositions l'amèneront rapidement à voyager et travailler dans des pays étrangers. Tout d'abord apprenti au sein d'une importante entreprise internationale d'export spécialisée dans les perles de culture, puis correspondant anglais employé chez Cuno Koutten à La-Chaux-de-Fonds en 1900, entreprise leader en fabrication de montres de tous types, il acquiert pendant ces années, au contact du monde horloger suisse et international, de nombreux concepts techniques et commerciaux dont il se servira plus tard. Dans un contexte très favorable aux idées nouvelles, à l'aube de la naissance de la montre-bracelet, Hans Wilsdorf s'installe à Londres en 1903 en tant qu'employé d'un revendeur de montres et horloges. En 1905, à l'âge de 24 ans, il décide de fonder sa propre entreprise. à cette date, Hans Wildorf, n'imaginait sans doute pas la taille qu'aurait la manufacture Rolex 100 ans plus tard. Cependant, en faisant évoluer les concepts de fabrication d'horlogerie dans le monde entier grâce à sa vision stratégique placée sous le signe de la créativité et du renouveau technologique, il y contribua largement. La principale exigence requise par les montres Rolex est la précision, ainsi que le confirme l'obtention de nombreux certificats de précision délivrés par les quatre bureaux de contrôle de chronomètrie attestant la maîtrise de ce critère de fabrication. La practicité des chronomètres fit aussi partie des exigences, c'est ainsi qu'Hans Wildorf lança le modèle Perpetual, auquel il ajouta plus tard la date et le jour de la semaine réalisant alors le modèle Day Date. A ces montres faciles à lire et pratiques à utiliser, devait ensuite s'associer la fiabilité en toutes circonstances, qu'assura le boîtier étanche Oyster. Impulsés par un renouveau technologique soutenu par la personnalité d'Hans Wildorf, ces trois éléments réunis sont donc devenus les facteurs clés de succès des montres Rolex. Après le décès d'Hans Wildorf en 1960, la relève fut assurée par son protégé André J. Heiniger, né le 12 septembre 1921 à La Chaux-de-Fonds. Durant ses 28 ans de carrière chez Rolex, la technologie et les relations humaines furent l'objet de profonds changements. Selon lui, l'atout majeur d'une entreprise leader résidait dans la volonté, la sagesse et la loyauté du personnel à tous les niveaux. Il donna beaucoup d'importance à la qualité et à l'efficacité du management autant qu'à la croissance et au développement dont les fondations devaient être tradition et continuité. Après avoir rejoint Rolex en tant que directeur commercial depuis 1986, Patrik Heiniger, né le 26 août 1950 en Argentine et fils d'André J. Heiniger, fut nommé directeur en 1992. Diplômé en Droit de l'Université de Genève, il devient avocat au barreau de Genève en 1977. Après deux années de formation à New York, il fonda sa propre société spécialisée dans le domaine de la propriété intellectuelle et du droit international. Quelques datesn1905 Création de "Wilsdorf & Davis", société de distribution d'articles d'horlogerie et de fabrication de boîtes, spécialisée dans les mouvements à échappement à ancre, siège social situé à Londres. 1907 Hans Wildorf ouvre un Bureau Technique à La Chaux-de- Fonds. 1908 Hans Wildorf dépose la marque Rolex, avec siège social à La Chauxde-Fonds, déplacé ensuite à Bienne. 1919 Hans Wilsdorf déplace la maison Rolex à Genève et fonde ainsi la manufacture Montres Rolex, S.A. 1926 Rolex invente et fait breveter la couronne à vis qui porte aujourd'hui le nom de "Triplock" ou "Twinlock", suivant le modèle de la montre. 1935 Malcom Campbell, une Rolex Oyster au poignet, bat le record du monde de vitesse au volant de sa "Bluebird", une voiture de course très spéciale, à plus de 300 miles à l' heure. 1954 Création de la première Rolex Oyster Perpetual pour femme. 1960 Une montre Rolex Oyster spéciale, fixée à l'extérieur du bathyscaphe "Trieste" est descendue à 10,916 m dans la fosse des Mariannes, au large de Guam dans l'Océan Pacifique, subissant une pression de plus d'une tonne/cm2. Ramenée à la surface, Jacques Piccard, constate que la Rolex fonctionne encore parfaitement. 1965 Obtention du 700 000e certificat officiel pour un chronomètre-bracelet, ce qui représente approximativement la moitié de la production totale suisse de chronomètres en 50 ans. 1978 Reinhold Messner, une Rolex Oyster Quartz au poignet, conquiert le Mont Everest lors de son ascension historique qui se fit sans l'utilisation de masques à oxygène. | Marque déposée le 2 juillet 1908 par Hans Wildorf. Considérée aujourd'hui comme un véritable phénomène social du XXe siècle. Né le 22 mars 1881 en Bavière, d'une famille protestante, Hans Wildsdorf est orphelin à l'âge de 12 ans. Il fut élevé par son oncle et sa tante. Etudiant, il s'intéresse particulièrement aux mathématiques et aux langues. Ses prédispositions l'amèneront rapidement à voyager et travailler dans des pays étrangers. Tout d'abord apprenti au sein d'une importante entreprise internationale d'export spécialisée dans les perles de culture, puis correspondant anglais employé chez Cuno Koutten à La-Chaux-de-Fonds en 1900, entreprise leader en fabrication de montres de tous types, il acquiert pendant ces années, au contact du monde horloger suisse et international, de nombreux concepts techniques et commerciaux dont il se servira plus tard. Dans un contexte très favorable aux idées nouvelles, à l'aube de la naissance de la montre-bracelet, Hans Wilsdorf s'installe à Londres en 1903 en tant qu'employé d'un revendeur de montres et horloges. En 1905, à l'âge de 24 ans, il décide de fonder sa propre entreprise. à cette date, Hans Wildorf, n'imaginait sans doute pas la taille qu'aurait la manufacture Rolex 100 ans plus tard. Cependant, en faisant évoluer les concepts de fabrication d'horlogerie dans le monde entier grâce à sa vision stratégique placée sous le signe de la créativité et du renouveau technologique, il y contribua largement. La principale exigence requise par les montres Rolex est la précision, ainsi que le confirme l'obtention de nombreux certificats de précision délivrés par les quatre bureaux de contrôle de chronomètrie attestant la maîtrise de ce critère de fabrication. La practicité des chronomètres fit aussi partie des exigences, c'est ainsi qu'Hans Wildorf lança le modèle Perpetual, auquel il ajouta plus tard la date et le jour de la semaine réalisant alors le modèle Day Date. A ces montres faciles à lire et pratiques à utiliser, devait ensuite s'associer la fiabilité en toutes circonstances, qu'assura le boîtier étanche Oyster. Impulsés par un renouveau technologique soutenu par la personnalité d'Hans Wildorf, ces trois éléments réunis sont donc devenus les facteurs clés de succès des montres Rolex. Après le décès d'Hans Wildorf en 1960, la relève fut assurée par son protégé André J. Heiniger, né le 12 septembre 1921 à La Chaux-de-Fonds. Durant ses 28 ans de carrière chez Rolex, la technologie et les relations humaines furent l'objet de profonds changements. Selon lui, l'atout majeur d'une entreprise leader résidait dans la volonté, la sagesse et la loyauté du personnel à tous les niveaux. Il donna beaucoup d'importance à la qualité et à l'efficacité du management autant qu'à la croissance et au développement dont les fondations devaient être tradition et continuité. Après avoir rejoint Rolex en tant que directeur commercial depuis 1986, Patrik Heiniger, né le 26 août 1950 en Argentine et fils d'André J. Heiniger, fut nommé directeur en 1992. Diplômé en Droit de l'Université de Genève, il devient avocat au barreau de Genève en 1977. Après deux années de formation à New York, il fonda sa propre société spécialisée dans le domaine de la propriété intellectuelle et du droit international. Quelques datesn1905 Création de "Wilsdorf & Davis", société de distribution d'articles d'horlogerie et de fabrication de boîtes, spécialisée dans les mouvements à échappement à ancre, siège social situé à Londres. 1907 Hans Wildorf ouvre un Bureau Technique à La Chaux-de- Fonds. 1908 Hans Wildorf dépose la marque Rolex, avec siège social à La Chauxde-Fonds, déplacé ensuite à Bienne. 1919 Hans Wilsdorf déplace la maison Rolex à Genève et fonde ainsi la manufacture Montres Rolex, S.A. 1926 Rolex invente et fait breveter la couronne à vis qui porte aujourd'hui le nom de "Triplock" ou "Twinlock", suivant le modèle de la montre. 1935 Malcom Campbell, une Rolex Oyster au poignet, bat le record du monde de vitesse au volant de sa "Bluebird", une voiture de course très spéciale, à plus de 300 miles à l' heure. 1954 Création de la première Rolex Oyster Perpetual pour femme. 1960 Une montre Rolex Oyster spéciale, fixée à l'extérieur du bathyscaphe "Trieste" est descendue à 10,916 m dans la fosse des Mariannes, au large de Guam dans l'Océan Pacifique, subissant une pression de plus d'une tonne/cm2. Ramenée à la surface, Jacques Piccard, constate que la Rolex fonctionne encore parfaitement. 1965 Obtention du 700 000e certificat officiel pour un chronomètre-bracelet, ce qui représente approximativement la moitié de la production totale suisse de chronomètres en 50 ans. 1978 Reinhold Messner, une Rolex Oyster Quartz au poignet, conquiert le Mont Everest lors de son ascension historique qui se fit sans l'utilisation de masques à oxygène. | ||
ROLIER (ROLLIER) PIERRE-ISAAC | ROLIER (ROLLIER) PIERRE-ISAAC | ||
Fils d'Isaac. Montbéliard (France). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1776. | Fils d'Isaac. Montbéliard (France). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1776. | ||
ROLLAND JEAN JOSEPH | ROLLAND JEAN JOSEPH | ||
Horloger. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIIe, début du XIXe siècle. | Horloger. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIIe, début du XIXe siècle. | ||
ROLLAND LE | ROLLAND LE | ||
Marque genevoise enregistrée. | Marque genevoise enregistrée. | ||
ROLLIER | ROLLIER | ||
Lapidaire à Genève. Forme Estienne Bordier en 1673. | Lapidaire à Genève. Forme Estienne Bordier en 1673. | ||
ROLLIER PIERRE ISAAC & CIE | ROLLIER PIERRE ISAAC & CIE | ||
Horlogers. Mentionnés à Genève en 1760-1780 environ. Montres à répétition de bonne qualité. | Horlogers. Mentionnés à Genève en 1760-1780 environ. Montres à répétition de bonne qualité. | ||
ROMAN & CO | ROMAN & CO | ||
Mentionné à Genève vers 1860. Montres simples et compliquées, à remontage au pendant. | Mentionné à Genève vers 1860. Montres simples et compliquées, à remontage au pendant. | ||
ROMAN, BORDIER & CIE | ROMAN, BORDIER & CIE | ||
Fabricants d'horlogerie. Mentionné à Genève dans le premier tiers du XIXe siècle. Montres à répétition, à automates, montres squelette de très bonne qualité. | Fabricants d'horlogerie. Mentionné à Genève dans le premier tiers du XIXe siècle. Montres à répétition, à automates, montres squelette de très bonne qualité. | ||
ROMAN, FRANÇOIS MELLY & ROUX | ROMAN, FRANÇOIS MELLY & ROUX | ||
Fabricants d'horlogerie. Genève et Constance. 1785-1796. Montres à répétition, à automates défilants. Signent une montre en or, émail et perles portant l'effigie de Franz, Comte de Enzenberg vers 1800. | Fabricants d'horlogerie. Genève et Constance. 1785-1796. Montres à répétition, à automates défilants. Signent une montre en or, émail et perles portant l'effigie de Franz, Comte de Enzenberg vers 1800. | ||
ROMER | ROMER | ||
Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1830 environ. | Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1830 environ. | ||
ROMIEUX J. | ROMIEUX J. | ||
Horloger-régleur. Travaille pour Patek-Philippe ér Cie. Reçoit plusieurs prix de chronométrie à Genève. Le 3e prix en 1885; le 2e prix en 1886; le 3e prix en 1887; lé ler prix en 1889; le let prix en 1890. | Horloger-régleur. Travaille pour Patek-Philippe ér Cie. Reçoit plusieurs prix de chronométrie à Genève. Le 3e prix en 1885; le 2e prix en 1886; le 3e prix en 1887; lé ler prix en 1889; le let prix en 1890. | ||
ROMILLY | ROMILLY | ||
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève à la fin du XVIIIe, début du XIXe siècle. Montres en tous genres. | Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève à la fin du XVIIIe, début du XIXe siècle. Montres en tous genres. | ||
ROMILLY & CIE. | ROMILLY & CIE. | ||
Fabricants d'horlogerie. Mentionnés à Genève à la fin du XVIIIe, début du XIXe siècle. | Fabricants d'horlogerie. Mentionnés à Genève à la fin du XVIIIe, début du XIXe siècle. | ||
ROMILLY & MONNIER | ROMILLY & MONNIER | ||
Horlogers, fabricants. Mentionnés à Genève à la fin du XVIIIe, début du XIXe siècle. | Horlogers, fabricants. Mentionnés à Genève à la fin du XVIIIe, début du XIXe siècle. | ||
ROMILLY ISAAC | ROMILLY ISAAC | ||
Apprenti horloger chez Etienne Bastard à Genève en 1605. | Apprenti horloger chez Etienne Bastard à Genève en 1605. | ||
ROMILLY JEAN | ROMILLY JEAN | ||
(Genève 1714-Paris 1796). Le plus doué des fils de Pierre. Etudie à Genève, puis se rend à Paris, devient maître en 1752, et présente, en 1758, à l'Académie Royale des Sciences, une montre à répétition, secondes décentrées, à grand balancier à une oscillation par seconde, construit une montre à équation du temps, est parmi les premiers à construire une certaine quantité de montres à huit jours de réserve de marche. Exécute également des montres à boîtes richements décorées de peinture sur émail. Collabore, avec Soubeyran, à l'Encyclopédie, chapitre de l'horlogerie, en 1758. | (Genève 1714-Paris 1796). Le plus doué des fils de Pierre. Etudie à Genève, puis se rend à Paris, devient maître en 1752, et présente, en 1758, à l'Académie Royale des Sciences, une montre à répétition, secondes décentrées, à grand balancier à une oscillation par seconde, construit une montre à équation du temps, est parmi les premiers à construire une certaine quantité de montres à huit jours de réserve de marche. Exécute également des montres à boîtes richements décorées de peinture sur émail. Collabore, avec Soubeyran, à l'Encyclopédie, chapitre de l'horlogerie, en 1758. | ||
ROMILLY JEAN LOUIS | ROMILLY JEAN LOUIS | ||
(Genève 1715-1784). Fils de Pierre. Maître horloger. | (Genève 1715-1784). Fils de Pierre. Maître horloger. | ||
ROMILLY JÉRÉMIE | ROMILLY JÉRÉMIE | ||
(Genève 1708-1775). Fils de Pierre. Maître horloger. | (Genève 1708-1775). Fils de Pierre. Maître horloger. | ||
ROMILLY JOHN | ROMILLY JOHN | ||
Fabricant d'horlogerie à Genève, puis à Paris. Reprend le commerce de Jean Romilly de 1796 à 1814. | Fabricant d'horlogerie à Genève, puis à Paris. Reprend le commerce de Jean Romilly de 1796 à 1814. | ||
ROMILLY LOUIS | ROMILLY LOUIS | ||
(Genève 1709-1780). Fils de Pierre. Maître horloger. | (Genève 1709-1780). Fils de Pierre. Maître horloger. | ||
ROMILLY PIERRE | ROMILLY PIERRE | ||
Maître horloger. Faiseur de boîtes de montres. 1681-1717. A quatre fils qui sont tous maîtres horlogers. Montre en argent à répétition des quarts. Mentionné à Genève vers 1700. | Maître horloger. Faiseur de boîtes de montres. 1681-1717. A quatre fils qui sont tous maîtres horlogers. Montre en argent à répétition des quarts. Mentionné à Genève vers 1700. | ||
RORENE | RORENE | ||
(probablement ROHRER ou ROHREN JEAN). Apprenti pendulier à La Chaux-de-Fonds, en 1770. | (probablement ROHRER ou ROHREN JEAN). Apprenti pendulier à La Chaux-de-Fonds, en 1770. | ||
ROSAT | ROSAT | ||
Frédéric-HONORÉ | Frédéric-HONORÉ | ||
ROSAT HENRI-AUGUSTE | ROSAT HENRI-AUGUSTE | ||
Né au Locle en 1828, mort en 1897, Fils d'Auguste, époux de Laure DUBOIS père d'Henri et de William, tous deux horlogers émérites. Praticien habile. visiteur pendant 3o ans dans la fabrique Ulysse Nardin, au Locle. | Né au Locle en 1828, mort en 1897, Fils d'Auguste, époux de Laure DUBOIS père d'Henri et de William, tous deux horlogers émérites. Praticien habile. visiteur pendant 3o ans dans la fabrique Ulysse Nardin, au Locle. | ||
ROSAT WILLIAM-CHARLES-FRÉDÉRIC | ROSAT WILLIAM-CHARLES-FRÉDÉRIC | ||
Né au Locle le 12 octobre 1836, mort en 1910, fils d'Auguste, époux de Louise Egger, père de Charles. Horloger distingué, directeur de l' Association ouvrière au Locle. A fait des pendules de précision, des chronomètres de marine et des montres simples et compliquées. | Né au Locle le 12 octobre 1836, mort en 1910, fils d'Auguste, époux de Louise Egger, père de Charles. Horloger distingué, directeur de l' Association ouvrière au Locle. A fait des pendules de précision, des chronomètres de marine et des montres simples et compliquées. | ||
ROSEAU | ROSEAU | ||
Marque genevoise enregistrée. | Marque genevoise enregistrée. | ||
ROSEMONT SA. | ROSEMONT SA. | ||
Fabricants de pendulettes. Maison fondée par Maurice Baillot. Mentionné à Genève en 1944. | Fabricants de pendulettes. Maison fondée par Maurice Baillot. Mentionné à Genève en 1944. | ||
ROSET JEAN-ÉTIENNE | ROSET JEAN-ÉTIENNE | ||
De Treycovagnes (près d'Yverdon), époux de Ésabeau Besancenet, père de Jean-Henry et de Jean-Étienne, domicilié à Grenoble en 18o3. Apprenti de Pierre Berthoud S'établit comme pendulier à Couvet vers 1759. A comme apprentis: Rodolphe Neuhaus (1763), Jacob Salzmann, Jean-Henri Borel, Henri-Ferdinand Guyenet et Abram-Henri Borel (1786). Plusieurs pendules signées. | De Treycovagnes (près d'Yverdon), époux de Ésabeau Besancenet, père de Jean-Henry et de Jean-Étienne, domicilié à Grenoble en 18o3. Apprenti de Pierre Berthoud S'établit comme pendulier à Couvet vers 1759. A comme apprentis: Rodolphe Neuhaus (1763), Jacob Salzmann, Jean-Henri Borel, Henri-Ferdinand Guyenet et Abram-Henri Borel (1786). Plusieurs pendules signées. | ||
ROSET JEAN-HENRI | ROSET JEAN-HENRI | ||
Fils de Jean-Etienne. Apprenti, puis ouvrier jusqu'en 1792 de Jean-Henri Berthoud, pendulier à Couvet. En procès en 1795 avec Abram Henry Berthoud, pendulier, qui l'a frappé. | Fils de Jean-Etienne. Apprenti, puis ouvrier jusqu'en 1792 de Jean-Henri Berthoud, pendulier à Couvet. En procès en 1795 avec Abram Henry Berthoud, pendulier, qui l'a frappé. | ||
ROSIER ÉTIENNE | ROSIER ÉTIENNE | ||
Apprenti horloger chez Louis André Vacheron, à Genève en 1775. | Apprenti horloger chez Louis André Vacheron, à Genève en 1775. | ||
ROSIER FR. | ROSIER FR. | ||
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1860. | Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1860. | ||
ROSIER JEAN | ROSIER JEAN | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1770-1815. | Horloger. Mentionné à Genève en 1770-1815. | ||
ROSKOPF F.-E. & CIE. | ROSKOPF F.-E. & CIE. | ||
Fabricant d'articles d'horlogerie. La marque "Legitime" est enregistrée en 1903. | Fabricant d'articles d'horlogerie. La marque "Legitime" est enregistrée en 1903. | ||
ROSKOPF FRITZ-EDOUARD | ROSKOPF FRITZ-EDOUARD | ||
Dépose, un brevet pour un dispositif assurant la commande des aiguilles par le barillet dans la montre à système Roskopf en 1899. Pour un mouvement Roskopf avec mécanisme de chronographe en 1901. Marque genevoise enregistrée en 1893. "F.E. Roskopf" enregistrée le 1.8.1893 et le 8.4.1897 sous. "Fritz-Edouard Roskopf" en 1894. Fabrique des montres et accessoires. "Roskopf Fils" enregistrée le 19.8.1893, dès le 8 février 1897 se transfère à Genève. | Dépose, un brevet pour un dispositif assurant la commande des aiguilles par le barillet dans la montre à système Roskopf en 1899. Pour un mouvement Roskopf avec mécanisme de chronographe en 1901. Marque genevoise enregistrée en 1893. "F.E. Roskopf" enregistrée le 1.8.1893 et le 8.4.1897 sous. "Fritz-Edouard Roskopf" en 1894. Fabrique des montres et accessoires. "Roskopf Fils" enregistrée le 19.8.1893, dès le 8 février 1897 se transfère à Genève. | ||
ROSSEL & CIE | ROSSEL & CIE | ||
Horlogers à Genève. Associés de 1816 en 1821 avec Sandaz, devient ensuite Rossel & Cie. | Horlogers à Genève. Associés de 1816 en 1821 avec Sandaz, devient ensuite Rossel & Cie. | ||
ROSSEL & SANDOZ | ROSSEL & SANDOZ | ||
Horlogers à Genève. S'associe avec Sandoz de 1816 à 1821. Dès 1821, la raison sociale devient Rossel & Cie. | Horlogers à Genève. S'associe avec Sandoz de 1816 à 1821. Dès 1821, la raison sociale devient Rossel & Cie. | ||
ROSSEL J. FILS | ROSSEL J. FILS | ||
Ancienne maison J.F. Bautte & Cie, fondée en 1790. J. Rossel s'associe avec le successeur de Bautte de 1860 à 1883 devient J. Rossel & Fils de 1883 à 1897. Puis il vend l'entreprise en 1897 à Felipe Hecht qui à son tour la revend en 1906 à Girard-Perregaux. Fabricants d'horlogerie, bijouterie, joaillerie. Magasins et fabrique à Genève, en 1861. Médailles de première classe aux Expositions de Londres en 1851 et Paris en 1855. Mentionné à Genève en 1883-1897. Deux fois le 3e prix en 1886 au Concours de chronométrie de Genève, et prime de série la même année. Présents à l'Exposition nationale de Genève en 1896. Signent une montre faite pour le Roi Victor Emmanuel d'Italie, vers 1880. | Ancienne maison J.F. Bautte & Cie, fondée en 1790. J. Rossel s'associe avec le successeur de Bautte de 1860 à 1883 devient J. Rossel & Fils de 1883 à 1897. Puis il vend l'entreprise en 1897 à Felipe Hecht qui à son tour la revend en 1906 à Girard-Perregaux. Fabricants d'horlogerie, bijouterie, joaillerie. Magasins et fabrique à Genève, en 1861. Médailles de première classe aux Expositions de Londres en 1851 et Paris en 1855. Mentionné à Genève en 1883-1897. Deux fois le 3e prix en 1886 au Concours de chronométrie de Genève, et prime de série la même année. Présents à l'Exposition nationale de Genève en 1896. Signent une montre faite pour le Roi Victor Emmanuel d'Italie, vers 1880. | ||
ROSSEL JEAN-LOUIS | ROSSEL JEAN-LOUIS | ||
Fils de Claude. Môtiers-Travers (Suisse). Monteur de boîtes. Reçu habitant de Genève en 1751. | Fils de Claude. Môtiers-Travers (Suisse). Monteur de boîtes. Reçu habitant de Genève en 1751. | ||
ROSSEL PIERRE-LOUIS | ROSSEL PIERRE-LOUIS | ||
Horloger pendulier à Môtiers, cité comme associé avec un frère de 1755 à 1765 Une pendule longue-ligne signée Rossel. | Horloger pendulier à Môtiers, cité comme associé avec un frère de 1755 à 1765 Une pendule longue-ligne signée Rossel. | ||
ROSSEL, BAUTTE & CIE | ROSSEL, BAUTTE & CIE | ||
Fabricants d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1860-1883. | Fabricants d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1860-1883. | ||
ROSSEL-BAUTTE ET FILS | ROSSEL-BAUTTE ET FILS | ||
Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1844. | Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1844. | ||
ROSSELET | ROSSELET | ||
Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève dans le premier tiers du XIXe siècle. | Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève dans le premier tiers du XIXe siècle. | ||
ROSSELET DAVID-LOUIS | ROSSELET DAVID-LOUIS | ||
Fils de Jean-Jacques. Épouse en 1808 Salomé Colomb. Pendulier aux Verrières. | Fils de Jean-Jacques. Épouse en 1808 Salomé Colomb. Pendulier aux Verrières. | ||
ROSSELET FR.-L. | ROSSELET FR.-L. | ||
Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1860. | Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1860. | ||
ROSSELET LOUIS | ROSSELET LOUIS | ||
Peintre sur émail. Seconde moitié du XIXe, début du XXe siècle. Peintre sur émail. Mentionné à Genève en 1857. | Peintre sur émail. Seconde moitié du XIXe, début du XXe siècle. Peintre sur émail. Mentionné à Genève en 1857. | ||
ROSSELET MATHIEU | ROSSELET MATHIEU | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1860. | Horloger. Mentionné à Genève en 1860. | ||
ROSSET & CARREL | ROSSET & CARREL | ||
Peintres sur émail. Fin du XIXe, début du XXe siècle. Exposent au Salon national suisse à Genève, en 1896. Mentionnés à Genève en 1907. | Peintres sur émail. Fin du XIXe, début du XXe siècle. Exposent au Salon national suisse à Genève, en 1896. Mentionnés à Genève en 1907. | ||
ROSSET (J. P.) | ROSSET (J. P.) | ||
Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828-1830. | Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828-1830. | ||
ROSSET AMI | ROSSET AMI | ||
Fameux monteur de boîtes de montres. Mentionné à Genève à la fin du XIXe siècle. | Fameux monteur de boîtes de montres. Mentionné à Genève à la fin du XIXe siècle. | ||
ROSSET MICHEL | ROSSET MICHEL | ||
Mentionné à Genève vers 1907. Fabricant d'horlogerie très soignée. | Mentionné à Genève vers 1907. Fabricant d'horlogerie très soignée. | ||
ROSSI P. | ROSSI P. | ||
Monteur de boîtes. Mentionné à Genève en 1844. | Monteur de boîtes. Mentionné à Genève en 1844. | ||
ROSSIER | ROSSIER | ||
Horlogerie. Mentionné à Genève en 1835-1844. | Horlogerie. Mentionné à Genève en 1835-1844. | ||
ROSSIER GEORGES | ROSSIER GEORGES | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1860. | Horloger. Mentionné à Genève en 1860. | ||
ROSSIER JOHN | ROSSIER JOHN | ||
Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève vers 1815. | Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève vers 1815. | ||
ROSTAN ET BALMAS | ROSTAN ET BALMAS | ||
Horlogers. Mentionnés à Genève vers 1907. | Horlogers. Mentionnés à Genève vers 1907. | ||
ROTH JACOB | ROTH JACOB | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1860. | Horloger. Mentionné à Genève en 1860. | ||
ROTH JEAN-HENRI | ROTH JEAN-HENRI | ||
Fils d'Adam. Kesswil, Thurgovie (Suisse). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1779. | Fils d'Adam. Kesswil, Thurgovie (Suisse). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1779. | ||
ROTH-ROBERT | ROTH-ROBERT | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1862. | Horloger. Mentionné à Genève en 1862. | ||
ROUGE | ROUGE | ||
Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève, signature trouvée sur une montre datant de 1798. | Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève, signature trouvée sur une montre datant de 1798. | ||
ROUGE ISAAC-BENJAMIN-LOUIS | ROUGE ISAAC-BENJAMIN-LOUIS | ||
Fils de Jean-Isaac. Lausanne (Suisse). Maître joaillier. Reçu habitant de Genève en 1790. | Fils de Jean-Isaac. Lausanne (Suisse). Maître joaillier. Reçu habitant de Genève en 1790. | ||
ROULET DANIEL | ROULET DANIEL | ||
Fils de Daniel. Compagnon horloger en 1745 chez les Frères Huguenin, penduliers à La Chaux-de-Fonds. | Fils de Daniel. Compagnon horloger en 1745 chez les Frères Huguenin, penduliers à La Chaux-de-Fonds. | ||
ROULET LES | ROULET LES | ||
Faiseurs d'ébauches de pendules à la Sagne au début du XIXe siècle. | Faiseurs d'ébauches de pendules à la Sagne au début du XIXe siècle. | ||
ROUMIEUX EDOUARD | ROUMIEUX EDOUARD | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1860. | Horloger. Mentionné à Genève en 1860. | ||
ROUQUET JEAN ANDRÉ | ROUQUET JEAN ANDRÉ | ||
(Genève 1701-1758). Peintre sur émail. Travaille à Londres (Angleterre), à Paris (France) où il devient membre de l'Académie royale en 1753. | (Genève 1701-1758). Peintre sur émail. Travaille à Londres (Angleterre), à Paris (France) où il devient membre de l'Académie royale en 1753. | ||
ROUSSATIER ABRAHAM | ROUSSATIER ABRAHAM | ||
Maître horloger à Nyon (Suisse), Vevey (Suisse) et Genève en 1792. | Maître horloger à Nyon (Suisse), Vevey (Suisse) et Genève en 1792. | ||
ROUSSATIER ABRAHAM-LOUIS | ROUSSATIER ABRAHAM-LOUIS | ||
Fils de Jean-François. Vevey (Suisse). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1768. | Fils de Jean-François. Vevey (Suisse). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1768. | ||
ROUSSEAU ANDRÉ | ROUSSEAU ANDRÉ | ||
Fils de Jean. Maître orfèvre. Mentionné à Genève dans la première moitié du XVIIe siècle. Apprenti chez Jean Simbert Horngacher en 1664. Forme Gaspard Naville en 1679. | Fils de Jean. Maître orfèvre. Mentionné à Genève dans la première moitié du XVIIe siècle. Apprenti chez Jean Simbert Horngacher en 1664. Forme Gaspard Naville en 1679. | ||
ROUSSEAU DANIEL | ROUSSEAU DANIEL | ||
Fils de Jean. Maître orfèvre. Mentionné à Genève au milieu du XVIIe siècle. | Fils de Jean. Maître orfèvre. Mentionné à Genève au milieu du XVIIe siècle. | ||
ROUSSEAU DAVID | ROUSSEAU DAVID | ||
(1641-1738). Fils de Jean. Grand-père de Jean-Jacques. Maître horloger. Apprenti chez Jean-François Lachis, son beau-frère, en 1653. Parmi ses meilleures oeuvres: une montre de la dimension d'une pièce de dix centimes suisse (19 mm), des montres en cristal de roche en forme de fleurs, croix, tulipe. De 1720 à 1738. Forme Loys Gaudy en 1669, Esaye Querel en 1670, Pierre Bouvier en 1687, Bonifas Bourcard en 1698 et Jean III Faizan en 1702. | (1641-1738). Fils de Jean. Grand-père de Jean-Jacques. Maître horloger. Apprenti chez Jean-François Lachis, son beau-frère, en 1653. Parmi ses meilleures oeuvres: une montre de la dimension d'une pièce de dix centimes suisse (19 mm), des montres en cristal de roche en forme de fleurs, croix, tulipe. De 1720 à 1738. Forme Loys Gaudy en 1669, Esaye Querel en 1670, Pierre Bouvier en 1687, Bonifas Bourcard en 1698 et Jean III Faizan en 1702. | ||
ROUSSEAU ISAAC | ROUSSEAU ISAAC | ||
(1672-1747). Fils de Jean le-Jeune. Père du philosophe Jean-Jacques. En 1705, disposant d'un petit héritage lors du décès de sa mère, il partit essayer de faire fortune à Constantinople. Il y rencontre d'autres artisans genevois, ne se lasse pas d'écouter les conteurs ottomans tout en espérant revenir au pays avec le prestige acquis à la cour du sultan et un réseau de relations lui permettant d'accéder à de lucratifs marchés. | (1672-1747). Fils de Jean le-Jeune. Père du philosophe Jean-Jacques. En 1705, disposant d'un petit héritage lors du décès de sa mère, il partit essayer de faire fortune à Constantinople. Il y rencontre d'autres artisans genevois, ne se lasse pas d'écouter les conteurs ottomans tout en espérant revenir au pays avec le prestige acquis à la cour du sultan et un réseau de relations lui permettant d'accéder à de lucratifs marchés. | ||
Строка 728: | Строка 1066: | ||
Admiratif, Jean-Jacques Rousseau parlera plus tard de son père comme de "l'horloger du sérail". Il dira même un jour, alors qu'il était poursuivi par les autorités genevoises : "Il vaudrait mieux être né Turc que Genevois!". | Admiratif, Jean-Jacques Rousseau parlera plus tard de son père comme de "l'horloger du sérail". Il dira même un jour, alors qu'il était poursuivi par les autorités genevoises : "Il vaudrait mieux être né Turc que Genevois!". | ||
Ce maître horloger quitte Genève en 1722 pour s'installer à Nyon. | Ce maître horloger quitte Genève en 1722 pour s'installer à Nyon. | ||
ROUSSEAU JACOB | ROUSSEAU JACOB | ||
Lapidaire. Part à Londres (Angleterre) pour représenter la fabrique de son père Jean. Milieu du XVIIe siècle. | Lapidaire. Part à Londres (Angleterre) pour représenter la fabrique de son père Jean. Milieu du XVIIe siècle. | ||
ROUSSEAU JAQUES | ROUSSEAU JAQUES | ||
Horloger. Mentionné à Genève vers 1712. | Horloger. Mentionné à Genève vers 1712. | ||
ROUSSEAU JAQUES | ROUSSEAU JAQUES | ||
Fils de Jean. Maître horloger. Mentionné à Genève dans la première moitié du XVIIe siècle. | Fils de Jean. Maître horloger. Mentionné à Genève dans la première moitié du XVIIe siècle. | ||
ROUSSEAU JEAN | ROUSSEAU JEAN | ||
Né à Genève en 1642. Maître horloger. | Né à Genève en 1642. Maître horloger. | ||
ROUSSEAU JEAN LE JEUNE | ROUSSEAU JEAN LE JEUNE | ||
(1606-1684). Arrière-grand-père de Jean-Jacques Rousseau. Maître horloger et juré. Construit des montres astronomiques. Forme plusieurs apprentis dont: Isaac II Bordier (fils de Jaques I) et Ypolite Noel en 1631, Jean-François Lachis en 1644, Pierre Bécard en 1649, Antoine Gagnier en 1652, Jean Blanchet et Amédée Marchand en 1659. | (1606-1684). Arrière-grand-père de Jean-Jacques Rousseau. Maître horloger et juré. Construit des montres astronomiques. Forme plusieurs apprentis dont: Isaac II Bordier (fils de Jaques I) et Ypolite Noel en 1631, Jean-François Lachis en 1644, Pierre Bécard en 1649, Antoine Gagnier en 1652, Jean Blanchet et Amédée Marchand en 1659. | ||
ROUSSEAU JEAN | ROUSSEAU JEAN | ||
(Genève 1580-1642). Maître horloger. Montres en forme de croix et d'animaux en cristal de roche. A sept fils et cinq filles, dont: Jean le-Jeune Maître, David horloger, Daniel orfèvre, Noé graveur, Loys lapidaire, Jaques horloger, Jacob lapidaire. | (Genève 1580-1642). Maître horloger. Montres en forme de croix et d'animaux en cristal de roche. A sept fils et cinq filles, dont: Jean le-Jeune Maître, David horloger, Daniel orfèvre, Noé graveur, Loys lapidaire, Jaques horloger, Jacob lapidaire. | ||
ROUSSEAU JEAN-FRANÇOIS | ROUSSEAU JEAN-FRANÇOIS | ||
Apprenti horloger à Genève chez Jean Deonna en 1700. | Apprenti horloger à Genève chez Jean Deonna en 1700. | ||
ROUSSEAU LOUYS | ROUSSEAU LOUYS | ||
Fils de Jean. Maître lapidaire à Genève en 1662. Fabrique des boîtes de montres en cristal de roche. | Fils de Jean. Maître lapidaire à Genève en 1662. Fabrique des boîtes de montres en cristal de roche. | ||
ROUSSEAU NOÉ | ROUSSEAU NOÉ | ||
Fils de Jean. Maître graveur. Marié en 1681 (seconde noce) avec Marie Mollet. Forme Théodore Perréal en 1680. | Fils de Jean. Maître graveur. Marié en 1681 (seconde noce) avec Marie Mollet. Forme Théodore Perréal en 1680. | ||
ROUSSET | ROUSSET | ||
Horlogerie et pièces à musique. Mentionné à Genève en 1835. | Horlogerie et pièces à musique. Mentionné à Genève en 1835. | ||
ROUSSET JACQUES | ROUSSET JACQUES | ||
Né à Genève. Horloger. Seconde moitié du XVIIIe, début du XIXe siècle. | Né à Genève. Horloger. Seconde moitié du XVIIIe, début du XIXe siècle. | ||
ROUSSET JACQUES | ROUSSET JACQUES | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1860. | Horloger. Mentionné à Genève en 1860. | ||
ROUSSIER | ROUSSIER | ||
Mentionné à Genève au début du XIXe siècle. Montres en or, émail et argent. | Mentionné à Genève au début du XIXe siècle. Montres en or, émail et argent. | ||
ROUSSILLON JEAN | ROUSSILLON JEAN | ||
Fils de Pierre. Saint-Fortunat, Vivarais (France). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1701. | Fils de Pierre. Saint-Fortunat, Vivarais (France). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1701. | ||
ROUSSILLON LS & CO | ROUSSILLON LS & CO | ||
Fabricant de boîtes et de mouvements de montres. Marque genevoise enregistrée le 19.5.1883. | Fabricant de boîtes et de mouvements de montres. Marque genevoise enregistrée le 19.5.1883. | ||
ROUSSIN & MAZUY | ROUSSIN & MAZUY | ||
Peintres sur émail. Présents à l'Exposition nationale suisse de Genève en 1896. | Peintres sur émail. Présents à l'Exposition nationale suisse de Genève en 1896. | ||
ROUVIERE (ROUVIERES) JEAN-LOUIS-DANIEL | ROUVIERE (ROUVIERES) JEAN-LOUIS-DANIEL | ||
Chêne, canton de Genève. Peintre sur émail. Reçu habitant de Genève en 1776. | Chêne, canton de Genève. Peintre sur émail. Reçu habitant de Genève en 1776. | ||
ROUX & BORDIER | ROUX & BORDIER | ||
Fabricants d'horlogerie. Mentionnés à Genève en 1794-1798. | Fabricants d'horlogerie. Mentionnés à Genève en 1794-1798. | ||
ROUX & DASSIER | ROUX & DASSIER | ||
Horlogers. Mentionnés à Genève vers 1783. | Horlogers. Mentionnés à Genève vers 1783. | ||
ROUX & MARTIN | ROUX & MARTIN | ||
Horlogers. Déposent un brevet pour un échappement hélicoïdal à dégagement rectiligne géométrique en 1907. | Horlogers. Déposent un brevet pour un échappement hélicoïdal à dégagement rectiligne géométrique en 1907. | ||
ROUX A. | ROUX A. | ||
Monteur de boîtes. Mentionné à Genève en 1844. | Monteur de boîtes. Mentionné à Genève en 1844. | ||
ROUX DAVID-ETIENNE DIT ROUX-CONSTANTINI | ROUX DAVID-ETIENNE DIT ROUX-CONSTANTINI | ||
(Genève 1758-1832). Fils de Jean-Marc. Peintre sur émail et orfèvre. Travaille avec son frère Théodore. Spécialisé dans la décoration de boîtes de montres et tabatières. Forme Jean-Rodolphe-Gautier, Pierre-Gabriel Gautier et Hugues Darier. Enseigne à Jean-Louis Richter. Travaille pour Droz de 1783 à 1785, ensuite pour Jacob Frisard. | (Genève 1758-1832). Fils de Jean-Marc. Peintre sur émail et orfèvre. Travaille avec son frère Théodore. Spécialisé dans la décoration de boîtes de montres et tabatières. Forme Jean-Rodolphe-Gautier, Pierre-Gabriel Gautier et Hugues Darier. Enseigne à Jean-Louis Richter. Travaille pour Droz de 1783 à 1785, ensuite pour Jacob Frisard. | ||
ROUX ÉTIENNE | ROUX ÉTIENNE | ||
Horloger à Genève. S'associe avec Jean-Étienne Colladon de 1779 à 1785. | Horloger à Genève. S'associe avec Jean-Étienne Colladon de 1779 à 1785. | ||
ROUX ÉTIENNE | ROUX ÉTIENNE | ||
Fils de Gabriel. Fabricant et négociant en horlogerie. Mentionné à Genève en 1793. | Fils de Gabriel. Fabricant et négociant en horlogerie. Mentionné à Genève en 1793. | ||
ROUX F. | ROUX F. | ||
Horloger. Mentionné à Genève vers 1815. | Horloger. Mentionné à Genève vers 1815. | ||
ROUX HUBERT & FILS | ROUX HUBERT & FILS | ||
Peintres sur émail à Genève, associés avec Pierre Fé en 1762. | Peintres sur émail à Genève, associés avec Pierre Fé en 1762. | ||
ROUX JAQUES | ROUX JAQUES | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1780-1800. On trouve sa signature sur une grosse montre en argent avec triple quantième. Mouvement gravé, échappement à verge. | Horloger. Mentionné à Genève en 1780-1800. On trouve sa signature sur une grosse montre en argent avec triple quantième. Mouvement gravé, échappement à verge. | ||
ROUX JEAN-ANDRÉ | ROUX JEAN-ANDRÉ | ||
Fils de Jean-Pierre. D'Uzès, Languedoc (France). Peintre sur émail. Reçu habitant de Genève en 1777. | Fils de Jean-Pierre. D'Uzès, Languedoc (France). Peintre sur émail. Reçu habitant de Genève en 1777. | ||
ROUX JEAN-DANIEL | ROUX JEAN-DANIEL | ||
Fils de Daniel. De Penay-le Jorat, bailliage d'Oron (Suisse). Faiseur de piliers de montres. Reçu habitant de Genève en 1757. | Fils de Daniel. De Penay-le Jorat, bailliage d'Oron (Suisse). Faiseur de piliers de montres. Reçu habitant de Genève en 1757. | ||
ROUX JEAN-MARC | ROUX JEAN-MARC | ||
(1735-1812). Fils de Jean-Paul. Levigau, Languedoc (France). Peintre sur émail. Reçu habitant de Genève en 1755. S'associe de 1767 à 1773 avec J. Cabanel, puis avec Constantin. Forment, pendant trois ans: Jean-Abraham Lissignol et P.G. Gautier. | (1735-1812). Fils de Jean-Paul. Levigau, Languedoc (France). Peintre sur émail. Reçu habitant de Genève en 1755. S'associe de 1767 à 1773 avec J. Cabanel, puis avec Constantin. Forment, pendant trois ans: Jean-Abraham Lissignol et P.G. Gautier. | ||
ROUX PAUL | ROUX PAUL | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1860. | Horloger. Mentionné à Genève en 1860. | ||
ROUX PÈRE & FILS | ROUX PÈRE & FILS | ||
Horlogers. Mentionnés à Genève vers 1770. | Horlogers. Mentionnés à Genève vers 1770. | ||
ROUX PHILIPPE-SAMUEL-THÉODORE | ROUX PHILIPPE-SAMUEL-THÉODORE | ||
(Genève 1756-1805). Fils de Jean-Marc. Peintre sur émail. Associé avec son frère David Étienne. Spécialisé dans la décoration de boîtes de montres et tabatières. Enseigne à Jean-Louis Richter. | (Genève 1756-1805). Fils de Jean-Marc. Peintre sur émail. Associé avec son frère David Étienne. Spécialisé dans la décoration de boîtes de montres et tabatières. Enseigne à Jean-Louis Richter. | ||
ROUX PIERRE | ROUX PIERRE | ||
Maître orfèvre. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIe siècle. Construit des boîtes de montres. | Maître orfèvre. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIe siècle. Construit des boîtes de montres. | ||
ROUX, BORDIER, ROMAN & CIE. | ROUX, BORDIER, ROMAN & CIE. | ||
Fabrique d'horlogerie fondée à Genève en 1798 et dissoute en 1811. Montres à sonnerie au passage avec répétition à quarts indépendante, grande et petite sonneries, répétitions à minutes, etc. | Fabrique d'horlogerie fondée à Genève en 1798 et dissoute en 1811. Montres à sonnerie au passage avec répétition à quarts indépendante, grande et petite sonneries, répétitions à minutes, etc. | ||
ROUZIER | ROUZIER | ||
Horloger. Mentionné à Genève au milieu et seconde moitié du XVIIIe siècle. | Horloger. Mentionné à Genève au milieu et seconde moitié du XVIIIe siècle. | ||
ROUZIER & MELLY | ROUZIER & MELLY | ||
Fabricants d'horlogerie. Genève et Paris. Fin du XVIIIe siècle. Signent une montre Louis XVI en or et émail, à répétition des quarts. | Fabricants d'horlogerie. Genève et Paris. Fin du XVIIIe siècle. Signent une montre Louis XVI en or et émail, à répétition des quarts. | ||
ROUZIER ALEXANDRE | ROUZIER ALEXANDRE | ||
De Aigues-Vives, Languedoc (France). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1742. | De Aigues-Vives, Languedoc (France). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1742. | ||
ROY & FLOURNOY | ROY & FLOURNOY | ||
Horlogers. Mentionné à Genève dans la première moitié du XIXe siècle. | Horlogers. Mentionné à Genève dans la première moitié du XIXe siècle. | ||
ROY (ROI) SAMUEL | ROY (ROI) SAMUEL | ||
Baptisé le 6 mars 1746 à Fontaines, mort le 3o juin 1822 à La Chaux-de-Fonds, fils illégitime de Marie-Madelaine Roy, d'Orvin (le père serait François Galamin), père d'Henri-Louis Jacques-Louis et de Samuel. Un des plus remarquables horlogers neuchâtelois. Entra en 1762 chez J. Robert et fils où il travailla huit ans comme horloger en pendules, enseignant sa profession. S'établit à Fontaines puis à La Chaux-de-Fonds, où il fonde la maison Samuel Roy et fils. En relations avec Charles le Duc, doreur à Paris. Reçoit de nombreux cabinets de Charles-Frédéric Dubois depuis 1815. Relations commerciales très étendues, exporte jusqu'au Portugal. Très nombreuses horloges, pendules et montres signées. | Baptisé le 6 mars 1746 à Fontaines, mort le 3o juin 1822 à La Chaux-de-Fonds, fils illégitime de Marie-Madelaine Roy, d'Orvin (le père serait François Galamin), père d'Henri-Louis Jacques-Louis et de Samuel. Un des plus remarquables horlogers neuchâtelois. Entra en 1762 chez J. Robert et fils où il travailla huit ans comme horloger en pendules, enseignant sa profession. S'établit à Fontaines puis à La Chaux-de-Fonds, où il fonde la maison Samuel Roy et fils. En relations avec Charles le Duc, doreur à Paris. Reçoit de nombreux cabinets de Charles-Frédéric Dubois depuis 1815. Relations commerciales très étendues, exporte jusqu'au Portugal. Très nombreuses horloges, pendules et montres signées. | ||
ROY FANNY | ROY FANNY | ||
Émailleur. Mentionné à Genève en 1866. | Émailleur. Mentionné à Genève en 1866. | ||
ROY FRANÇOIS ET FRÈRES | ROY FRANÇOIS ET FRÈRES | ||
A partir de 1785 François Roy et Cie. Fait le commerce de pendules et de montres en grand à La Chaux-de-Fonds. Relations principalement avec Paris, Berlin, Amsterdam, Trieste. Sont ruinés par la Révolution française et par l'incendie de La Chaux-de-Fonds. François Roy s'associe en 1806 à Trieste avec un COURVOISIER sous le nom de F. Roy Courvoisier. | A partir de 1785 François Roy et Cie. Fait le commerce de pendules et de montres en grand à La Chaux-de-Fonds. Relations principalement avec Paris, Berlin, Amsterdam, Trieste. Sont ruinés par la Révolution française et par l'incendie de La Chaux-de-Fonds. François Roy s'associe en 1806 à Trieste avec un COURVOISIER sous le nom de F. Roy Courvoisier. | ||
ROY HENRI-LOUIS | ROY HENRI-LOUIS | ||
Né le 2 juillet 1770, morte le 22 avril 1843 à La Chaux-de-Fonds, fils de Samuel, frère de Samuel et de Jaques-Louis Horloger pendulier. Travaille avec son père, puis lui succède à la tête de l'établissement Samuel Roy et fils en 1804. Va fréquemment à Milan de 1799 à 1819 où il est cité comme négociant. | Né le 2 juillet 1770, morte le 22 avril 1843 à La Chaux-de-Fonds, fils de Samuel, frère de Samuel et de Jaques-Louis Horloger pendulier. Travaille avec son père, puis lui succède à la tête de l'établissement Samuel Roy et fils en 1804. Va fréquemment à Milan de 1799 à 1819 où il est cité comme négociant. | ||
ROY JAQUES-LOUIS | ROY JAQUES-LOUIS | ||
Fils de Samuel, frère d'Henri-Louis et de Samuel, époux de Rosette Benoit. à travaillé avec son père e3t ses frères à La Chaux-de-Fonds. En 1807 i1 demande un passe-port pour Paris. Ayant perdu sa fortune dans l'entreprise de la carbonisation de la tourbe et dans la débauche, se suicide en novembre 1808 à l'âge de 26 ans à La Chaux-de-Fonds. | Fils de Samuel, frère d'Henri-Louis et de Samuel, époux de Rosette Benoit. à travaillé avec son père e3t ses frères à La Chaux-de-Fonds. En 1807 i1 demande un passe-port pour Paris. Ayant perdu sa fortune dans l'entreprise de la carbonisation de la tourbe et dans la débauche, se suicide en novembre 1808 à l'âge de 26 ans à La Chaux-de-Fonds. | ||
ROY JEAN | ROY JEAN | ||
Horloger à Neuchàtel en 1574. Travaille pour le seigneur de Valangin. | Horloger à Neuchàtel en 1574. Travaille pour le seigneur de Valangin. | ||
ROY JEAN-HENRI | ROY JEAN-HENRI | ||
Né en 1776, mort en 1825, fils de Jean-Henri époux de Julie Petitpierre. Maitre pendulier à Couvet. Cité de 1794 à 1816. Sa veuve est citée en 1825. | Né en 1776, mort en 1825, fils de Jean-Henri époux de Julie Petitpierre. Maitre pendulier à Couvet. Cité de 1794 à 1816. Sa veuve est citée en 1825. | ||
ROY SAMUEL FILS | ROY SAMUEL FILS | ||
Fils de Samuel, frère d'Henri-Louis et de Jacques-Louis. Associé de ses frères en 1820. | Fils de Samuel, frère d'Henri-Louis et de Jacques-Louis. Associé de ses frères en 1820. | ||
ROYAUME AYMÉ | ROYAUME AYMÉ | ||
Apprenti orfèvre à Genève chez Jaques Pellet en 1678. | Apprenti orfèvre à Genève chez Jaques Pellet en 1678. | ||
ROYAUME ISAAC | ROYAUME ISAAC | ||
Maître orfèvre. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIe siècle. | Maître orfèvre. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIe siècle. | ||
ROYAUME JEAN | ROYAUME JEAN | ||
Maître horloger. Mentionné à Genève en 1669. | Maître horloger. Mentionné à Genève en 1669. | ||
ROYAUME MARC | ROYAUME MARC | ||
Apprenti horloger à Genève chez Pierre Sion en 1679. | Apprenti horloger à Genève chez Pierre Sion en 1679. | ||
ROYAUME PIERRE | ROYAUME PIERRE | ||
Maître orfèvre. Mentionné à Genève dans la première moitié du XVIIe siècle. Boîtes de montres. Forme Jean II Petitot et Jean I. André. Associé à François Legare. | Maître orfèvre. Mentionné à Genève dans la première moitié du XVIIe siècle. Boîtes de montres. Forme Jean II Petitot et Jean I. André. Associé à François Legare. | ||
ROYAUME SAMUEL | ROYAUME SAMUEL | ||
Maître orfèvre. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIe siècle. Boites de montres. | Maître orfèvre. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIe siècle. Boites de montres. | ||
RUARD JEHAN | RUARD JEHAN | ||
Horloger. Mentionné à Genève vers 1602. | Horloger. Mentionné à Genève vers 1602. | ||
RUDHARDT CH. | RUDHARDT CH. | ||
Horloger. Mentionné à Genève dès 1857. | Horloger. Mentionné à Genève dès 1857. | ||
RUEFF ELIE | RUEFF ELIE | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1862. | Horloger. Mentionné à Genève en 1862. | ||
RUEGGE (RUEGGER, RUEGGEN) ISAAC | RUEGGE (RUEGGER, RUEGGEN) ISAAC | ||
Fils d'Isaac. De Aarburg, canton de Berne (Suisse). Horloger. Reçu habitant, avec son fils mineur Moïse, en 1790. | Fils d'Isaac. De Aarburg, canton de Berne (Suisse). Horloger. Reçu habitant, avec son fils mineur Moïse, en 1790. | ||
RUEGGER (RUGGER) JACQUES | RUEGGER (RUGGER) JACQUES | ||
Mentionné à Genève au début et milieu du XIXe siècle. Fabricant de montres en or, argent, émail. Montres à répétition et calendrier. | Mentionné à Genève au début et milieu du XIXe siècle. Fabricant de montres en or, argent, émail. Montres à répétition et calendrier. | ||
RUEGGER ALFRED | RUEGGER ALFRED | ||
Horloger. Montres à clé, savonnettes en or et émail. Mentionné à Genève en 1857. | Horloger. Montres à clé, savonnettes en or et émail. Mentionné à Genève en 1857. | ||
RUEGGER E.M. | RUEGGER E.M. | ||
Horloger, fabricant. Maison à Paris. Construit des montres dont la mécanique est de très bonne qualité avec boîte décorée d'émail de parfaite exécution. Utilise souvent, et parmi les premiers à Genève, l'échappement à ancre latérale. | Horloger, fabricant. Maison à Paris. Construit des montres dont la mécanique est de très bonne qualité avec boîte décorée d'émail de parfaite exécution. Utilise souvent, et parmi les premiers à Genève, l'échappement à ancre latérale. | ||
RUEGGER J.-L.-A. | RUEGGER J.-L.-A. | ||
Établisseur. Mentionné à Genève en 1870. | Établisseur. Mentionné à Genève en 1870. | ||
RUEHL | RUEHL | ||
Guillocheur. Présent à l'Exposition de Genève en 1828. | Guillocheur. Présent à l'Exposition de Genève en 1828. | ||
RUFF CH. | RUFF CH. | ||
Atelier d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1866. | Atelier d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1866. | ||
RUFFI JEANNE | RUFFI JEANNE | ||
Faiseur de chaînettes. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIIe siècle. | Faiseur de chaînettes. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIIe siècle. | ||
RUSILLON M. | RUSILLON M. | ||
Emailleur. Mentionné à Genève en 1866. | Emailleur. Mentionné à Genève en 1866. | ||
RYSER CH. | RYSER CH. | ||
Horloger. Mentionné à Genève en 1924. | Horloger. Mentionné à Genève en 1924. |
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<metakey>Старинные, часы, часовщик</metakey> Данная статья о старинных часовых мастерах Европы, на французском языке. Статья из словаря старинных часовых имен, семейных часовых фирм, и ранних часовых марок.
Словарный формат подразумевает сжатые сведения об имени, происхождении, годах жизни или работы мастера-часовщика, а также о направлении деятельности его предприятия, и упоминании/нахождении старинных часов его авторства в музейных коллекциях.
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RABAL J. & FILS Fabricants d'aiguilles de montres à Genève. Sont les premiers, dès 1784, à fabriquer en série des aiguilles décorées avec rosette.
RABY JEAN PIERRE Apprenti horloger chez Estienne Janvier à Genève en 1644.
RABY PHILIPPE Maître monteur de boîtes de montres. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIe, début du XVIIIe siècle. Forme David Soux en 1679.
RACHETER-BLOCH Marque de réveils et pendules produites par Tavannes Watch Co. Mentionné à Genève en 1924.
RACINE Fabricant d'horlogerie. Horloger, bijoutier. Mentionné à Genève en 1828.
RACINE & TEROND A. Fabricants d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1830.
RACINE C.F. Fabricant bijoutier, joaillier. Mentionné à Genève à la fin du XIXe, début du XXe siècle. Peinture sur émail, spécialisé dans la décoration de boîtes de montres.
RACINE DAVID Originaire du Locle et de La Chaux-de-Fonds, dont les ancêtres fondèrent, en 1590, la Communauté des Montagnes de la Paroisse de Saint-Imier. Une branche de cette famille s'établit au Crêt de la Borne, près de la Rangée des Robert, puis elle essaima et se fixa à Mont-Tramelan. C'est là qu'est né David Racine qui fit son apprentissage soit à La Ferrière ou à La Chaux-de-Fonds. En 1708, il était appelé "expert maître horloger" et il était lié avec la plupart de ses collègues de toute la région. Il s'occupait aussi de la culture des terres et arrondit le domaine qu'il hérita de ses parents. C'était un homme considéré dans la région et il peut être compté comme un des pionniers de l'horlogerie à Mont-Tramelan et environs. Il était frère de Pierre Racine, architecte.
RACINE EDOUARD (1841-1912). Monteur de boites à Genève. Membre du conseil d'administration de la "Coopérative" dès 1871, en devient président en 1901. RACLE A La Neuveville, plusieurs membres de cette famille furent des horlogers remarquables.
RACQUET CLAUDE-ALEXIS Fils d'Adrien. Melun (France). Horloger et graveur sur bois. a un fils. Reçu habitant de Genève en 1790.
RADJA NAYA Marque genevoise enregistrée.
RAFFARD Horlogerie. Mentionné à Genève de 1785 à 1835.
RAFFARD & OPPELT Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1860.
RAFFARD DANIEL Horloger. Mentionné à Genève vers 1780.
RAFFARD DAVID Maître horloger à Genève, en 1681. Apprenti chez Jaques I Caillate (Caillatte) en 1674.
RAFFARD DÉSIRÉ Mentionné à Genève en 1820-1831. Montres à répétition à ponts, à échappement à cylindre. Présent à l'Exposition de Genève en 1828.
RAFFARD ET GRUTIN Fabricants d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1844.
RAFFARD FRANÇOIS LOUIS Maître horloger. Mentionné à Genève dans la première moitié et au milieu du XVIIIe siècle. On trouve sa signature sur une montre datée de 1731.
RAFFARD JOHN-HENRY Horloger. Mentionné à Genève vers 1817.
RAHM LES FRÈRES Fondeurs à La Chaux-de-Fonds. Livrent des boites de pièces d'officier en fonte à J. Robert et fils de 1781 à 1783.
RAIGUEL Cette famille a fourni d'habiles horlogers à Corgémont.
RAILWAY GUARD'S WATCH Marque genevoise enregistrée.
RAISAN DANIEL Horloger. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIIe, début du XIXe siècle.
RAMAZ ANTOINE Emailleur. Mentionné à Genève vers 1909.
RAMBAL JOSEPH Horloger régleur. Professeur à l'Ecole municipale de Genève. Membre de la Société des Arts. Publie l' « Enseignement théorique de l'Horlogerie », en 1889.
RAMBAUD ANTOINE Fils de Pierre. Châtillon, Dauphiné (France). Orfèvre. Reçu habitant de Genève en 1752.
RAMBAUD DAVID Fils de Pierre. Châtillon, Dauphiné (France). Orfèvre. Reçu habitant de Genève en 1756.
RAMBOSSON Horlogerie. Mentionné à Genève en 1837.
RAMEL J. Peintre sur émail, en 1900. Mentionné à Genève en 1915.
RAMEL PIERRE Maître horloger à Genève. Apprenti chez Pierre Noblet en 1623. Marié en 1639.
RAMSER A. Fabricant de montres et de bijoux. Présent à l'Exposition nationale de Genève en 1896.
RAMSER, LEUBA ET CHARBONIER Fabricants d'horlogerie. Mentionnés à Genève en 1870.
RAMU Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1792.
RAMU & CIE. Orfèvres. Mentionnés à Genève en 1924.
RAMU JACOB Maître orfèvre. Mentionné à Genève au milieu du XVIIe siècle.
RAMU JEAN Maître horloger. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIe siècle. Forme J. J. Croppet en 1666 et Marc Prevost en 1670.
RAMU JÉRÉMIE Né en 1738. Horloger à Genève. Travaille encore en 1791.
RAMU, PATTEY & FILS Fabricants d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828.
RAMUSAT MOÏSE De Sergy, Pays de Gex, Ain (France). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1700.
RAMUZ FRANÇOIS-RODOLPHE Fils d'Hugues. De Cudrefin. Peintre sur émail. Bourgeois de Neuchâtel (Suisse). Reçu habitant de Genève en 1755.
RAND Horloger. Mentionné à Genève en 1835.
RANDALL ANTHONY Anthony Randall est considéré comme l'un des meilleurs horlogers actuels. Il est le spécialiste des pendulettes très compliquées qu'il équipe de spiraux en verre (pyrex). Anthony Randall. 45 Summerdown road; Eastbourne East Sussex BN 208 DR; Tél. ++44 323 7 22 441.
RANNAZ Fondée à Genève en 1870, elle s'installe à Cluses en 1886 à l'emplacement de l'actuelle maison des Allobroges. Alfred Rannaz est connu pour la grande qualité de ses produits : ébauches, finissages, petites pièces de luxes, petits chronomètres. C'est une des rares maisons clusiennes à se lancer dans le décolletage dès la fin du siècle.
RANNAZ & DURET Fabricants de mouvements. Vers 1876. Gagnent une médaille d'argent à l'Exposition universelle de Paris en 1878. Signent un mouvement pour une montre de Potter vers 1880. Sont établis à Cluses (Haute-Savoie) avec une succursale à Genève. Remportent le Grand Prix de Gand en 1913. Fournissent des mouvements à ancre, des mouvements à cylindre de tous genres de très bonne qualité.
RAPS (RASP) JEAN-GEORGES Fils de Jean-Jacques. Strasbourg (France). Orfèvre, bijoutier. Reçu habitant de Genève en 1762.
RATH HENRIETTE Miniaturiste sur émail. Travaille à Saint-Petersbourg (Russie).
RAUZIER Mentionné à Genève à la fin du XVIIIe, début du XIXe siècle. Montres en or, émaillées.
RAVAUD THOMAS Apprenti horloger à Genève chez Jaques Sermand, l'oncle en 1648 et chez Jaques I Joly en 1651.
RAVEL ET MAGNIN Émailleurs. Mentionné à Genève en 1874.
RAVIER JEAN ET MOTTU Fabricants et marchands d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1866.
RAVOIRE MARC Fils d'Ami. De Bonvard, paroisse de Vandoeuvres, canton de Genève. Horloger. Reçu habitant de Genève en 1763.
RAY FRERES Probablement marchands. Mentionnés à Genève à la fin du XVIIIe siècle. Montres à cadran décimal.
RAYMOND Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1831.
RAYMOND ABRAHAM-DAVID Fils de Joseph. Vallée de Joux (France). Faiseur de cadrans. A un fils. Reçu habitant de Genève en 1791.
RAYMOND ET FILS Établisseurs d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1870.
RAYMOND EUGÉNIE Peintre sur émail. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XIXe siècle. Spécialisée dans les portraits.
RAYMOND F. Peintre sur émail. Mentionné à Genève en 1862.
RAYMOND FS-SAMUEL Peintre sur émail. Mentionné à Genève en 1857.
RAYMOND J.-E. Peintre sur émail. Mentionné à Genève en 1862.
RAYMOND LAZARE-TOUSSAINT Maître horloger. Mentionné à Genève en 1775-1791.
RAYMOND-44 Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828-1831.
RAYMOND-NICOLE Pièces à musique. Mentionné à Genève en 1835.
RAZ JEAN-LOUIS Horloger. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIIe, début du XIXe siècle.
RAZ SIMON Horloger. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIIe, début du XIXe siècle.
REBOUL CLAUDE De Villefort en Languedoc (France). Apprenti horloger à Genève chez Jaques Sermand l'oncle en 1628.
REBOUL DANIEL-ANTOINE Maître horloger. Mentionné à Genève en 1775-1791.
REBOUL PIERRE De Villefort en Languedoc (France). Apprenti à Genève chez Jaques Sermand l'oncle, en 1627.
RECLAN BALTHAZAR Apprenti orfèvre à Genève chez Jaques Jaccon en 1680.
RECLAN JEAN Maître orfèvre. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIe siècle. Construit des boîtes de montres. Forme Jules Carnier en 1638.
RECORD WATCH & CO. Fabricants. Maison fondée en 1905.
RECORDON LOUIS (1756-1826). Horloger très réputé. Originaire de Sainte-Croix (Suisse). Fait son apprentissage à Genève, puis s'établit à Londres (Angleterre) où il représente la Maison Breguet. Perfectionne une montre à remontage perpétuel en 1780. S'associe avec Droz, en 1782, pour une courte période. Ses oeuvres sont très soignées. Construit des montres à sonnerie au passage, répétitions, montres astronomiques, montres à remontage par secousse, montres de carrosse, pendulettes de voyage et de cheminée. Exporte en Turquie, Espagne et Amérique du Nord. Reçu habitant, avec ses deux fils mineurs en 1790.
REDARD Horlogerie. Mentionné à Genève vers 1850.
REDARD & CHATELAIN Fabricants et marchands d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1857.
REDARD A. & FRERES Montres compliquées. Mentionné à Genève à la fin du XIXe, début du XXe siècle.
REDARD H. (REDART) & FILS Maison fondée à Genève en 1844. Fabricants d'horlogerie, chronomètres de poche, montres de précision simples et compliquées et montres-pendentifs. Présentent à l'Exposition universelle de Chicago en 1893, des montres compliquées et des montres de précision. Présents à l'Exposition nationale de Genève en 1896.
REDARD JACQUES-HENRI Pendulier aux Verrières dans la première moitié du XIXe siècle. Une pendule à grande sonnerie signée sur le cadran. Un " Redard pendulier à Buttes" est mentionné en 1817 et 1819.
REDART JACOT HENRI Établisseurs d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1870.
REDOUTÉ MARC Horloger. Genève en 1747 et Lyon de 1768 à 1772.
REGARD Peintre sur émail. Mentionné à Genève en 1857.
REGARD LOUIS Emailleur. Mentionné à Genève en 1907 et 1909.
REGAVELLY JEAN Fils de Pierre. Horloger de la ville de Neuchâtel en 1580 et 1582.
REGAVELLY PIERRE Père de Jean. Horloger de la ville de Neuchâtel en 1575.
REGISTERED Marque genevoise enregistrée.
REGNEND (RIGUER) JACQUES-FRANÇOIS Fils de Jacques. De Essertines, bailliage d'Yverdon (Suisse). Maître "faiseur" de boîtes et d'étuis. Reçu habitant de Genève en 1706.
REGUEL PIERRE Horloger. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIIe siècle.
REGUILLON Maître horloger. Mentionné à Genève vers 1780.
REGUILLON & AUBERT S'associent en 1746 à Genève pour fabriquer des montres et de la joaillerie. Se séparent peu après.
REGUILLON & BERGIE Horlogers et marchands. Mentionné à Genève à la fin du XVIIIe siècle. Montres à automates, à répétition à quarts, boîtes en or trois couleurs repoussé, décorées d'émail et perles.
REGUILLON JEAN Maître orfèvre. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIe siècle.
REGUILLON MARC Maître horloger. Mentionné à Genève dans la première moitié et milieu du XVIIe siècle. Forme Jean Lixon en 1642.
REGUILLON PIERRE Fils de Pierre. Maître horloger à Genève, en 1780. Montres à répétition en or, émail et perles. Associé un certain temps avec Bergier. La raison sociale devient Reguillon et Bergier.
REGUILLON PIERRE (1697-1775). Maître horloger à Genève. Associé avec Aubert en 1746. La raison sociale devient Reguillon et Aubert. Dissolution après peu de temps, ensuite travaille seul.
REICH A. Horloger. Mentionné à Genève en 1924.
REINALDI De Carouge (Genève). Horloger. Fin du XVIIIe, début du XIXe siècle. Montres décimales.
REISSERT H. Horloger. Mentionné à Genève en 1860.
REMBAL Atelier d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1866.
REMBRANDT Marque genevoise enregistrée.
REMERIER Horloger. Mentionné à Genève à la fin du XVIIIe, début du XIXe siècle.
REMON Horloger. Travaille pour Droz et Leschot. Mentionné à Genève à la fin du XVIIIe, début du XIXe siècle.
REMOND & CO. Horlogers. Mentionné à Genève au début du XIXe siècle.
REMOND (RAIMOND) PIERRE-BENOÎT Fils de Benoît. Paris (France). "Faiseur" de boîtes. Reçu habitant de Genève en 1736.
RÉMOND (REYMOND) JEAN-GEORGES Orfèvre. Fils de Jean. Travaille de 1783 à 1820. Maître orfèvre dès le 22 décembre 1783, il frappe son premier poinçon de Maître. Reçu habitant de Genève en 1785. En 1790, il fonde une Société: Georges Rémond & Cie, et travaille de 1783 à 1820. En 1800 la raison sociale devient Rémond, Mercier, Lamy & Cie. Spécialisés dans la tabatière, la montre tabatière, la boîte à oiseau chanteur, les montres de forme et les boîtes à musique. Durant l'occupation française de la Suisse par Napoléon, J. G. Rémond enregistre des poinçons conformes aux lois du Nouveau Département du Léman, ses initiales étaient enfermées dans un losange. De 1815 à 1820, la Maison Lamy, Rémond, Mercier, Daniel Berton utilise un poinçon similaire. Il semble que Rémond se retira ou mourut durant cette association, car en 1820, une nouvelle raison sociale apparut : Mercier, Blondel et Berton. Cependant, cette nouvelle société ne dura que 7 ans, jusqu'au 14 avril 1827.
RENAUD & J. CLERMONT SA. Orfèvres. Mentionnés à Genève en 1924.
RENAUD ALEXANDRE Fils de Jean-Louis, né le 12 février 1811. Mécanicien, horloger pendulier et inventeur. Apprenti de David-Henri Matthey, pendulier à La Brévine. En 1753 domicilié à Corcelles, remet presque complètement à neuf l'horloge d'Auvernier. Une pendule grande sonnerie, cadrature remarquable.
RENAUD FRANÇOIS Horloger. Mentionné à Genève vers 1688.
RENAUD JULES A. Horloger. Premier quart du XXe siècle à Genève. En 1924. Petite manufacture qui construit, en nombre limité, des montres simples et compliquées, montres extra-plates de bonne qualité, destinées en grande partie au marché nord-américain.
RENAUD PIERRE Fils de Moïse, du Locle. Chargé en 1711 de transformations importantes à l'horloge du Locle, mais le marché fut rompu.
RENCHET ET RUHL Fabricants et marchands d'horlogerie. Mentionnés à Genève en 1860.
RENDU JEAN-FRANÇOIS Horloger. Meyrin. Mentionné à Genève vers 1772.
RENDU LOUISE Peintre sur émail. Mentionné à Genève en 1861.
RENEVEY J. Emailleur et peintre sur émail. Mentionné à Genève dans le second tiers du XXe siècle.
RENISH Horloger. Mentionné à Genève vers 1776.
REPINGON JACQUES Fils de Jacques. Monteur de boîtes. Reçu habitant de Genève en 1792.
REPPERSCHMIDT (NEPPERSCHMIDT) PHILIPPE-GOTTLIEB Fils d'Emmanuel. Augsbourg (Allemagne). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1758.
RERA CLAUDE JOSEPH Né en 1765. Horloger. Mentionné à Genève.
RETOR ET CIE. Fabricants et marchands d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1866.
RETOR FRANÇOIS Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève vers 1850.
RETOURET Horloger finisseur. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XIXe siècle. Montres compliquées de bonne qualité astronomiques et calendrier perpétuel rétrograde.
REUGGER Horloger et bijoutier. Montres fantaisie, en présente un certain nombre à l'Exposition de Genève en 1828.
REVACHE JEAN-PIERRE Horloger. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIIe, début du XIXe siècle.
REVACLIER JEAN-PIERRE Fils de Jacob. Laconnex. Horloger, Reçu habitant de Genève en 1759.
REVERCHON LÉOPOLD Publie, à Genève, en 1929, avec Didisheim, un traité sur "La Machine planétaire et l'oeuvre astronomique de Huygens".
REVERDIN Monteur de boîte. Mentionné à Genève.
REVERDIN JEAN Horloger. Mentionné à Genève vers 1815.
REVILLARD (REVILLOD) JACQUES Maître monteur de boîtes. Mentionné à Genève dans la première moitié du XVIIIe siècle.
REVILLIOD Horloger. Mentionné à Genève en 1860.
REVILLIOD THOMAS Apprenti orfèvre chez Jean Syran. Mentionné à Genève en 1586.
REVILLON ALFRED-FR. Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1861.
REVILLON FRANÇOIS Horloger. Mentionné à Genève en 1860.
REVU Horloger-repasseur. Mentionné à Genève en 1835.
REY Courtier en horlogerie. Mentionné à Genève.
REY & FLOURNOY Horlogers. Mentionnés à Genève en 1790-1810.
REY AMI-FRANÇOIS (1773-1833). Fils de Gédéon. Maître horloger à Genève.
REY ANTOINE Né à Genève. Fils d'Antoine. Originaire du Dauphiné (France). Horloger.
REY ANTOINE Maître horloger, Dardagny (Genève). Seconde moitié du XVIIe, début du XVIIIe siècle. Forme Laurent Chappuzeau fils de Samuel, en 1674; François Baveu en 1678 et Jean George Rey en 1680.
REY AUGUSTIN Horloger. Mentionné à Genève vers 1817.
REY E. Peintre en cadran et sur émail. Mentionné à Genève de 1900 à 1924.
REY ETIENNE DIT ROY Apprenti horloger à Genève chez Martin Duboule en 1629.
REY FRERES Maîtres horlogers à Genève dès 1710. Leur signature figure sur une montre oignon à deux aiguilles datée de 1712.
REY FRERES Etablisseurs d'horlogerie. Mentionnés à Genève au début du XIXe siècle. Font faillite le 1er octobre 1821.
REY ISAAC Né à Genève en 1756. Horloger.
REY ISAAC (1713-1792). Fils de Jean François. Maître orfèvre à Genève. Travaille avec son frère Jean Jaques.
REY JEAN ANTOINE I (1682-1787). Maître horloger à Genève. S'associe avec son frère en 1748, sous la raison sociale: Les Frères Rey, puis avec ses fils.
REY JEAN ANTOINE II (1712-1794). Fils de Jean Antoine I. Maître horloger et orfèvre à Genève.
REY JEAN ANTOINE III Fils de Jean Antoine II. Maître horloger à Genève. Travaille avec son frère. Meurt en 1803.
REY JEAN ET ANTOINE Fabricants d'horlogerie. Mentionné à Genève à la fin du XVIIIe siècle.
REY JEAN FRANÇOIS Maître horloger. Mentionné à Genève dès 1712. S'associe avec son frère Jean Antoine I en 1748.
REY JEAN-GÉDÉON (Genève 1780-1848). Fabricant d'horlogerie.
REYMOND ET SALAZ Fabricants et marchands d'horlogerie. Mentionnés à Genève en 1857.
REYMOND PIERRE Peintre en cadrans. Mentionné à Genève vers 1907.
REYMOND S.-L. Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1820-1830.
REYMOND SAMUEL (1830-1860 environ). Montres de bonne qualité, avec remontage spécial, par le pendant, à piston, par tirage. Mentionné à Genève en 1844 et 1860.
REYNAUD & GLATON Horlogers. Mentionné à Genève en 1870-1900 environ. Montres-pendentifs en or et émail.
REYNAUD P. & CIE. Fabricants et marchands d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1857 et 1866.
REYNAUD PAUL Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1862.
RIALZ GEORGES Horloger. Travaille pour Droz et Leschot. Mentionné à Genève à la fin du XVIIIe, début du XIXe siècle.
RICH JOHN Anglais. Genève et Londres, fin XVIIIe siècle jusque vers 1825. Très fameux marchand. Spécialisé en montres automates, montres squelette à musique sur clochettes, montres oiseau chanteur, tabatières à automates, montres en forme de flacon de parfum. Travaille avec les Jaquet-Droz et Leschot, les Rochat. Ses oeuvres sont toujours de très grande qualité, richement décorées, utilise l'échappement à verge et à cylindre. Signe le mouvement: "J. Rich, London & Genève".
RICHAR A. Horloger, marchand. Montres pendentifs. Mentionné à Genève vers le milieu du XIXe siècle.
RICHARD Des ouvriers de ce nom ont été occupés à l'horlogerie à Sonvilier.
RICHARD CIE. Bijoutiers et orfèvres. Construisent des boîtes de montres pour Droz et Leschot. Mentionné à Genève à la fin du XVIIIe, début du XIXe siècle.
RICHARD DAVIS De Valangin, canonnier à Neuchâtel. Reçu dans la Compagnie des Favres, Maçons et Chappuis en 1660. Cité de 1665 à 1667 comme réparant plusieurs horloges de la ville.
RICHARD ÉTIENNE JOSEPH Fils de Louis-Joseph. Paris (France). Bijoutier. Reçu habitant de Genève en 1790.
RICHARD JEAN-LOUIS Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1775-1791.
RICHARD LOUIS Voir JeanRichard, Louis.
RICHARD P.-D. Un mouvement de pendule signé "P.D. Richard 5 déc. 1832 " .
RICHELIEU Marque genevoise enregistrée.
RICHON FRANÇOIS Peintre sur émail. Présent à l'Exposition nationale Suisse de Genève en 1896.
RICHTER JEAN LOUIS (Genève 1766-1841). Peintre sur émail très réputé. Élève de David-Étienne Roux et Philippe-Samuel-Théodore Roux. S'associe avec Aimé Julien Troll en 1828. Spécialisé dans les paysages, scènes marines, scènes de chasse, lacustres et rupestres et dans les portraits. Décore des boîtes de montres et des tabatières. Signe: Richter, en écriture cursive. Les montres décorées par lui sont en majorité destinées aux marchés chinois, turc, anglais et italien.
RIES (RIEZ) JEAN-GEORGES Fils d'Eberhard Antoine. Principauté de Darmstadt (Allemagne). Maître orfèvre, maître bijoutier. Reçu habitant de Genève, avec son fils Henri, en 1790.
RIEU JEAN S'associe avec Antoine Gervais. Mentionné à Genève vers 1710.
RIEUSSEC NICOLAS-MATHIEU Né à Toulouse en 1781, il ouvrit un commerce de montres, en 1802, alors qu'il était encore mineur, dans l'Île de la Cité à Paris. Nommé horloger du Roi au début de 1817, Rieussec demanda, le 1er juin de la même année, le titre d'"Horloger du Garde Meuble", titre qu'il obtint l'année suivante. Il est en outre, en 1821, l'inventeur du chronographe encreur, avec une aiguille avec un réservoir à encre et un cadran tournant. Cela permettait d'inscrire le temps mesuré et de le lire sur le cadran. Un système amélioré en 1823 par Fatton pour Breguet. Son fils Joseph-Ferdinand Rieussec, né à Paris, le 15 décembre 1804, fut également horloger.
RIFLE J. Horloger. Mentionné à Genève vers 1909.
RIGAUD GEORGES Fils de Jean Antoine. Maître horloger. Mentionné à Genève dans la première moitié du XVIIIe siècle.
RIGAUD JEAN ANTOINE Maître horloger. Mentionné à Genève à la fin du XVIIe, début du XVIIIe siècle.
RIGAUD PIERRE Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1750-1800. Montres de tout genre, mouvements de type classique, fusée et échappement à verge.
RIGOT FRANÇOIS Horloger. Mentionné à Genève dans le segond quart du XIXe siècle. Construit des montres décoratives de toutes dimensions. Il utilise tant l'échappement à cylindre qu'à ancre, il fait également des montres extraplates.
RILLET J.-B. Horlogerie. Mentionné à Genève à la fin du XVIIIe siècle.
RILLIET THÉODORE Apprenti "faiseur" de boîtes, à Genève, chez Jaques Chevallier en 1679.
RIMOND Horloger-repasseur. Mentionné à Genève en 1835.
RISSÉE CHARLES Artiste doreur à Neuchâtel en 1815.
RISSOT JOHN Peintre sur émail, vers 1889. Mentionné à Genève de 1900 à 1915.
RITTEL ANDRÉ Maître "faiseur" de ressorts de montres à Genève. Associé avec Abraham Joly en 1672 et 1673. Forme Sigismond Delafeuille en 1687.
RITTEL JAQUES Maître horloger. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIe siècle. Apprenti chez David Lecoq en 1662. Forme Abraham Joly en 1679. Travaille avec Jean-Antoine Dechoudens (maître et marchand horloger) en 1680.
RITTER JEAN-LOUIS Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1754-1790.
RIVAL (RIVAZ) JEAN Apprenti horloger à Genève chez David Liège en 1698 et chez David Homel en 1700.
RIVAL ABEL Maître orfèvre. Mentionné à Genève au milieu du XVIIe siècle. Boîtes de montres.
RIVAL ANTOINE-LOUIS Maître horloger. Mentionné à Genève en 1770-1790.
RIVAL CLOD Maître horloger. Mentionné à Genève dans la première moitié du XVIIe siècle.
RIVAL DAVID Maître "faiseur" de boîtes de montres. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIe siècle.
RIVAL JEAN-JACQUES Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1775-1791.
RIVAL JEAN-JACQUES-ANTOINE-LOUIS Né à Genève. Fils de David. Horloger. Reçu habitant de Genève en 1785.
RIVAL LOUIS Maître horloger à Genève. Apprenti chez David Liège en 1698 et en 1700 chez David Homel.
RIVAL PAUL Maître "faiseur" de boîtes de montres à Genève. Apprenti orfèvre chez Legrand Roy en 1671.
RIVAL PAUL-LOUIS Né à Genève. Fils de Jean-Louis. Maître orfèvre. Reçu habitant de Genève, avec ses quatre fils, en 1783.
RIVARD CLAUDE Maître orfèvre. Mentionné à Genève dans la première moitié du XVIIe siècle. Boîtes de montres. Forme Abraham Planchamp en 1624; Jérémie Bardin en 1628 et Georges Foex en 1630.
RIVE DE LA AUGUSTE Physicien à Genève. Invente le procédé de dorure galvanique en 1842.
ROBERT ABEL Présente en 1740 à la Communauté de la Brévine un plan d'horloge neuve qui ne fut pas accepté.
ROBERT ABRAM De Renan (Suisse). Ébéniste et peintre, fait des boîtes de pendules. Cité de 1728 à 1744.
ROBERT ABRAM Fils de Joseph, juré. Associé en 1750 de Jean-Pierre Droz; achète à cette date des cabinets de pendules à Abram-Louis Sandoz. Prend en 1754 Daniel Calante comme apprenti.
ROBERT ABRAM Émailleur à La Chaux-de-Fonds. Fournit des cadrans de pendules à J. Robert et fils et Cie en 1784.
ROBERT ABRAM-LOUIS Fils de Moïse. Maître pendulier à La Chaux-de-Fonds, mentionné de 1756 à 1787. Achète en 1756 des cabinets de pendules à Sandoz. Plusieurs pendules style Louis XV et Louis XVI signées A. L. R.
ROBERT AIMÉ Né en 1758, mort le 3 août 1834, fils du capitaine Louis-Benjamin et de Charlotte Sandoz, époux de Charlotte Droz-dit-Busset. Fit partie de la maison J. Robert et fils et Cie depuis 1787. Il n'est plus mentionné parmi les associés à partir de 1811. Avait comme spécialité de piquer les cylindres des carillons de pendules.
ROBERT ANDRÉ Mentionné comme artiste à La Chaux-de-Fonds, ayant fait de remarquables pendules.
ROBERT AUGUSTIN Né en 1802, mort en 1859, fils de Charles-Auguste. Pendulier d'abord aux Ëplatures Bonne Fontaine, puis à La Chaux-de-Fonds. Finit ses jours à Cortaillod. De 1841 à 1846 Alphonse-Henri Borel lui envoie 411 cadratures et Dubois lui livre de nombreux cabinets.
ROBERT CHARLES Fabricant de ressorts de montres et de pendules à La Chaux-de-Fonds. Cité de 1834 à 1836.
ROBERT DAVID LÂ'AÎNÉ Capitaine, né en 1717, enterré le 19 mars 1769, fils de Josué, frère de Louis Benjamin, époux de Suzanne Jaquet Droz, soeur de Pierre. "Très expert horloger". En relations avec Pierre Jaquet-Droz et Abraham-Louis Sandoz. Cité en 1764 comme faisant construire par un grand nombre d'ouvriers toutes sortes de pendules curieuses. Nombreuses pendules Louis XIV et Louis XV signées « Robert l'aîné ».
ROBERT FRÉDÉRIC Fils d'Abram. Reçoit en 1757 Lettre d'apprentissage de Jean-Pierre Du commun-dit-Boudry, pendulier. Sa maison de la Joux-Perret brûle complètement et il obtient en janvier 1786 de la Communauté de La Chaux-de-Fonds l'autorisation de faire une quête.
ROBERT JACQUES Horloger. Répare en 1716 l'horloge de Cortaillod dont il est habitant en 1722.
ROBERT JOSUÉ Né en 1691, enterré le 1er mai 1771, fils de David, époux de Madelaine Robert-Nicoud, puis de Anne-Marie Humbert-Droz; père des capitaines David et Louis-Benjamin et de Jonas-Pierre, maire de La Chaux-de-Fonds. Une de ses nièces avait épousé Abram-Louis Sandoz et devint la belle-mère de Pierre Jaquet-Droz. Pendulier à La Chaux-de-Fonds, jouissant d'une grande considération. Horloger du roi depuis 1725. A comme apprentis Abram Sandoz et Abram Du Pasquier en 1739 et comme ouvrier Jacques Vuillaine en 1730. Reçoit des cabinets d'Abram-Louis Sandoz, en fait venir d'autres de Paris. Fondateur de la maison J. Robert et fils. Dans le canton et à l'étranger, un grand nombre de pendules signées.
ROBERT LOUIS Pendulier, reçoit des cabinets de Charles-Frédéric Dubois de 1824 à 1830. Dubois envoie en 1830 deux cabinets à un Robert, d'Espagne. Quelques pièces à sonneries des quarts signées.
ROBERT LOUIS-BENJAMIN Le capitaine, né le 3o avril 1732, enterré le 19 mars 1781 à La Chaux-de-Fonds, fils de Josué, frère de David, époux de Charlotte, fille d'Abraham-Louis Sandoz-Gendre. Pendulier réputé, associé de son père puis de Louis Courvoisier avec lequel il fonde la maison J. Robert et fils et Cie. A comme apprenti Jacques Molantzia en 1760 ; dans la suite occupe de très nombreux ouvriers.
ROBERT PIERRE Né en 1758 à Genève. Horloger.
ROBERT PIERRE-LOUIS Fils de Joseph-Henri. Auvernier, comté de Neuchâtel (Suisse). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1768.
ROBERT THÉODORE décédé en avril 1775. Sa veuve est citée jusqu'en 1779, fille du notaire David, père d'Henri. Pendulier expert, mentionné parfois comme négociant. Cité de 1745 et 1768 dans le Rôle de La Chaux-de-Fonds. Ami des Jaquet-Droz. Reçoit de 1750 à 1757 des cabinets de pendules de Sandoz.
ROBERT ULISSE Horloger. Mentionné à Genève en 1862.
ROBERT-TISSOT ABRAM Notaire et horloger au Locle en 1630.
ROBERT-TISSOT GUSTAVE Né en 1804. Cité pendulier à La Chaux-de-Fonds de 1825 à 1828.
ROBIN A.-L. Fabricant et marchand d'horlogerie en tous genres. Mentionné à Genève vers 1870.
ROCH & CIE. Fabricants et marchands d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828.
ROCH GEORGES Mentionné à Genève en 1840-1860 environ. Montres en tous genres. Utilise l'échappement à ancre latérale avec balancier compensé.
ROCH JOSEPH Horloger. Mentionné à Genève en 1860 et 1866.
ROCH LEWIS OU LOUIS Fin du XVIIIe, début du XIXe siècle à Genève. Montres simples et compliquées, mouvements classiques et calibre Lépine, montres de bonne qualité en or trois couleurs et émail.
ROCH LOUIS-JOSEPH Fils naturel de feu Louis, citoyen. Monteur de boîtes. Reçu habitant de Genève en 1776.
ROCHAT Emboîteur. Mentionné à Genève vers 1909.
ROCHAT & JOSSEAUME Fabricants horlogers. Mentionnés à Genève en 1829.
ROCHAT & MEYLAN Horlogers. Mentionnés à Genève vers 1815.
ROCHAT & NICOLE Fabricants de pièces à musique. Mentionnés à Genève en 1835.
ROCHAT A.-F. Mentionné à Genève entre 1830-1861. Oiseaux chanteurs. Fabricant d'horlogerie diverse.
ROCHAT AMI Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1844.
ROCHAT AMI FILS Fabricants d'horlogerie et marchand. Mentionnés à Genève en 1857.
ROCHAT CHARLES-DAVID (Genève 1834-1879). Fils de Jean-Louis. "Etablisseur" d'horlogerie. Continue la fabrique de son père.
ROCHAT F.-P. Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828-1831.
ROCHAT FRANÇOIS Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1857-1860.
ROCHAT FRERES Amy Napoléon et Louis. Fabricants d'horlogerie et mécaniciens. Mentionnés à Genève en 1810-1835. Parmi les meilleurs horlogers et mécaniciens genevois de la fin du XVIIIe siècle et du premier tiers du XIXe siècle. Très doués, apprentis chez leur père Pierre Rochat "Chez Meilland" au Brassus. Horlogers chez J. Droz et Leschot, deviennent rapidement les meilleurs dans la construction des mécaniques compliquées des oiseaux chanteurs et montres à automates. Perfectionnent la mécanique des oiseaux chanteurs avec un plus grand nombre de cames qui donne un mouvement plus naturel au petit automate, ainsi que les tiges à piston qui améliorent le solfège. Leurs oeuvres comportent souvent des montres, boîtes en or trois couleurs, émail peint, perles et pierres. Leurs montres étaient souvent décorées par des artistes tels que George Reymond, Adam, Lissignol et Richter. Ils utilisent le poinçon F.R. dans un losange.
ROCHAT H.-M.-S. Établisseur. Mentionné à Genève en 1870.
ROCHAT HENRI Horloger. Mentionné à Genève en 1860-1861.
ROCHAT J.-L. Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828.
ROCHAT JEAN-MARC-DAVID Fils de David Rolle (Suisse). Maître horloger. 1775-1791. Reçu habitant de Genève, avec son fils David-Jean, en 1790. S'associe avec Alexandre Ami Monnier en 1789.
ROCHAT JULES Représentant de L. Audemars. Mentionné à Genève en 1835. Horlogerie en blanc de La Vallée de Joux: mouvements, répétitions, échappements, duplex à ancres, à ressort, balanciers compensés et compensateurs. Cette maison se charge des calibres pour les pièces compliquées.
ROCHAT LOUIS Horloger. Mentionné à Genève en 1860.
ROCHAT LOUIS Etablisseur d'horlogerie Mentionné à Genève de 1828 à 1831. Construit en 1829 une pendule très compliquée qui lui vaut un diplôme de la "Réunion des Industriels" à Genève. Spécialisé dans les montres-pendentifs, plates, à savonnette ou cabriolet, décorées d'émail champlevé et d'émail peint. Utilise des mouvements à échappement à cylindre.
ROCHAT PAUL-MARC Horloger. Mentionné à Genève en 1861.
ROCHAT PHILIBERT-F. Horloger. Mentionné à Genève en 1860.
ROCHAT-36 Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828-1835.
ROCHAT-BELLANY PAUL-MARC Fabricants et marchands d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1860-1862.
ROCHAT-CURTIN Etablisseurs d'horlogerie. Mentionnés à Genève en 1828-1831.
ROCHAT-HEUNISCH SAMUEL Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1857-1874.
ROCHAT-MAGNADON (MAGUIADAS) Horlogerie. Mentionné à Genève vers 1835.
ROCHAT-YERSIN Horloger. Mentionné à Genève en 1835.
ROCHE & CIE. Fabricants d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1830-1835.
ROCHELLE AMY Graveur. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIIe siècle.
ROCHETEAU JACOB Maître horloger à Genève. Forme Claude Tomegay (Thomeguex) en 1698.
ROCHETTE AMI Né à Genève, en 1747. Graveur.
ROCHEVALIER Horlogerie. Mentionné à Genève en 1835-1844.
ROCHEVALIER D. Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1866.
ROCHEVALIER FILS Horlogers. Mentionné à Genève en 1860.
ROCHEVALIER PAUL Fils d'Isaac. Originaire du Gévaudan (France). Orfèvre. Reçu habitant de Genève en 1763.
ROCHTY HENRI Horloger. Mentionné à Genève au milieu du XIXe siècle. Montres en argent guilloché, galonné et niellé. Dépose, le 27 janvier 1874, un brevet pour un nouveau calibre de mouvement.
RODANET ALFRED De 1840 à 1888. Fils de Julien Hilaire. Horloger à Santiago, il est mort très jeune au Chili.
RODANET AUGUSTE HILAIRE Fils de Julien Hilaire Rodanet et oncle de Henri Rodanet. Né le 5 juin 1837 à Rochefort. Genève et Paris. Horloger et marchand, agent de Patek Philippe en France, il fut également maire du 2ème arrondissement de Paris. Il exposa, en 1867, des montres de Genève et des chronomètres de son père. Il invente un échappement à ancre en ligne droite et un échappement à ancre latérale sans repos équidistants en 1887. Il s'installa rue Vivienne en 1870. En 1890, il déposa la marque "Horlogerie Rodanet de Paris". Il mourut à 70 ans en 1907. La maison de la rue Vivienne passa à Doffe successeurs de Margaine, puis à Madame Sanselme vers 1928, laquelle épousa M. Michel en 1937. En 1948, à la mort de Mme Michel, une société composée de M. Michel et de sa fille reprit l'affaire. En 1909, la maison Saintesprit, de Besançon, déposa la marque "A.H.Rodanet, Doffe, et Cs. Besançon-Paris".
RODANET HENRI De 1884 à 1956. Petit-fils de Julien Hilaire Rodanet, et fils d'Alfred Rodanet. Orphelin de père et de mère à 7 ans, il surmonte les difficultés de sa situation isolée, et est reçu à l'Ecole d'horlogerie de Paris, qu'il termine premier de sa promotion. H. Rodanet devient en 1902 le collaborateur d'Edmond Jaeger. Déjà à cette époque, le jeune horloger se fait remarquer par ses dons exceptionnels et ne tarde pas à prendre la direction technique de l'entreprise Jaeger. Survient la guerre de 1914. H. Rodanet, mobilisé, rejoint l'armée anglaise en qualité d'interprète, mais ne cesse pas pour autant de demeurer un fervent créateur horloger. C'est à Ypres, au front, profitant de quelques brefs instants de répit, qu'il commence à dessiner les organes de sa célèbre montre 2 lignes, puis met au point, à la demande des forces aériennes alliées, un tachymètre spécial. Cette nouvelle orientation de la maison Jaeger, née de la guerre, ne disparaît pas avec elle, mais l'horlogerie pure ne perd pas ses droits et les deux activités seront menées de front. En avril 1946, Henri Rodanet est nommé président du conseil d'administration de l'entreprise qui, entre temps, est devenue une Société anonyme. Technicien de génie, n'a-t-il pas pris ou fait prendre plus de 500 brevets ? H. Rodanet était aussi un artiste qui attachait autant d'importance à la pureté des lignes d'un modèle qu'à ses qualités de précision et un industriel avisé qui a su mener l'entreprise qu'il dirigeait vers le succès, malgré les difficultés sans nombre qu'il devait surmonter.
RODANET JULIEN-HILAIRE Né à Rochefort en 1810. Il fit son apprentissage chez Merceron, chronométrier à Angoulème. A 16 ans, il vint à Paris, s'y lia avec Winnerl et resta jusqu'en 1837. Puis revint à Rochefort. En 1839, il créa une école où il forma 40 élèves jusqu'en 1849, les élèves formés se dirigeant vers l'Arsenal. En 1844, il présenta des montres à cylindre et à ancre, oeuvres de ses pupilles. En 1849, il exposait un chronomètre, ce qui lui valut une médaille d'argent. Il se consacra alors à cette fabrication avec 25 pupilles fournis par le département. L'exposition de 1855 lui valut une médaille de 1ère classe, celle de 1864, à Bayonne, un diplôme d'honneur et la Croix. En 1866, il abandonna l'horlogerie et se retira à Rochefort où il mourut en 1884. En 1886, parut son "Horlogerie astronomique et civile".
RODET Londres et Genève. Signe une montre oignon, en argent et émail, à faux pendule. Vers 1700.
RODON (DE) JEAN Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève vers 1785.
ROECK LEON Deuxième quart du XXe siècle. Horloger, ancien régleur de la Maison Patek, Philippe & Cie. Construit quelques pièces très soignées utilisant des ébauches de l'Ecole d'Horlogerie de Genève.
ROESGEN A. & CIE. Horlogers. Mentionné à Genève en 1924.
ROESGEN A. & CIE. Horlogers. Mentionnés à Genève en 1907. Succèdent à A. Glaton en 1909.
ROFFIER ABRAHAM Maître orfèvre. Mentionné à Genève dans la première moitié du XVIIe siècle. Boîtes de montres.
ROGER Paris. Horloger du Roi et de la ville en 1537.
ROGER FRANÇOIS Rouen. Gouverneur du gros Horloge, 1592-1596
ROGER Horloger. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XIXe siècle.
ROGET JACOB Maître horloger. Mentionné à Genève dans la première moitié du XVIIe siècle.
ROGET JAQUES Horloger. Mentionné à Genève en 1728-1768.
ROGIER ET CIE A Paris. Invente et expose des réveils en 1839.
ROJARD Horloger. Mentionné à Genève à la fin du XVIIIe, début du XIXe siècle. Montres à répétition avec mouvement de style anglais.
ROJARD JACQUES (1696-1780). Fils de François. Gingins, bailliage de Beaumont (Suisse). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1739.
ROJARD JEAN-DANIEL Fils de Jacques. Gingins, bailliage de Beaumont (Suisse). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1749.
ROJOUX Horloger-repasseur. Mentionné à Genève en 1835.
ROJOUX J.-L. Horloger. Mentionné à Genève.
ROJOUX LUC-H. Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1869.
ROLEX Marque déposée le 2 juillet 1908 par Hans Wildorf. Considérée aujourd'hui comme un véritable phénomène social du XXe siècle. Né le 22 mars 1881 en Bavière, d'une famille protestante, Hans Wildsdorf est orphelin à l'âge de 12 ans. Il fut élevé par son oncle et sa tante. Etudiant, il s'intéresse particulièrement aux mathématiques et aux langues. Ses prédispositions l'amèneront rapidement à voyager et travailler dans des pays étrangers. Tout d'abord apprenti au sein d'une importante entreprise internationale d'export spécialisée dans les perles de culture, puis correspondant anglais employé chez Cuno Koutten à La-Chaux-de-Fonds en 1900, entreprise leader en fabrication de montres de tous types, il acquiert pendant ces années, au contact du monde horloger suisse et international, de nombreux concepts techniques et commerciaux dont il se servira plus tard. Dans un contexte très favorable aux idées nouvelles, à l'aube de la naissance de la montre-bracelet, Hans Wilsdorf s'installe à Londres en 1903 en tant qu'employé d'un revendeur de montres et horloges. En 1905, à l'âge de 24 ans, il décide de fonder sa propre entreprise. à cette date, Hans Wildorf, n'imaginait sans doute pas la taille qu'aurait la manufacture Rolex 100 ans plus tard. Cependant, en faisant évoluer les concepts de fabrication d'horlogerie dans le monde entier grâce à sa vision stratégique placée sous le signe de la créativité et du renouveau technologique, il y contribua largement. La principale exigence requise par les montres Rolex est la précision, ainsi que le confirme l'obtention de nombreux certificats de précision délivrés par les quatre bureaux de contrôle de chronomètrie attestant la maîtrise de ce critère de fabrication. La practicité des chronomètres fit aussi partie des exigences, c'est ainsi qu'Hans Wildorf lança le modèle Perpetual, auquel il ajouta plus tard la date et le jour de la semaine réalisant alors le modèle Day Date. A ces montres faciles à lire et pratiques à utiliser, devait ensuite s'associer la fiabilité en toutes circonstances, qu'assura le boîtier étanche Oyster. Impulsés par un renouveau technologique soutenu par la personnalité d'Hans Wildorf, ces trois éléments réunis sont donc devenus les facteurs clés de succès des montres Rolex. Après le décès d'Hans Wildorf en 1960, la relève fut assurée par son protégé André J. Heiniger, né le 12 septembre 1921 à La Chaux-de-Fonds. Durant ses 28 ans de carrière chez Rolex, la technologie et les relations humaines furent l'objet de profonds changements. Selon lui, l'atout majeur d'une entreprise leader résidait dans la volonté, la sagesse et la loyauté du personnel à tous les niveaux. Il donna beaucoup d'importance à la qualité et à l'efficacité du management autant qu'à la croissance et au développement dont les fondations devaient être tradition et continuité. Après avoir rejoint Rolex en tant que directeur commercial depuis 1986, Patrik Heiniger, né le 26 août 1950 en Argentine et fils d'André J. Heiniger, fut nommé directeur en 1992. Diplômé en Droit de l'Université de Genève, il devient avocat au barreau de Genève en 1977. Après deux années de formation à New York, il fonda sa propre société spécialisée dans le domaine de la propriété intellectuelle et du droit international. Quelques datesn1905 Création de "Wilsdorf & Davis", société de distribution d'articles d'horlogerie et de fabrication de boîtes, spécialisée dans les mouvements à échappement à ancre, siège social situé à Londres. 1907 Hans Wildorf ouvre un Bureau Technique à La Chaux-de- Fonds. 1908 Hans Wildorf dépose la marque Rolex, avec siège social à La Chauxde-Fonds, déplacé ensuite à Bienne. 1919 Hans Wilsdorf déplace la maison Rolex à Genève et fonde ainsi la manufacture Montres Rolex, S.A. 1926 Rolex invente et fait breveter la couronne à vis qui porte aujourd'hui le nom de "Triplock" ou "Twinlock", suivant le modèle de la montre. 1935 Malcom Campbell, une Rolex Oyster au poignet, bat le record du monde de vitesse au volant de sa "Bluebird", une voiture de course très spéciale, à plus de 300 miles à l' heure. 1954 Création de la première Rolex Oyster Perpetual pour femme. 1960 Une montre Rolex Oyster spéciale, fixée à l'extérieur du bathyscaphe "Trieste" est descendue à 10,916 m dans la fosse des Mariannes, au large de Guam dans l'Océan Pacifique, subissant une pression de plus d'une tonne/cm2. Ramenée à la surface, Jacques Piccard, constate que la Rolex fonctionne encore parfaitement. 1965 Obtention du 700 000e certificat officiel pour un chronomètre-bracelet, ce qui représente approximativement la moitié de la production totale suisse de chronomètres en 50 ans. 1978 Reinhold Messner, une Rolex Oyster Quartz au poignet, conquiert le Mont Everest lors de son ascension historique qui se fit sans l'utilisation de masques à oxygène.
ROLIER (ROLLIER) PIERRE-ISAAC Fils d'Isaac. Montbéliard (France). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1776.
ROLLAND JEAN JOSEPH Horloger. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIIe, début du XIXe siècle.
ROLLAND LE Marque genevoise enregistrée.
ROLLIER Lapidaire à Genève. Forme Estienne Bordier en 1673.
ROLLIER PIERRE ISAAC & CIE Horlogers. Mentionnés à Genève en 1760-1780 environ. Montres à répétition de bonne qualité.
ROMAN & CO Mentionné à Genève vers 1860. Montres simples et compliquées, à remontage au pendant.
ROMAN, BORDIER & CIE Fabricants d'horlogerie. Mentionné à Genève dans le premier tiers du XIXe siècle. Montres à répétition, à automates, montres squelette de très bonne qualité.
ROMAN, FRANÇOIS MELLY & ROUX Fabricants d'horlogerie. Genève et Constance. 1785-1796. Montres à répétition, à automates défilants. Signent une montre en or, émail et perles portant l'effigie de Franz, Comte de Enzenberg vers 1800.
ROMER Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1830 environ.
ROMIEUX J. Horloger-régleur. Travaille pour Patek-Philippe ér Cie. Reçoit plusieurs prix de chronométrie à Genève. Le 3e prix en 1885; le 2e prix en 1886; le 3e prix en 1887; lé ler prix en 1889; le let prix en 1890.
ROMILLY Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève à la fin du XVIIIe, début du XIXe siècle. Montres en tous genres.
ROMILLY & CIE. Fabricants d'horlogerie. Mentionnés à Genève à la fin du XVIIIe, début du XIXe siècle.
ROMILLY & MONNIER Horlogers, fabricants. Mentionnés à Genève à la fin du XVIIIe, début du XIXe siècle.
ROMILLY ISAAC Apprenti horloger chez Etienne Bastard à Genève en 1605.
ROMILLY JEAN (Genève 1714-Paris 1796). Le plus doué des fils de Pierre. Etudie à Genève, puis se rend à Paris, devient maître en 1752, et présente, en 1758, à l'Académie Royale des Sciences, une montre à répétition, secondes décentrées, à grand balancier à une oscillation par seconde, construit une montre à équation du temps, est parmi les premiers à construire une certaine quantité de montres à huit jours de réserve de marche. Exécute également des montres à boîtes richements décorées de peinture sur émail. Collabore, avec Soubeyran, à l'Encyclopédie, chapitre de l'horlogerie, en 1758.
ROMILLY JEAN LOUIS (Genève 1715-1784). Fils de Pierre. Maître horloger.
ROMILLY JÉRÉMIE (Genève 1708-1775). Fils de Pierre. Maître horloger.
ROMILLY JOHN Fabricant d'horlogerie à Genève, puis à Paris. Reprend le commerce de Jean Romilly de 1796 à 1814.
ROMILLY LOUIS (Genève 1709-1780). Fils de Pierre. Maître horloger.
ROMILLY PIERRE Maître horloger. Faiseur de boîtes de montres. 1681-1717. A quatre fils qui sont tous maîtres horlogers. Montre en argent à répétition des quarts. Mentionné à Genève vers 1700.
RORENE (probablement ROHRER ou ROHREN JEAN). Apprenti pendulier à La Chaux-de-Fonds, en 1770.
ROSAT Frédéric-HONORÉ
ROSAT HENRI-AUGUSTE Né au Locle en 1828, mort en 1897, Fils d'Auguste, époux de Laure DUBOIS père d'Henri et de William, tous deux horlogers émérites. Praticien habile. visiteur pendant 3o ans dans la fabrique Ulysse Nardin, au Locle.
ROSAT WILLIAM-CHARLES-FRÉDÉRIC Né au Locle le 12 octobre 1836, mort en 1910, fils d'Auguste, époux de Louise Egger, père de Charles. Horloger distingué, directeur de l' Association ouvrière au Locle. A fait des pendules de précision, des chronomètres de marine et des montres simples et compliquées.
ROSEAU Marque genevoise enregistrée.
ROSEMONT SA. Fabricants de pendulettes. Maison fondée par Maurice Baillot. Mentionné à Genève en 1944.
ROSET JEAN-ÉTIENNE De Treycovagnes (près d'Yverdon), époux de Ésabeau Besancenet, père de Jean-Henry et de Jean-Étienne, domicilié à Grenoble en 18o3. Apprenti de Pierre Berthoud S'établit comme pendulier à Couvet vers 1759. A comme apprentis: Rodolphe Neuhaus (1763), Jacob Salzmann, Jean-Henri Borel, Henri-Ferdinand Guyenet et Abram-Henri Borel (1786). Plusieurs pendules signées.
ROSET JEAN-HENRI Fils de Jean-Etienne. Apprenti, puis ouvrier jusqu'en 1792 de Jean-Henri Berthoud, pendulier à Couvet. En procès en 1795 avec Abram Henry Berthoud, pendulier, qui l'a frappé.
ROSIER ÉTIENNE Apprenti horloger chez Louis André Vacheron, à Genève en 1775.
ROSIER FR. Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1860.
ROSIER JEAN Horloger. Mentionné à Genève en 1770-1815.
ROSKOPF F.-E. & CIE. Fabricant d'articles d'horlogerie. La marque "Legitime" est enregistrée en 1903.
ROSKOPF FRITZ-EDOUARD Dépose, un brevet pour un dispositif assurant la commande des aiguilles par le barillet dans la montre à système Roskopf en 1899. Pour un mouvement Roskopf avec mécanisme de chronographe en 1901. Marque genevoise enregistrée en 1893. "F.E. Roskopf" enregistrée le 1.8.1893 et le 8.4.1897 sous. "Fritz-Edouard Roskopf" en 1894. Fabrique des montres et accessoires. "Roskopf Fils" enregistrée le 19.8.1893, dès le 8 février 1897 se transfère à Genève.
ROSSEL & CIE Horlogers à Genève. Associés de 1816 en 1821 avec Sandaz, devient ensuite Rossel & Cie.
ROSSEL & SANDOZ Horlogers à Genève. S'associe avec Sandoz de 1816 à 1821. Dès 1821, la raison sociale devient Rossel & Cie.
ROSSEL J. FILS Ancienne maison J.F. Bautte & Cie, fondée en 1790. J. Rossel s'associe avec le successeur de Bautte de 1860 à 1883 devient J. Rossel & Fils de 1883 à 1897. Puis il vend l'entreprise en 1897 à Felipe Hecht qui à son tour la revend en 1906 à Girard-Perregaux. Fabricants d'horlogerie, bijouterie, joaillerie. Magasins et fabrique à Genève, en 1861. Médailles de première classe aux Expositions de Londres en 1851 et Paris en 1855. Mentionné à Genève en 1883-1897. Deux fois le 3e prix en 1886 au Concours de chronométrie de Genève, et prime de série la même année. Présents à l'Exposition nationale de Genève en 1896. Signent une montre faite pour le Roi Victor Emmanuel d'Italie, vers 1880.
ROSSEL JEAN-LOUIS Fils de Claude. Môtiers-Travers (Suisse). Monteur de boîtes. Reçu habitant de Genève en 1751.
ROSSEL PIERRE-LOUIS Horloger pendulier à Môtiers, cité comme associé avec un frère de 1755 à 1765 Une pendule longue-ligne signée Rossel.
ROSSEL, BAUTTE & CIE Fabricants d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1860-1883.
ROSSEL-BAUTTE ET FILS Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1844.
ROSSELET Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève dans le premier tiers du XIXe siècle.
ROSSELET DAVID-LOUIS Fils de Jean-Jacques. Épouse en 1808 Salomé Colomb. Pendulier aux Verrières.
ROSSELET FR.-L. Fabricant et marchand d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1860.
ROSSELET LOUIS Peintre sur émail. Seconde moitié du XIXe, début du XXe siècle. Peintre sur émail. Mentionné à Genève en 1857.
ROSSELET MATHIEU Horloger. Mentionné à Genève en 1860.
ROSSET & CARREL Peintres sur émail. Fin du XIXe, début du XXe siècle. Exposent au Salon national suisse à Genève, en 1896. Mentionnés à Genève en 1907.
ROSSET (J. P.) Etablisseur d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1828-1830.
ROSSET AMI Fameux monteur de boîtes de montres. Mentionné à Genève à la fin du XIXe siècle.
ROSSET MICHEL Mentionné à Genève vers 1907. Fabricant d'horlogerie très soignée.
ROSSI P. Monteur de boîtes. Mentionné à Genève en 1844.
ROSSIER Horlogerie. Mentionné à Genève en 1835-1844.
ROSSIER GEORGES Horloger. Mentionné à Genève en 1860.
ROSSIER JOHN Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève vers 1815.
ROSTAN ET BALMAS Horlogers. Mentionnés à Genève vers 1907.
ROTH JACOB Horloger. Mentionné à Genève en 1860.
ROTH JEAN-HENRI Fils d'Adam. Kesswil, Thurgovie (Suisse). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1779.
ROTH-ROBERT Horloger. Mentionné à Genève en 1862.
ROUGE Fabricant d'horlogerie. Mentionné à Genève, signature trouvée sur une montre datant de 1798.
ROUGE ISAAC-BENJAMIN-LOUIS Fils de Jean-Isaac. Lausanne (Suisse). Maître joaillier. Reçu habitant de Genève en 1790.
ROULET DANIEL Fils de Daniel. Compagnon horloger en 1745 chez les Frères Huguenin, penduliers à La Chaux-de-Fonds.
ROULET LES Faiseurs d'ébauches de pendules à la Sagne au début du XIXe siècle.
ROUMIEUX EDOUARD Horloger. Mentionné à Genève en 1860.
ROUQUET JEAN ANDRÉ (Genève 1701-1758). Peintre sur émail. Travaille à Londres (Angleterre), à Paris (France) où il devient membre de l'Académie royale en 1753.
ROUSSATIER ABRAHAM Maître horloger à Nyon (Suisse), Vevey (Suisse) et Genève en 1792.
ROUSSATIER ABRAHAM-LOUIS Fils de Jean-François. Vevey (Suisse). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1768.
ROUSSEAU ANDRÉ Fils de Jean. Maître orfèvre. Mentionné à Genève dans la première moitié du XVIIe siècle. Apprenti chez Jean Simbert Horngacher en 1664. Forme Gaspard Naville en 1679.
ROUSSEAU DANIEL Fils de Jean. Maître orfèvre. Mentionné à Genève au milieu du XVIIe siècle.
ROUSSEAU DAVID (1641-1738). Fils de Jean. Grand-père de Jean-Jacques. Maître horloger. Apprenti chez Jean-François Lachis, son beau-frère, en 1653. Parmi ses meilleures oeuvres: une montre de la dimension d'une pièce de dix centimes suisse (19 mm), des montres en cristal de roche en forme de fleurs, croix, tulipe. De 1720 à 1738. Forme Loys Gaudy en 1669, Esaye Querel en 1670, Pierre Bouvier en 1687, Bonifas Bourcard en 1698 et Jean III Faizan en 1702.
ROUSSEAU ISAAC (1672-1747). Fils de Jean le-Jeune. Père du philosophe Jean-Jacques. En 1705, disposant d'un petit héritage lors du décès de sa mère, il partit essayer de faire fortune à Constantinople. Il y rencontre d'autres artisans genevois, ne se lasse pas d'écouter les conteurs ottomans tout en espérant revenir au pays avec le prestige acquis à la cour du sultan et un réseau de relations lui permettant d'accéder à de lucratifs marchés. Isaac Rousseau se spécialise ainsi dans l'art de "raccommoder une montre" et devient même "régleur" des pendules du Palais de Topkapi. Une fonction importante car celles-ci étaient destinées à donner l'heure exacte des différentes prières. Admiratif, Jean-Jacques Rousseau parlera plus tard de son père comme de "l'horloger du sérail". Il dira même un jour, alors qu'il était poursuivi par les autorités genevoises : "Il vaudrait mieux être né Turc que Genevois!". Ce maître horloger quitte Genève en 1722 pour s'installer à Nyon.
ROUSSEAU JACOB Lapidaire. Part à Londres (Angleterre) pour représenter la fabrique de son père Jean. Milieu du XVIIe siècle.
ROUSSEAU JAQUES Horloger. Mentionné à Genève vers 1712.
ROUSSEAU JAQUES Fils de Jean. Maître horloger. Mentionné à Genève dans la première moitié du XVIIe siècle.
ROUSSEAU JEAN Né à Genève en 1642. Maître horloger.
ROUSSEAU JEAN LE JEUNE (1606-1684). Arrière-grand-père de Jean-Jacques Rousseau. Maître horloger et juré. Construit des montres astronomiques. Forme plusieurs apprentis dont: Isaac II Bordier (fils de Jaques I) et Ypolite Noel en 1631, Jean-François Lachis en 1644, Pierre Bécard en 1649, Antoine Gagnier en 1652, Jean Blanchet et Amédée Marchand en 1659.
ROUSSEAU JEAN (Genève 1580-1642). Maître horloger. Montres en forme de croix et d'animaux en cristal de roche. A sept fils et cinq filles, dont: Jean le-Jeune Maître, David horloger, Daniel orfèvre, Noé graveur, Loys lapidaire, Jaques horloger, Jacob lapidaire.
ROUSSEAU JEAN-FRANÇOIS Apprenti horloger à Genève chez Jean Deonna en 1700.
ROUSSEAU LOUYS Fils de Jean. Maître lapidaire à Genève en 1662. Fabrique des boîtes de montres en cristal de roche.
ROUSSEAU NOÉ Fils de Jean. Maître graveur. Marié en 1681 (seconde noce) avec Marie Mollet. Forme Théodore Perréal en 1680.
ROUSSET Horlogerie et pièces à musique. Mentionné à Genève en 1835.
ROUSSET JACQUES Né à Genève. Horloger. Seconde moitié du XVIIIe, début du XIXe siècle.
ROUSSET JACQUES Horloger. Mentionné à Genève en 1860.
ROUSSIER Mentionné à Genève au début du XIXe siècle. Montres en or, émail et argent.
ROUSSILLON JEAN Fils de Pierre. Saint-Fortunat, Vivarais (France). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1701.
ROUSSILLON LS & CO Fabricant de boîtes et de mouvements de montres. Marque genevoise enregistrée le 19.5.1883.
ROUSSIN & MAZUY Peintres sur émail. Présents à l'Exposition nationale suisse de Genève en 1896.
ROUVIERE (ROUVIERES) JEAN-LOUIS-DANIEL Chêne, canton de Genève. Peintre sur émail. Reçu habitant de Genève en 1776.
ROUX & BORDIER Fabricants d'horlogerie. Mentionnés à Genève en 1794-1798.
ROUX & DASSIER Horlogers. Mentionnés à Genève vers 1783.
ROUX & MARTIN Horlogers. Déposent un brevet pour un échappement hélicoïdal à dégagement rectiligne géométrique en 1907.
ROUX A. Monteur de boîtes. Mentionné à Genève en 1844.
ROUX DAVID-ETIENNE DIT ROUX-CONSTANTINI (Genève 1758-1832). Fils de Jean-Marc. Peintre sur émail et orfèvre. Travaille avec son frère Théodore. Spécialisé dans la décoration de boîtes de montres et tabatières. Forme Jean-Rodolphe-Gautier, Pierre-Gabriel Gautier et Hugues Darier. Enseigne à Jean-Louis Richter. Travaille pour Droz de 1783 à 1785, ensuite pour Jacob Frisard.
ROUX ÉTIENNE Horloger à Genève. S'associe avec Jean-Étienne Colladon de 1779 à 1785.
ROUX ÉTIENNE Fils de Gabriel. Fabricant et négociant en horlogerie. Mentionné à Genève en 1793.
ROUX F. Horloger. Mentionné à Genève vers 1815.
ROUX HUBERT & FILS Peintres sur émail à Genève, associés avec Pierre Fé en 1762.
ROUX JAQUES Horloger. Mentionné à Genève en 1780-1800. On trouve sa signature sur une grosse montre en argent avec triple quantième. Mouvement gravé, échappement à verge.
ROUX JEAN-ANDRÉ Fils de Jean-Pierre. D'Uzès, Languedoc (France). Peintre sur émail. Reçu habitant de Genève en 1777.
ROUX JEAN-DANIEL Fils de Daniel. De Penay-le Jorat, bailliage d'Oron (Suisse). Faiseur de piliers de montres. Reçu habitant de Genève en 1757.
ROUX JEAN-MARC (1735-1812). Fils de Jean-Paul. Levigau, Languedoc (France). Peintre sur émail. Reçu habitant de Genève en 1755. S'associe de 1767 à 1773 avec J. Cabanel, puis avec Constantin. Forment, pendant trois ans: Jean-Abraham Lissignol et P.G. Gautier.
ROUX PAUL Horloger. Mentionné à Genève en 1860.
ROUX PÈRE & FILS Horlogers. Mentionnés à Genève vers 1770.
ROUX PHILIPPE-SAMUEL-THÉODORE (Genève 1756-1805). Fils de Jean-Marc. Peintre sur émail. Associé avec son frère David Étienne. Spécialisé dans la décoration de boîtes de montres et tabatières. Enseigne à Jean-Louis Richter.
ROUX PIERRE Maître orfèvre. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIe siècle. Construit des boîtes de montres.
ROUX, BORDIER, ROMAN & CIE. Fabrique d'horlogerie fondée à Genève en 1798 et dissoute en 1811. Montres à sonnerie au passage avec répétition à quarts indépendante, grande et petite sonneries, répétitions à minutes, etc.
ROUZIER Horloger. Mentionné à Genève au milieu et seconde moitié du XVIIIe siècle.
ROUZIER & MELLY Fabricants d'horlogerie. Genève et Paris. Fin du XVIIIe siècle. Signent une montre Louis XVI en or et émail, à répétition des quarts.
ROUZIER ALEXANDRE De Aigues-Vives, Languedoc (France). Horloger. Reçu habitant de Genève en 1742.
ROY & FLOURNOY Horlogers. Mentionné à Genève dans la première moitié du XIXe siècle.
ROY (ROI) SAMUEL Baptisé le 6 mars 1746 à Fontaines, mort le 3o juin 1822 à La Chaux-de-Fonds, fils illégitime de Marie-Madelaine Roy, d'Orvin (le père serait François Galamin), père d'Henri-Louis Jacques-Louis et de Samuel. Un des plus remarquables horlogers neuchâtelois. Entra en 1762 chez J. Robert et fils où il travailla huit ans comme horloger en pendules, enseignant sa profession. S'établit à Fontaines puis à La Chaux-de-Fonds, où il fonde la maison Samuel Roy et fils. En relations avec Charles le Duc, doreur à Paris. Reçoit de nombreux cabinets de Charles-Frédéric Dubois depuis 1815. Relations commerciales très étendues, exporte jusqu'au Portugal. Très nombreuses horloges, pendules et montres signées.
ROY FANNY Émailleur. Mentionné à Genève en 1866.
ROY FRANÇOIS ET FRÈRES A partir de 1785 François Roy et Cie. Fait le commerce de pendules et de montres en grand à La Chaux-de-Fonds. Relations principalement avec Paris, Berlin, Amsterdam, Trieste. Sont ruinés par la Révolution française et par l'incendie de La Chaux-de-Fonds. François Roy s'associe en 1806 à Trieste avec un COURVOISIER sous le nom de F. Roy Courvoisier.
ROY HENRI-LOUIS Né le 2 juillet 1770, morte le 22 avril 1843 à La Chaux-de-Fonds, fils de Samuel, frère de Samuel et de Jaques-Louis Horloger pendulier. Travaille avec son père, puis lui succède à la tête de l'établissement Samuel Roy et fils en 1804. Va fréquemment à Milan de 1799 à 1819 où il est cité comme négociant.
ROY JAQUES-LOUIS Fils de Samuel, frère d'Henri-Louis et de Samuel, époux de Rosette Benoit. à travaillé avec son père e3t ses frères à La Chaux-de-Fonds. En 1807 i1 demande un passe-port pour Paris. Ayant perdu sa fortune dans l'entreprise de la carbonisation de la tourbe et dans la débauche, se suicide en novembre 1808 à l'âge de 26 ans à La Chaux-de-Fonds.
ROY JEAN Horloger à Neuchàtel en 1574. Travaille pour le seigneur de Valangin.
ROY JEAN-HENRI Né en 1776, mort en 1825, fils de Jean-Henri époux de Julie Petitpierre. Maitre pendulier à Couvet. Cité de 1794 à 1816. Sa veuve est citée en 1825.
ROY SAMUEL FILS Fils de Samuel, frère d'Henri-Louis et de Jacques-Louis. Associé de ses frères en 1820.
ROYAUME AYMÉ Apprenti orfèvre à Genève chez Jaques Pellet en 1678.
ROYAUME ISAAC Maître orfèvre. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIe siècle.
ROYAUME JEAN Maître horloger. Mentionné à Genève en 1669.
ROYAUME MARC Apprenti horloger à Genève chez Pierre Sion en 1679.
ROYAUME PIERRE Maître orfèvre. Mentionné à Genève dans la première moitié du XVIIe siècle. Boîtes de montres. Forme Jean II Petitot et Jean I. André. Associé à François Legare.
ROYAUME SAMUEL Maître orfèvre. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIe siècle. Boites de montres.
RUARD JEHAN Horloger. Mentionné à Genève vers 1602.
RUDHARDT CH. Horloger. Mentionné à Genève dès 1857.
RUEFF ELIE Horloger. Mentionné à Genève en 1862.
RUEGGE (RUEGGER, RUEGGEN) ISAAC Fils d'Isaac. De Aarburg, canton de Berne (Suisse). Horloger. Reçu habitant, avec son fils mineur Moïse, en 1790.
RUEGGER (RUGGER) JACQUES Mentionné à Genève au début et milieu du XIXe siècle. Fabricant de montres en or, argent, émail. Montres à répétition et calendrier.
RUEGGER ALFRED Horloger. Montres à clé, savonnettes en or et émail. Mentionné à Genève en 1857.
RUEGGER E.M. Horloger, fabricant. Maison à Paris. Construit des montres dont la mécanique est de très bonne qualité avec boîte décorée d'émail de parfaite exécution. Utilise souvent, et parmi les premiers à Genève, l'échappement à ancre latérale.
RUEGGER J.-L.-A. Établisseur. Mentionné à Genève en 1870.
RUEHL Guillocheur. Présent à l'Exposition de Genève en 1828.
RUFF CH. Atelier d'horlogerie. Mentionné à Genève en 1866.
RUFFI JEANNE Faiseur de chaînettes. Mentionné à Genève dans la seconde moitié du XVIIIe siècle.
RUSILLON M. Emailleur. Mentionné à Genève en 1866.
RYSER CH. Horloger. Mentionné à Genève en 1924.